THE WARRIORS – War is Hell (Alveran Records/Century Media) - 12/01/2005 @ 14h16
Après de bons débuts avec MAROON notament, Alveran, « le label cloneur » nous inflinge une tripotée de sorties qu'on sent de plus en plus dispensables.
The Warriors ne semble pas échapper à cette baisse de régime. Nostalgiques de SOIA ou des CROMAGS et plongés dans l'actualité en essayant de suivre TERROR et WALLS OF JERRICHO, THE WARRIORS se pose comme représentant d'un HxC sans appartenance à une école ou à un quelconque mouvement.
Ce quintet originaire de Tehachapi (Californie) pratique donc un HxC revitalisé par les sonorités Metal avec une grande, trop grande simplicité. Riffs minimalistes, compositions tournant sur des bases mélodiques de deux ou trois notes au maximum, poncifs usés jusqu'à la corde, seul la voix de Marshall Lichtenwaldt, sorte d'hybride entre Skin et Zack De La Rocha éveillera un peu les sens de l'auditeur.
Si on ajoute à cela une production sans relief et une faiblesse évidente dans le travail de composition, il ne reste pas beaucoup de qualités à faire valoir à ce « War is Hell » qu'on oubliera certainement assez vite.
Il faudra quand même noter le bel effort vocal ainsi que les quelques tentatives malheureusement peu fructueuses de personnalisation de la musique.
Attention, il existe aussi un groupe skinhead Uk appelé Warriors, ce sont les anciens Last Resort (groupe mythique 80ies pour les fans de Oi)
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The Warriors ne semble pas échapper à cette baisse de régime. Nostalgiques de SOIA ou des CROMAGS et plongés dans l'actualité en essayant de suivre TERROR et WALLS OF JERRICHO, THE WARRIORS se pose comme représentant d'un HxC sans appartenance à une école ou à un quelconque mouvement.
Ce quintet originaire de Tehachapi (Californie) pratique donc un HxC revitalisé par les sonorités Metal avec une grande, trop grande simplicité. Riffs minimalistes, compositions tournant sur des bases mélodiques de deux ou trois notes au maximum, poncifs usés jusqu'à la corde, seul la voix de Marshall Lichtenwaldt, sorte d'hybride entre Skin et Zack De La Rocha éveillera un peu les sens de l'auditeur.
Si on ajoute à cela une production sans relief et une faiblesse évidente dans le travail de composition, il ne reste pas beaucoup de qualités à faire valoir à ce « War is Hell » qu'on oubliera certainement assez vite.
Il faudra quand même noter le bel effort vocal ainsi que les quelques tentatives malheureusement peu fructueuses de personnalisation de la musique.
Rédigé par : Leguman | 08/20 | Nb de lectures : 9706