Une nouvelle rubrique où la rédaction vous propose des TOP5 !
Le concept : un thème => un de nos rédacteurs vous propose son TOP5 qui est bien entendu entièrement subjectif et personnel !

D'accord/pas d'accord avec le Top5 ?
Proposez le votre dans le commentaire !

L'exercice de la reprise d'un standard du Thrash est devenu une chose aisée pour n'importe quel groupe de Metal un tant soit peu confirmé. Ainsi il serait difficile d'être exhaustif, mais il est desfois difficile de trouver une reprise qui apporte un petit plus au morceau original. Un tri est nécessaire, mais au final on se retrouve avec des reprises efficaces et parfois originales. Voici une sélection de 5 reprises de Thrash (par des groupes non-Thrash, sinon c'est trop facile) dignes d'intérêt, enfin selon votre serviteur bien entendu. Aussi, vous qui creusez les éditions avec bonus, tributes ou compilations, ou qui simplement connaissez bon nombre de reprises, n'hésitez pas à proposer votre TOP5 en commentaire!


5. SYMBYOSIS - Read Between the Lies (SLAYER)



On commence par une reprise classique de ce morceau de SLAYER qui figurait sur "South of Heaven". Sur le CD bonus de "On The Wings Of Phoenix", le groupe français SYMBYOSIS (dont on aimerait bien avoir des news au passage) avait repris ce morceau incisif de Thrash en l'englobant dans son apparat Death progressif, toutefois sans faire de chichis. Simple et efficace.


4. NIGHTWISH - Symphony of Destruction (MEGADETH)



On va déjà me jeter des cailloux, mais sur le maxi "The Siren" NIGHTWISH avait balancé cette reprise, enregistrée Live, plutôt convaincante et plus Heavy. Et surtout servie par Marco Hietala qui a eu ici une parfaite occasion de mettre en valeur sa voix. Pas mal!


3. DEMONICAL - Death Metal (ONSLAUGHT)



En bonus de son premier album "Servants Of The Unlight", le groupe suédois DEMONICAL nous proposait cette reprise très crunchy de cet hymne qui figurait sur le premier album d'ONSLAUGHT sorti en 1985, "Power From Hell". Mâtiné au son de tronçonneuse à la suédoise, ce morceau n'aura finalement jamais aussi bien porté son nom. Miam!


2. MOONSORROW - For Whom the Bell Tolls (METALLICA)



Le groupe finlandais nous avait proposé sur son EP "Tulimyrsky" une reprise très épique du morceau le plus épique de METALLICA. Pour le coup, cette reprise est très personnelle et l'on retrouve toutes les particularités de MOONSORROW, qui a su se réapproprier ce standard qui date de 1984!


1. KARTIKEYA - Arise (SEPULTURA)



Figurant en clôture de l'EP "Durga Puja", cette reprise des russes de KARTIKEYA est logiquement passée à la moulinette de leur Death moderne, et le moins que l'on puisse dire c'est que le résultat arrache tout sur son passage! Le gros son ne plaira pas aux puristes, mais quelle énergie et quelle puissance pour cette reprise énormissime!

Un Top n'engage que son auteur. Nos goûts étant conditionnés par nos connaissances, un Top est toujours susceptible d'évoluer. (traduction: je ne parle que de ce que je connais). L'objectif de ce Blog est de susciter le débat, d'encourager les échanges. Soyez curieux et n'hésitez pas à proposer le votre.

De sa première apparition au début du XXème siècle (dans L'Assassinat du duc de Guise, par Camille Saint-Saëns) à nos jours, que de chemin parcouru par la musique au cinéma. De la synchronisation au traitement du son en passant par la diversité des procédés et des styles employés, la musique a révolutionné le 7ème art en décuplant l'impact des images. Sur ce... parlons BOF (OST en VO).

Les Absents

Sur un sujet aussi ouvert, il y a forcément pléthore d'incontournables qui restent sur le carreau. Donc oui c'est relou, mais il ne s'agit que d'un humble TOP 5. Même si j'apprécie beaucoup leurs oeuvres, pas de Hans Zimmer, Danny Elfman, Howard Shore, Michael Kamen, John Williams, James Horner, Basil Poledouris & co. Je compte sur vous pour être constructifs et proposer vos propres Tops 5.

5/ ERIC SERRA - Léon (de Luc Besson, 1994)




Privilégier un compositeur français à certains monstres sacrés peut surprendre, mais on reste de toute façon dans le haut de gamme avec Eric Serra. Alors bien sûr Le Grand Bleu reste son travail le plus accompli et apprécié, mais il ne résume pas sa carrière. J'adore Léon, et comme on commence par la fin, voici The Game is Over.

4/ HAJIME MIZOGUCHI - Jin-Roh, la Brigade des Loups (de Hiroyuki Okiura, 1999)




Découvert sur canal + grâce à une présentation signée Jean-Pierre Dionnet, ce bijou d'animation est scénarisé par Mamoru Oshii (Avalon, Ghost in the Shell) et réalisé par Hiroyuki Okiura. Au programme, un mix de contre-espionnage dans un japon totalitaire post 2ème Guerre Mondiale et de romance calquée sur l'univers du petit chaperon rouge. La BO est à l'avenant, magistrale. Notez que la partie Omega démarre à 2 minutes 35.

3/ JOE HISAISHI - Le Voyage de Chihiro (de Hayao Miyazaki, 2001)




Mamoru Fujisawa a choisi comme nom de scène Joe Hisaishi en hommage au trompettiste de jazz Quincy Jones (une histoire de phonétique). Compositeur fétiche de Hayao Miyazaki (réalisateur vedette des studios Ghibli) et Takeshi Kitano, il n'a pas son pareil pour développer des mélodies aussi touchantes qu'universelles.

2/ WOJCIECH KILAR - Dracula (de Francis Ford Coppola, 1992)




Un personnage fascinant (aussi bien l'historique que le romanesque). Un film à l'impressionnante qualité graphique accompagné d'un score inoubliable. Du grand art.

1/ ENNIO MORRICONE - Les Incorruptibles (de Brian DePalma, 1987)




Lorsque je pense perfection cinématographique, ce métrage s'impose à mon esprit. L'histoire. Les personnages. La réalisation. Le casting. Les scènes. Les dialogues. La musique. Monumental. Des grandes fresques historiques (Mission) aux polars urbains (Le Marginal, Le Professionnel) en passant par les westerns spaghettis de Sergio Leone ou ses collaborations, Ennio Morricone développe un univers incroyablement riche et cohérent. Le meilleur, tout simplement.


Bonus: ANDERS 'BLAKKHEIM' NYSTRÖM - Death's Design (de Diabolical Masquerade, 2001)




Beaucoup ont cru à un gimmick alors qu'il s'agissait d'un véritable engagement de la part d'Anders Nyström. Hélas le projet fut abandonné pour raison budgetaire et surtout pour avoir été devancé par un concurrent au pitch similaire (Destination Finale). Le guitariste de Katatonia et Bloodbath dut même batailler avec la production pour récupérer les droits d'exploitation de sa musique. Une cruelle désillusion dont le Suédois ne se remettra pas, ce dernier mettant brutalement un terme à l'existence de Diabolical Masquerade. Au programme de ce Death's Design, 20 Mouvements divisés en 61 plages mélangeant black, heavy, thrash, orchestrations et expérimentations (samples, solo de gratte jazzy, percussions...). Un album ambitieux et référentiel qui mérite sa place ici.

A vous maintenant.


PS: N'hésitez pas à participer au sujet consacré aux BO de Films sur le forum.

BLACK FLAG est l'un des groupes les plus important de la scène hardcore. L'un des plus poissards aussi, leur line-up étant à géométrie variable un nombre incalculable de chanteurs et musiciens se sont succédé en studio ou sur scène. Pour s'y retrouver il fallait bien un petit classement.

5. MIKE VALLELY
Vallely, à la base , est un skateur professionnel qui a trainé avec la bande de Jackass et de CKY entra autre activité. Il est aussi chanteur dans les groupes Mike V & The Rats et Revolution Mother. Il a aussi participé à l'album solo de Jasta. Vallely n'a jamais rien enregistré avec le FLAG, il est simplement apparu sur scène avec le groupe à diverses occasions, en 2003 et 2013 notamment pour un résultat qui ne marquera pas l'histoire tumultueuse du groupe.
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4. DEZ CADENA
DEZ est de l'avis de tous, un mec cool. Fils d'Ozzie Cadena, une personnalité importante du monde du jazz, s'est tout naturellement qu'il se tourne vers la musique. Mais le jazz l'emmerde alors va pour le punk naissant. Ami de Ron Reyes, chanteur de BLACK FLAG, il traine souvent à la "Church" le repaire du groupe tout en grattouillant sa guitare. Cadena possède une belle voix, typiquement punk, mais très fragile et lui, le chant, c'est pas son truc, il se concentrera sur la guitare, cédant bien volontiers le micro à son successeur, Henry Rollins. Aujourd'hui il est guitariste pour les Misfits et participe à la reformation du groupe sous la bannière FLAG (en gros, Black Flag sans Ginn). Avec le groupe Dez a enregistré le single "Louie Louie" dont il orne la pochette, et l'ep "Six Pack".
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3. KEITH MORRIS
Morris peut s'enorgueillir d'être le premier chanteur et membre fondateur du groupe. Il possède une voix punk rock bien reconnaissable qui inspirera beaucoup d'autres vocalistes américain. Morris se fera éjecter par Greg Ginn, qui évoquera des divergences artistiques afin de masquer une addiction de aux drogues de son chanteur qui le rend totalement ingérable. Morris s'en ira fonder les Crcile Jerks et Off!, il chante lui aussi dans Flag. Avant cette belle reconversion on peut l'entendre avec le Drapeau Noir sur l'e.p "Nervous Breakdown".
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2. RON REYES
Ron sera le second chanteur du groupe qu'il rejoint juste après le départ de Keith Morris. Comme Cadena, un de ses amis, il trainait souvent aux concerts et dans le repaire du groupe, la "Church" tout en jouant de la batterie pour le groupe Red Kross. Il intègre Black Flag et séduit immédiatement par son jeu de scène particulier et son énergie. Toutefois il ne restera qu'un an dans le groupe, le temps d'enregistrer l'e.p "Jealous Again". Il quitte le groupe en plein milieu d'un concert écœuré par la violence générés par ceux-ci. Par vengeance le groupe, sur disque, le créditera en tant que "Chavo Pederast". Toutefois, il est considéré par Greg Ginn comme le meilleur chanteur du groupe, peut-être parce que Reyes est le seul à la supporter. Il tient d'ailleurs le micro dans le version 2013 du groupe.
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1. HENRY ROLLINS
Hnery Rollins est plus qu'un chanteur, c'est un monstre, une bête, un animal. Il rejoint le groupe juste avant l'enregistrement de "Damaged" et ne lâchera plus le micro, enregistrant cinq albums avec le groupe, de loin le chanteur le plus influent du groupe. Certains vieux de la vielle nostalgique des premiers e.ps du groupe l'accusent, à tort, d'avoir tué le groupe. Rollins impose son style sur scène et sur les disques du groupe, il est le chanteur qui permit à Black Flag d'aller plus loin de s'écarter du punk et du hardcore, de se réaliser. Rollins devient pour toujours le visage, le corps du groupe. Depuis il s'est diversifié avec la réussite qu'on lui connait. Enfin il est le seul membre historique à s'être tenu très loin du cirque des reformations récentes alors rien que pour ça, il mérite sa place de numéro un.
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Je l'ai aussi mis en premier parce que j'ai un peu peur des représailles d'Henry.
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Voix de monstres terrifiants pour les uns (M6 par exemple), véritables performers vocaux impressionnants pour les autres, nos chanteurs qui donnent dans le growl guttural, rauque et profond ne peuvent laisser indifférent et font parfois toute l'identité de certains groupes. Voici donc un TOP5 des meilleurs growleurs sur le marché.
D'accord, pas d'accord, ça manque de gruik ou de chanteurs de death traditionnels? Proposez votre TOP5 en commentaire!

5. Mikko Kotamäki (SWALLOW THE SUN, BARREN EARTH)



Le finlandais a montré depuis le début des années 2000 ses capacités pour le parfait chant doom/death : rauque, sombre et profond. Une référence du genre (dans sa frange mélodique, je sens pointer les puristes).
Exemples : Descending Winters (Swallow The Sun) - The Leer (Barren Earth)


4. Peter Tägtgren (HYPOCRISY, BLOODBATH)



S'il se distingue plus par son chant crié ces dernières années, j'ai toujours trouvé que Peter Tägtgren distillait à l'occasion quelques très bons growls dans un style assez personnel. On a bien sûr pu les déguster sur le "Nightmares Made Flesh" de BLOODBATH, mais aussi sur les 3 derniers HYPOCRISY.
Exemples : Scrutinized (Hypocrisy) - Feeding the Undead (Bloodbath)


3. Christian Älvestam (SCAR SYMMETRY, SOLUTION.45, MISERATION, TORCHBEARER, THE FEW AGAINST MANY)



Si son chant clair m'est devenu de plus en plus insupportable au fil des années (à partir de "Holographic Universe" de SCAR SYMMETRY), les growls rauques et graves du solide suédois sont toujours aussi délicieux et écrasants à souhait. Growls qu'il n'hésite pas à étaler dans ses multiples projets, que ce soit de manière classique (SOLUTION.45), agressive (MISERATION) ou plus old-school (THE FEW AGAINST MANY).
Exemples : Pitch Black Progress (Scar Symmetry) - For Aeons Past (Solution.45) - Dreamdecipher (Miseration)


2. Francesco Paoli (HOUR OF PENANCE, FLESHGOD APOCALYPSE)



Passons dans un registre différent avec un vocaliste qui m'a toujours impressionné dans un débit ultrarapide, notamment sur "The Vile Conception" de HOUR OF PENANCE. Critiquée pour son ton monocorde, la voix de Paoli n'a à mon sens pas d'égal dans la déclamation de growls à cent à l'heure, le tout avec une certaine maîtrise. Après son départ de HOUR OF PENANCE et passé le premier album de FLESHGOD APOCALYPSE, l'italien a hélas délaissé le micro pour se consacrer pleinement à la batterie, où là aussi il fait preuve d'une vitesse qui décoiffe. Aurait-il laissé enfoncé le bouton "turbo"?
Exemples (Hour of Penance) : Misconception - The Woeful Eucharisty


1. Bo Summer (ILLDISPOSED, PANZERCHRIST)



Que dire? C'est le Subwoofer! Le costaud danois a un growl unique (pas trafiqué il paraît!) qui a fait toute l'identité du groupe danois ILLDISPOSED depuis ses débuts. Le summum du rauque, qui mérite bien la première place de mon TOP5.
Exemples (Illdisposed) : Throw Your Bolts - Weak Is Your God


Hors catégorie : Roman Saenko (HATE FOREST, BLOOD OF KINGU)



Difficile de faire rentrer l'ukrainien dans ce top, dont les projets ne sont pas death pour un sou, mais ses growls inhumains ont tout de même droit de cité. Distillés tout au long de la carrière d'HATE FOREST, on a pu les retrouver sur le dernier album en date de BLOOD OF KINGU alors qu'ont les pensait perdus avec le split des premiers.
Exemples : With Fire And Iron (Hate Forest) - Those That Wander Amidst the Stars (Blood of Kingu)

Un Top n'engage que son auteur. Nos goûts étant conditionnés par nos connaissances, un Top est toujours susceptible d'évoluer. (traduction: je ne parle que de ce que je connais). L'objectif de ce Blog est de susciter le débat, d'encourager les échanges. Soyez curieux et n'hésitez pas à proposer le votre.

Le sud de l'Europe n'étant que trop rarement mis à l'honneur, cette fois on va parler de Metal Espagnol.
Mais avant d'en venir aux faits, un petit détour s'impose...


Les Voisins



Proche de l'Espagne sous bien des aspects, l'Andorre n'en est pas moins un pays à part entière.
Ces dernières années, 2 formations locales de death progressif ont su attirer l'attention:
- les excellents PERSEFONE, dont le 4ème album Spiritual Migration est sorti en mars dernier
- les prometteurs NAMI, dont le 2ème album The Eternal Light of the Unconscious Mind est attendu pour novembre

Les Absents

Les amateurs de metal traditionnel devront pardonner l'absence des vétérans de Barón Rojo, des pourvoyeurs de folk celtique Mägo de Oz ou encore du power metal des fringants Tierra Santa et Dark Moor. Quant aux fans de gerboulades, ils ne trouveront pas non plus Haemorrhage, Machetazo & cie. Vous aimez Toundra, Nahemah, Helevorn ou Vivid Remorse? Alors partagez vos expériences, les commentaires sont là pour ça.


5/ AVULSED - Yearning for the Grotesque (2003)


Voici un concert entier datant de 2011 à cette adresse

Ce groupe partage de nombreux points communs avec Cannibal Corpse: un amour indéfectible pour le gore (voir leurs visuels), une longévité estimable (fondation en 1991), ainsi qu'un vocaliste référence (Dave Rotten). Ma découverte d'Avulsed remonte aux albums Yearning for the Grotesque et Gorespattered Suicide. Préférence au premier cité et dédicace à trashercorpse en passant.

4/ ASGAROTH - Red Shift (2002)




Oeuvrant dans un black symphonique mâtiné de folk et de prog (voir leur reprise de King Crimson), cette troupe de multi-instrumentistes a franchi le cap du nouveau millénaire en prenant un virage futuriste. Après une signature chez Peaceville paraît leur chant du cygne: Red Shift. Un groupe honteusement passé inaperçu.

3/ DAWN OF TEARS - Descent (2007)




Premier album de ces Madrilènes mixant black symphonique, death mélodique et power metal, le tout saupoudré d'influences gothiques. Le résultat est honorable, très pro. De plus leur discographie est en téléchargement légal gratuit. Voir ICI et LA.

2/ KARLAHAN - A Portrait of Life (2009)




Belle surprise que cet EP découvert grâce au tandem wasted / ZSK. Entre folk black et death mélodique, les Barcelonnais délivrent une fresque épique menée de main de maîtres, également disponible en téléchargement légal gratuit ICI. Recommandé !

1/ 7TH MOON - Alter Alma (2002)




Le groupe n'existe plus et pourtant... ce one-shot de gothic doom est vraiment convainquant. Un haut niveau de composition, des atmosphères travaillées, des instrumentistes inspirés. A retenir: un violoncelliste en tant que membre permanent et Sonia Carles, une chanteuse alternant vocalises, murmures et growls. Très bon.


Bonus: l'album instrumental, CONTINUO RENACER (2005)




Les amateurs de techno-death/prog/jazz/fusion connaissent ce discret trio, auteur de 2 albums estimés (voir ici).
Pour les autres il vous suffit de tester le live rehearsal ci-dessus.

A vous maintenant.

Dave Mustaine et Metallica tout une histoire sur laquelle tant d'encre a coulé. Plutôt que de revenir encore sur la rivalité entre Dave et le reste du groupe, regardons objectivement la trace que Dave a laissé dans la discographie des Mets qui ne seraient surement pas surnommés les "Horsemen" si Dave était resté dans le groupe.


5. Metal Militia



Cette chanson est en quelque sorte un « appel aux armes » destiné aux fans de metal.
À noter la fin de la chanson, qui ressemble au début d'un des futurs best-seller de Metallica, One, mais également au début de la chanson The Frayed Ends Of Sanity, présente également sur l'album ...And Justice for All.


4. Ride The Lightning



La chanson-titre "Ride the Lightning" décrit les pensées d'un homme innocent sur ​​la chaise électrique et s'apprêtant à être exécuté. À la fin de la chanson, il s'avère que le protagoniste à fait un cauchemar.


3. Jump In The Fire



La chanson a tout d'abord été écrite par Dave Mustaine, les paroles parlant de sexualité, elles ont ensuite été changées par James peu après le renvoi de Dave.
La chanson originale figura sur la démo No Life 'Til Leather.
Cette chanson est connue pour son solo de guitare. Lors de la tournée 2003-2004, Kirk a changé ce solo. Ce titre sortira en single international le 20 janvier 1984.


2. The Call of Ktulu



The Call of Ktulu est la deuxième chanson instrumentale du groupe, inspirée des écrits de H. P. Lovecraft, plus précisément de L'Appel de Cthulhu.
C'est l'une des chansons qui ont été en grande partie écrites par Dave Mustaine de Megadeth (titre original When Hell Freezes Over), avant son éviction du groupe.
Mustaine réutilisera d'ailleurs l'une des suites d'accords du morceau comme base pour la chanson Hangar 18 sur l'album Rust in Peace.


1. The Four Mechanix Horsemen



La chanson "The Four Horsemen" fut à l'origine écrite par Mustaine et appelée "The Mechanix", qu'on peut retrouver dans le premier album de Megadeth, le groupe de Dave Mustaine, Killing Is My Business... and Business Is Good!
Après que Dave Mustaine ait été renvoyé, Metallica modifia les paroles et une partie de la chanson et la renomma The Four Horsemen (référence aux 4 Cavaliers de l'Apocalypse).
Les « Horsemen » est d'ailleurs devenu le surnom des membres du groupe (comme ses 4 membres en sont les cavaliers).
Mais la version originale de cette chanson ayant été écrite par Mustaine, Metallica reverse donc à vie des royalties à Dave Mustaine sur ce morceau.
Néanmoins il est à noter que le morceau a connu des modifications par rapport à la version présente sur No Life 'Til Leather ; sont notamment ajoutés un pont ainsi qu'un interlude précédant un solo supplémentaire au milieu du morceau.


Bonus : Phantom Lord est le dernier titre sur lequel est crédité Dave Mustaine, notons que c'est avant tout une chanson créée par James avec son ancien groupe.

Source : Textes explicatifs issus de Wikipedia

Une période charnière pour notre tribu où les 'hardos' d'hier sont devenus les 'metalleux' d'aujourd'hui. En ce début de décennie, le Hard Rock tire quelques unes de ses plus belles cartouches, démontrant que la retraite n'est pas pour de suite...

Attention ce Top 5 ne concerne pas la génération grunge (son tour viendra), l'alternatif/fusion ou encore le heavy metal...


Les Absents



Certaines références ont loupé le coche. Question de goûts, de vécu, de moyens... et de recul, à l'image des 2 Use Your Illusion qui auraient trusté les premières places y a 20 ans, mais qu'un best of 'maison' remplace avantageusement. Les places sont chères et je compte de toute façon sur vous pour compléter cette sélection.


5/ ALICE COOPER - Hey Stoopid (1991)




Le dernier baroud d'honneur des années 80. Des musiciens débordant de feeling, une pluie de guests (Joe Satriani, Steve Vai, Slash, Mötley Crüe, Ozzy...), des compos et une prod au poil... Le tout au service du père du shock rock pour un carton plein associé à jamais à un film culte: Wayne's World. Megateuf !


4/ UGLY KID JOE - America's Least Wanted (1992)




Si l'adolescence était un disque, ce serait probablement celui-ci. Un concentré de fun et d'énergie. Blagues de potache mises à part, les californiens assaisonnent leur hard de diverses influences bienvenues (heavy, funk, folk). A l'image de nos premières fois, un disque qu'on n'oublie pas. Everything About You !


3/ AEROSMITH - Get a Grip (1993)




Par la faute d'un matraquage promo et de ballades diffusées en heavy-rotation (Cryin' et Crazy), beaucoup sont passés à côté du fait que le gang de Boston envoyait toujours le bois. Exemple avec le fougueux Eat the Rich que j'ai choisi de privilégier à des tubes comme Livin' on the Edge ou Amazing. Aerosmith? Un putain de groupe.


2/ EXTREME - III Sides to Every Story (1992)




Après le funky Pornograffitti, voici un album incroyablement ambitieux et d'une très grande richesse mélodique. Nuno Bettencourt porte le projet sur ses épaules et excelle dans tous les rôles. L'un des plus grands musiciens de sa génération et aussi l'un des plus sous-estimés.


1/ SKID ROW - Slave to the Grind (1991)




La perfection, aussi bien en studio qu'en live. Rien d'autre à ajouter... enfin presque.


Bonus: AC/DC - Live (1992)




Impossible de finir sans eux. Dont acte.
A vous maintenant.

Ah, M6 et le METAL, un histoire d'amour longue, plein de rebondissements, de "JE T'AIME, MOI NON PLUS", de conflits, de haine et bien plus encore...

Attention,
La plupart des vidéos ci-dessous ne sont visualisables sur Youtube UNIQUEMENT hors de France pour des raisons de droits...
pour regarder tout de même ces moments de gloire, utilisez les liens que nous proposons juste au dessus des vidéos.



5. 100% mag du 11 janvier 2011 -au secours, mon ado est gothique !
Un sujet tellement facile qu'on a du mal à leur en vouloir !

Au secours, mon ado est gothique
(lien pour visiteur français)




4. Ca me révolte - Le satanisme - 2003

CULTE, les débuts de M6 avec le monde du métal!
Déjà Jacky Cordonnier !
Marduk, Cradle of Filth etc







3. Enquête exclusive : Chamans, gourous - nouveaux sorciers, nouveaux dangers - Émission / Documentaire - Mai 2009

Avant COBRA, était-il possible de lier les sectes et le métal en France ?
NON !
Pourtant M6 a réussi ce lien !
Du journalisme d'investigation de grande qualité !
En guest star : Jacky Cordonnier
Bref, un blockbuster !

Partie 1 (à partir de 9 minute 30)



Partie 2




2.Zone Interdite 2006

Avant d'être Madame Debouze, Melissa Theriau a été le fantasme de pas mal de metalleux... grâce à ce splendide reportage complètement C-U-L-T-E avec des répliques inégalables dignes des meilleurs moments des Bronzés !

Partie 1
(lien pour visiteur français)



Partie 2
(lien pour visiteur français)




1. Un reportage méconnu diffusé par le 6 Minutes de M6 Nantes

On touche définitivement le fond avec tous les clichés du métal que l'on déteste dans ce reportage insoutenable

5. VARG LE VIKING




4. VARG LE TRUAND




3. GANDALVARG




2. SANTA VARG




1. VARG IS A FREAK !





BONUS





































Un grand merci à tout ceux qui ont contribué à ces montages photos sur le forum de VS, images à consulter ici

Le Metal est un style musical qui prend tout son sens sur scène. Et parmi les milliers d'excellents groupes de scène, au milieu des artifices ou des décors de scènes, certains groupe ont choisi de se déguiser, et d'apporter un éclat supplémentaire à leur prestation...
Revue d'effectif avec 5 groupes possédant parmi les meilleurs déguisements sur scène...

5- GHOST
Parce qu'en tant que metalleux, nous sommes tous des satanistes en puissance, et que ces suédois adeptes de messes noires ont opté pour un déguisement simple, mais efficace : un maitre de cérémonie en évêque satanique (Papa Emeritus) et ses Nameless ghoul encapuchonnés, tout de bures vêtus. La sobreté est de mise, le résultat ne mise pas sur le spectaculaire, mais plutôt sur la mise en place d'une ambiance légèrement La classe suédoise.



4- GWAR
Parce que quand on parle de Montres ou de déguisements, GWAR n'est jamais très loin... Pratiquant une sorte de Crossover/Thrash/Hardcore/Punk, les ricains sont également et surtout adeptes de mises en scène provocantes ou humoristique, ainsi que pour leurs costumes directement inspirés de films de science-fiction et d'horreur.
En ce qui concerne les déguisements, le bon goût est de mise... Pour un résultat honorable et surtout décalé :



3- PUNISH YOURSELF
Parce qu'ils ont la classe absolue en live, avec leur déguisements fluorescents peints à même la peau. Parce qu'avec eux, le live prend tout son sens, et que leurs déguisement sont en harmonie totale avec l'explosion scénique, entre décadence, provocation, esprit punk et ambiance festive. Et parce que leur cyber Punk 'n Roll éclectique est simplement réussi ...



2- LORDI
L'eurovision, c'est mainstream, mais il ne faut pas oublier que les gentils monstres de LORDI existaient bien avant cette reconnaissance médiatique. Et ils ont tout même la classe totale : leurs déguisements de monstres, quasiment un travail d'orfèvre, sont vraiment superbes. Et participent aussi à transformer le concert en spectacle. Associé avec un HardRock assez facile d'accès et dynamique, on obtient un groupe qui s'amuse autant que les spectateurs, dans une ambiance détendue du prépuce :



1- GRONIBARD
Parce qu'on a trop souvent tendance à associer déguisement avec costumes, alors que Robert (le petit) nous rappelle que : se déguiser, c'est aussi "Changer, modifier son apparence, afin de tromper".
Avec les Gronib', le travestissement est un art, qu'ils maitrisent à la perfection... La preuve :