Je n'avais entendu parler de Yann Armellino que lors d'un concert, en première partie de Patrick RONDAT. Et dans les différents live-Report ce pauvre Yann se faisait méchamment casser. Bref j'attaquais donc cet album avec une certaine appréhension.
En fait, il n'y avait pas de quoi, car l'homme nous offre ici un excellent disque de BluesRock, pas totalement instrumental, et dont le but est de faire un véritable hommage au Blues, et notamment à l'un de ses piliers le fameux Robert Johnson (entre autre, n'oublions pas non plus la reprise de KISS!!)). N'allez pas croire non plus que notre homme à viré blues old school, au contraire il reprend certains classique ou encore écrit ses propres titres avec un son et une ambiance/attitude vintage, mais mixés avec son énorme savoir faire technique et mélodique, et surtout un aglomérat de sonorités bien actuelles (Heavy, Boucles électro, sons synthétiques...).
Résultat des soli de fou sur base ultra classique (ou un peu moins). L'ombre d'un Satriani n'est jamais loin (surtout à cause de ce son employé, à mi-chemin entre le Vintage et le mécanique), mais cela est un détail juste pour dire que notre homme joue bien dans la cour des grands. Et ce quatrième album, que l'on sent finalement très intime, nous offre un beau voyage, généralement calme (surtout par rapport à ce que j'écoute d'habitude), et rappellant que la guitare est quand même est sacrément bel instrument.
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En fait, il n'y avait pas de quoi, car l'homme nous offre ici un excellent disque de BluesRock, pas totalement instrumental, et dont le but est de faire un véritable hommage au Blues, et notamment à l'un de ses piliers le fameux Robert Johnson (entre autre, n'oublions pas non plus la reprise de KISS!!)). N'allez pas croire non plus que notre homme à viré blues old school, au contraire il reprend certains classique ou encore écrit ses propres titres avec un son et une ambiance/attitude vintage, mais mixés avec son énorme savoir faire technique et mélodique, et surtout un aglomérat de sonorités bien actuelles (Heavy, Boucles électro, sons synthétiques...).
Résultat des soli de fou sur base ultra classique (ou un peu moins). L'ombre d'un Satriani n'est jamais loin (surtout à cause de ce son employé, à mi-chemin entre le Vintage et le mécanique), mais cela est un détail juste pour dire que notre homme joue bien dans la cour des grands. Et ce quatrième album, que l'on sent finalement très intime, nous offre un beau voyage, généralement calme (surtout par rapport à ce que j'écoute d'habitude), et rappellant que la guitare est quand même est sacrément bel instrument.
Rédigé par : BozKiller | 14/20 | Nb de lectures : 9781