WINTER'S VERGE est un groupe Chypriote (enfin, qui vient de Chypre quoi!) de Heavy-Speed mélodique fortement influencé par les années 90 (que ce soit la scène allemande ou scandinave).
Pour faire court, il y a sur cet album du bon (un peu) et du moins bon (beaucoup).
Bien carré d'un point de vue instrumental, WINTER'S VERGE fait preuve d'un certain savoir faire même si le chant de George (cherchez pas, y a pas de vanne) peine quelque peu à nous convaincre, notamment sur les parties aiguës.
Un autre des gros problèmes du groupe (assez récurent dans ce style), c'est le décalage qu'il y a entre une musique résolument “Happy” et la pochette, le titre de l'album, etc. C'est peut-être un détail mais, perso, ça m'a toujours un peu posé problème. Il y a quand même un petit souci de cohérence interne à parler de damnation éternelle sur l'air de tirelipimpon sur le chiwawa. Un peu space.
Autre point de réserve, le trop grand classissisme des compos. Lorsqu'elles sont plutôt réussies, c'est moyennement gênant (“Get Me Out”) mais lorsque ce n'est pas le cas (“Eternal Damnation”, “My Winter Sun”...) on a tendance à trouver le temps long.
L'album est peut-être également un poil déséquilibré. Il se termine en effet par une concentration de guimauves plus ou moins digestes (“Can You Hear Me”, “To You I Sail Tonight”, “Suicide Note”) qui n'incite guère à appuyer sur la touche replay.
Une sortie parmi d'autres qui satisfera peut-être les inconditionnels du genre mais pas de quoi réveiller un mort pour une biguine partie endiablée.
héhé la verge d'hiver
sinon pas écouté le groupe et je pense que ce n'est pas un mal =)
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Pour faire court, il y a sur cet album du bon (un peu) et du moins bon (beaucoup).
Bien carré d'un point de vue instrumental, WINTER'S VERGE fait preuve d'un certain savoir faire même si le chant de George (cherchez pas, y a pas de vanne) peine quelque peu à nous convaincre, notamment sur les parties aiguës.
Un autre des gros problèmes du groupe (assez récurent dans ce style), c'est le décalage qu'il y a entre une musique résolument “Happy” et la pochette, le titre de l'album, etc. C'est peut-être un détail mais, perso, ça m'a toujours un peu posé problème. Il y a quand même un petit souci de cohérence interne à parler de damnation éternelle sur l'air de tirelipimpon sur le chiwawa. Un peu space.
Autre point de réserve, le trop grand classissisme des compos. Lorsqu'elles sont plutôt réussies, c'est moyennement gênant (“Get Me Out”) mais lorsque ce n'est pas le cas (“Eternal Damnation”, “My Winter Sun”...) on a tendance à trouver le temps long.
L'album est peut-être également un poil déséquilibré. Il se termine en effet par une concentration de guimauves plus ou moins digestes (“Can You Hear Me”, “To You I Sail Tonight”, “Suicide Note”) qui n'incite guère à appuyer sur la touche replay.
Une sortie parmi d'autres qui satisfera peut-être les inconditionnels du genre mais pas de quoi réveiller un mort pour une biguine partie endiablée.
Rédigé par : BigHenry | / | Nb de lectures : 10298