
« J’ai découvert le vaudou au Burkina Faso, en voyant passer de sombres « Bokors » accompagnés de leurs sbires. Certaines images « brutes » de l’Afrique peuvent faire peur à des Européens, et j’ai peut-être fait preuve de couardise - ou de prudence – en ne traitant pas encore plus sombrement et violemment les thèmes de l’obscure croyance vaudou. On dit qu’ils sont puissants. On dit qu’ils ont de terribles enchantements, qu’ils parlent aux « ziins ». On raconte même ne pas devoir les regarder »
Extrait dispo dans le détail de la newz. (Vseur)