Deux ans après le mirifique Woest traité dans ses pages, le combo hollandais Winter Of Sin jette à nouveau un pavé dans la mare. S'il vous plaît, faites semblant de ne pas l'avoir vu. Ils vont peut-être en avoir marre et partir. Mmmmh. Ah merde non, ils sont toujours là, accrochés aux basque de CCP Records. Malgré de petits changements de line-up, on les reconnaît à la première note. Soupir...

A peu de choses près, Razernij est un bis repetita du premier album, sur la chronique duquel vous pouvez vous reporter. On peut même dire que Winter Of Sin est relaps, avec toujours les mêmes faux airs de Cradle du pauvre, surtout quand le clavier s'énerve un peu ou que le groupe tente un riff aussi thrashy que soporifique. Je vais donc me contenter d'un résumé de ma précédente chronique : c'est mou, c'est aussi inspiré que le scénario de "Plus belle la vie", c'est chiant. Les 42 minutes de Razernij semblent bien longues au chroniqueur qui cherche à vous éviter de perdre votre temps. Et pour montrer l'exemple, je vais faire court. A bon entendeur.


Rédigé par : Prince de Lu | 07/20 | Nb de lectures : 10473