TENHI - Väre (Prophecy/Adipocere) - 03/12/2002 @ 22h09
Bien sûr je savais que j’allais aimer cet album avant même de le recevoir. Pas besoin d’être astrologue. Actifs depuis 1998 et le mini CD « Hallevedet », Tenhi avaient, dès leur premier album « Kauan » (1999), jeté un épais sortilège de glace sur les esprits avec leur dark atmosphérique subtil auréolé du folklore propre à ce territoire encore largement secret qu’est la Laponie arctique aux lacs d’opale immortelle. Quant au mini CD « airut:ciwi » de l’an passé, il n’avait que contribué à gonfler mes anticipations en révélant un Tenhi encore plus ancré dans les singulières résonnances ethniques de leurs ancêtres, vocalises chamanistes et instruments traditionnels à l’appui. Et je ne parle même pas de l’effet qu’a produit sur moi la performance scénique de Tenhi dans le cadre de leur virée acoustique aux côtés de Of the Wand & the Moon et Dornenreich à la même époque (cf. Live-Report sur ce même site). Avec tout ça, pouvais-je aborder « Väre » d’un œil objectif ? Ah, à quoi bon se poser la question… « Väre » est un miracle, quel que soit l’œil qui le regarde – dans la mesure où la rétine n’a pas été trop longtemps exposée aux radiations Manowar & Cie. « Vastakaiun », qui a le privilège d’ouvrir les débats, reprend là où « Souto » nous avait laissés deux ans auparavant, avec un périple au-dessus des nuages, tracé par les tons rembourrés à l’écho d’un piano sous sédatifs et d’une flute traversière à contre-emploi dans ses expirations mutilées qui font surgir des spirales de fumée fantômatique dans le ciel alentours. Le tableau jusque là presque lugubre, digne d’un Amber Asylum période « Frozen in Amber », se complète rapidement de percussions cardiaques tintant parfois comme le burin du sculpteur sur la pierre récalcitrante, vecteurs de la saine monotonie qui sied si bien à ce morceau de mise en condition. Un violon s’étire en banderoles ponctuelles et recherche les courants ascendants pour donner de l’altitude avant de laisser de nouveau la pièce flotter lentement dans les mains des autres instruments, et des quelques déclamations austères du jeune Ilkka Salminen, encore plus un augure solennel que la superbe voix lyrique qui emporte et console, celle qui irriguera les chapitres subséquents de l’album. Attachez vos ceintures, le voyage vient de commencer…

Que tu y abandonnes ta conscience ou en égrènes analytiquement les secondes, « Väre » te projette toujours dans un panorama full-surround, une immensité blanche constellée de frondaisons givrées, une végétation éparse faite de petits conifères figés comme des tourelles derrière un rideau de brume. Un regard en hauteur te révèle un ciel de coton tamisé de cicatrices d’anthracite à perte de vue. Un vertige, une sensation de lourdeur dans les jambes et d’écrasement dans la tête. Tout est tellement désolé ici, pourtant la clarté aveuglante et la pureté antique de l’endroit ne manquent pas de larder ta colonne vertébrale de frissons accompagnés d’incontrôlables poussées d’adrénaline. Une pression sur la commande qui active les récepteurs sensoriels et tu discernes très clairement l’odeur acidulée caractéristique de la toundra. Une fine brise à peine perceptible sous l’épaisseur de tes vêtements polaires s’enroule autour de tes chevilles, y faisant virevolter une mince chevelure de neige. Ce désert de paillettes spectrales s’étend aussi loin que porte ton regard, pour autant que tu saches la plaine uniforme pourrait s’étendre à l’infini. Pourtant, à l’extrémité de ton champ de vision, une menue aspérité dans l’unité du sol arrête soudainement ta contemplation. Il s’agit d’un petit tertre rocailleux qui, lorsque tu t’en approches, se révèle en fait être le surplomb d’une trouée insoupçonnée, une longue et irrégulière déclivité hérissée de rochers acérés qui interdissent l’accès à une vaste vallée encaissée au milieu de laquelle un fjord circulaire scintille dans son sommeil, offert au regard des nuages à travers une épaisse couche de banquise que la Nature a par miracle arrangée en une mosaïque de polygones superbement détaillés. Là-bas le vent souffle plus fort et en tourbillons, il balaye la glace, provoque des collisions de cristaux qui parviennent à tes oreilles comme une chétive arabesque de cordes, puis subitement le vertige recommence et l’espace s’emplit du timbre suranné d’un violon qui glisse, trébuche et se relève en courts crescendos avant de vaciller de nouveau. C’est « Jäljen » que tu entends, et c’est si beau et si fragile que tu as envie d’étendre ta main jusqu’à ce fjord inaccessible pour caresser et réconforter la mélodie. Mais avant même que tu puisses essayer de te transporter mentalement, la musique stoppe et s’agenouille par respect devant le serment prononcé le blizzard, un chœur de voix ardentes mais effacées, sans prétention et pourtant détentrices d’une puissance invincible car impalpable. Arrêt sur image…

Chez Tenhi le chant se fond dans l’arsenal instrumental, il n’est pas là pour conditionner les étapes des morceaux ni délivrer un message (de toute façon c’est du finlandais, alors bonne chance…) comme c’est le cas dans la plupart des musiques à texte, mais il se met en toute humilité au service de la composition, lui prêtant seulement aux moments nécessaires sa gamme d’intensités émotionnelles qui s’étend de la virginité d’un murmure perdu à l’ampleur dramatique d’un déluge de voix en harmonie. Même si les effets et les couleurs sont différents, cette abnégation fait parfaitement écho à l’approche qu’Empyrium ont initié sur « Weiland », privilégier dans l’écriture l’enseignement tiré des mouvements exacts et patients de la Nature, ne pas vouloir forcer le verrou du verbe juste, ne rien construire qui ne soit pas un élément spontané du paysage dépeint, respecter l’équilibre des siècles. La beauté n’est pas forcément le lustre, elle ne résulte pas d’une surabondance de richesses tape-à-l’œil ou d’une inspiration affectée. Ce qui fait la force et à mes yeux l’excellence de Tenhi, c’est qu’ils SONT ce qu’ils jouent. Ces visions qui sont pour nous des rêves lointains, ils les arpentent au quotidien depuis leur enfance. C’est du sang mêlé de glace qui coule dans leurs veines, et c’est ainsi le véritable esprit de leur terre qui navigue librement dans leur musique, non une impression fugace capturée dans une représentation utopiste de guide touristique et interprétée avec une sensibilité étrangère. Après tout, qui est le plus à-même de jouer du folk pyrénéen que Stille Volk ? Y a-t-il jamais eu de meilleur mélange entre metal et musique traditionnelle du Moyen-Orient que celui proposé par Orphaned Land eux-mêmes ? « Väre », c’est une fenêtre grande ouverte sur la Finlande hyperboréenne, une fenêtre au-delà de laquelle on aperçoit…

Une falaise saupoudrée de neige se dresse comme un haut donjon juste à ta verticale, sa cime masquant la bordure du lourd tapis de nuages qui semble stationner à la verticale au-dessus du fjord. Finalement, à force de crapahutes périlleuses, tu as fini par atteindre la cible de ta curiosité. Oh ce ne fut pas sans mal, à maintes reprises tu as buté sur des arêtes caillouteuses invisibles ou des roseaux déshydratés, et manqué perdre pied, risquant ainsi un écart fatal hors du sentier ténu et escarpé qui représente a priori le seul accès viable vers le rivage. Ici, juché sur une corniche malingre conquise sur plusieurs mètres par une langue du lac immobile, tu peux laisser errer tes yeux sur toute la surface ankylosée par le gel. Le vent hurle une plainte invertébrée dans tes oreilles et rabat ta longue tignasse blond-viking sur ta gorge et ton menton comme une écharpe frétillante. La morsure du froid est cruelle, mais la sensation qui prédomine à cet instant est celle d’un bien-être total, une intense sérénité que plus rien ne peut venir troubler, pas même la perspective de devoir remonter le sentier hostile avant la tombée de la nuit. Dans ton esprit explosent des centaines de rimes de poète, des odes à la majesté de ce microcosme immaculé ou des hymnes de passion primordiale mugis par les vents cosmiques au confluant des Univers. Une mélancolie rassurante qui dévore jusqu’à ce sentiment d’extrême solitude. Un air ancien et boursouflé de tristesse que les dieux en des temps immémoriaux nommèrent « Suortova » serpente lascivement à travers le fjord et semble vouloir élire domicile sur le pan de roche où tu te trouves. Tu y reconnais un entrelac délicat de violon, de viole et de guitare sèche. Leur authenticité te pétrifie sur place. La mélodie est si douce, si calme, sans à-coups, sans but… juste belle à s’évanouir, et sublimement innocente. Pourtant tu la sens te pénétrer et bloquer tes sens comme le chant d’une sirène jusqu’à ce que tu n’entendes plus rien d’autre. La tentation de t’aventurer sur le miroir des eaux prisonières est forte, mais une poche de résistance tire à l’arrière de ton subconscient. Si tu fais le premier pas, si tu fais offrande de ton être à la toute-puissance des éléments, sera-t-il jamais possible de revenir de l’autre côté, vers le monde réel ?

Tenhi disposent de bien des atouts pour séduire et hypnotiser leur monde. Non seulement ils possèdent toutes les clés culturelles et empiriques de la musique qu’ils pratiquent, comme nous l’avons vu plus haut, mais en plus ce sont des artistes d’exception qui sont à l’aise dans toutes les configurations de caractère. L’exemple le plus criant de cette flexibilité de caméléon est « Katve », un titre plutôt tonique où l’on rencontre un zénith rythmique à la limite du headbanging. Les percussions tribales s’emballent dans une transe grisante tandis que l’homme à tout faire de Tenhi, le petit Tyko Saarikko, libère des râles rauques puisés au plus profond de sa gorge comme de ses racines. On y entend aussi – comme à d’autres endroits de l’album – le bourdonnement sautillant de la guimbarde, jouée comme le reste avec contenance et savoir-faire. En somme, là où des disques devenus cultes comme le « Kveldsfanger » d’Ulver ou l’unique album de Wongraven se contentaient d’invoquer (avec génie certes) des atmosphères précieuses et oubliées, « Väre » regorge de mini-symphonies toutes très individuelles, le plus souvent écrites sur le mode largo molto, dont les détails les plus stupéfiants attendent parfois plusieurs écoutes avant de divulguer l’importance de leur rôle à l’auditeur. Passion et sagesse, deux extrêmes unis chez Tenhi en un grand principe fondateur, père d’un émerveillement jamais périmé. La Finlande est une amante divine. Le temps s’accélère…

Il y a eu cette minute de profonde angoisse durant lequel ton cerveau brouillé a refusé d’intimer à tes jambes l’ordre de poursuivre leur mouvement. C’était à l’instant précis où la balance de ton esprit avait de nouveau penché du côté de la lucidité, pour te submerger de la prise de conscience que tu étais égaré, seul au beau milieu d’un environnement nu et sans repères. La nuit était tombée depuis de longs moments, emportant dans son berceau les contours déjà nébuleux des éperons rocheux qui guidaient alors ta progression. Tu avais l’impression de percevoir d’inquiétants craquements sous tes pas, comme si la glace en certains endroits n’était qu’une plaque guère plus épaisse qu’un papier de cigarette plié en quatre, et menaçait de céder et de t’engloutir à jamais dans un maelström aveugle et impitoyable. Dans un délire, tu t’es même pris à craindre ce qui pourrait rôder à quelques encablures sous la glace, à l’affût d’un faux pas. Le périple avait perdu tout de son attrait magnétique et la peur enflait à chacune de tes inspirations haletantes. Et puis l’espoir est revenu. Tu as aperçu une lueur dans le lointain, droit devant toi, qui au bout d’une centaine de pas désordonnés et de deux chutes douloureuses sur le coccyx s’est avérée être celle d’un feu de camp disposé sur le rivage devant une minuscule cabane de pêche. Tu es resté plusieurs minutes figé sur place, remerciant une divinité dont tu ne connaissais pas le nom pour avoir sursis à la misère dans laquelle t’avait jeté ton insouciance. Malgré la distance tu pouvais déjà sentir l’effet cajoleur et bénéfique du feu sur ta peau gercée, et même humer les effluves de ce qui semblait être du hareng grillé, confirmant la réconfortante réalité de l’apparition. A présent tu arrives à portée de voix du rivage. Tu ne cours plus, inutile désormais de se presser. Une demi-douzaine d’hommes sont assis autour du feu, des autochtones si l’on se fie à leurs chevelures et à leurs longues barbes de platine ainsi qu’aux fourrures qui recouvrent leur épaules. L’un d’eux t’a vu arriver, ce qui déclenche chez toi un éclair d’appréhension, vite dissipé par un geste amical de l’homme qui semble t’inviter à venir prendre place dans le cercle. Et en effet l’accueil collectif est tout ce qu’il y a de plus hospitalier, à grands renforts de tapes bourrues dans le dos et d’exclamations joyeuses dans un langage aux étranges consonnances gastriques que tu ne comprends ni ne peux même vaguement identifier. Faisant fi de l’inconfort de la pierre aux angles saillants sur laquelle tes hôtes t’ont installé, tu te laisses peu à peu envahir par les vapeurs de l’alcool sévèrement corsé qui descend par hectolitres entiers dans leurs gosiers. Tu acceptes de bonne grâce une brochette d’une viande au goût âcre mais satisfaisant qui, à en juger par les ombres boisées qui paissent dans l’enclos voisin, doit être du renne. Les heures s’écoulent dans une bonhomie confraternelle de laquelle tu te sens de moins en moins exclu en dépit de l’impossibilité de communiquer autrement qu’avec des gestes inhibés par la boisson. Finalement, alors qu’il doit être selon une vague estimation près de minuit, l’armoire à glace pileuse qui gérait le barbecue empoigne une grosse guitare de bois mal poli recouverte sur toute sa surface de pictogrammes que tu interprètes comme des runes rituelles. Il gratte quelques arpèges de ses grosses mains calleuses pour accorder son instrument, puis entreprend un couplet intelligible avec un doigté surnaturel. Alors, comme mus par un signal connus d’eux seuls, les hommes interrompent leurs rires et leurs palabres, laissant même de côté des quartiers de barbaque à demi-entamés. Ils se lèvent et se postent silencieusement côte-à-côte en se tenant la main comme pour former une chaîne spirituelle. La mélodie ruisselle avec tendresse comme les grains dans un sablier, éveillant en toi une pointe de nostalgie énigmatique, comme si tu savais que quelque chose d’unique et de merveilleux est sur le point de se terminer. Tu fermes les yeux pour mieux t’imprégner de la richesse du moment. Alors s’élèvent à l’unisson les voix des hommes. Une polyphonie noble qui derrière sa solidarité poignante véhicule une douleur plus grande que tout, comme un appel désespéré vers quelque chose que l’on sait avoir perdu à jamais. Tu ne comprends rien, bien entendu, mais un groupe de syllabes revient régulièrement dans la litanie : « Kuolleesi Jokeen ». Tu as une vision d’un chœur d’anges célestes qui embrase l’horizon, mais ce ne sont que les crêtes des flammes qui meurent sous l’indifférence des étoiles. Tu es bouleversé… Tu écoutes Tenhi…




Rédigé par : Uriel | 19/20 | Nb de lectures : 10585




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Commentaire
Valdemort
Invité
Posté le: 04/12/2002 à 09h22 - (1500)
quelqu'un peu résumer? c'est quel style?

Sheb
Membre enregistré
Posté le: 04/12/2002 à 09h55 - (1501)
Je ne te permets de me tutoyer de la sorte... :-)



dark tranquillou
Invité
Posté le: 04/12/2002 à 12h22 - (1503)
Moi je dis bravo!Pendant dix minutes (le temps de lire toute la chronique) je me suis envolé d'argelès sur mer pour atterir quelques milliers de kilomètres plus au nord. Seul regret, le voyage fut bref (mais intense). Alors cher uriel, si je me procure l'album, combien de temps mon voyage durera (en gros quelle est la durée de l'album)? Ce dernier est un enchantement pour les oreilles, est-ce que le livret est un enchantement pour les yeux? La finlande nous a délivré un nouveau chef d'oeuvre, si son équivalent norvégien est le kveldsfanger d'ulver, je ne voudrai pas être un groupe pratiquant ce style, impossible de lutter.
Encore bravo pour ton travail de chroniqueur, Il y a un petit côté Laurent michelland qui ressort de temps en temps, mais contrairement à lui (et c'est un mieux) tu arrives à nous décrire le style (aprés tout c'est la musique qui compte). Par contre c'est facile de faire une bonne chronique quand on a un album ultime à décrire, alors je te propose un défi: même pas cap de nous faire une chronique de ce style pour le dernier hammerfall:)



MadManu
Invité
Posté le: 04/12/2002 à 15h11 - (1504)
C'est quoi Hammerfall?

kicky
Invité
Posté le: 04/12/2002 à 15h59 - (1505)
pas Hammerfall non ,
il veut dire Hammerfolle

Uriel
Invité
Posté le: 04/12/2002 à 18h16 - (1506)
@ Dark Tranquillou:
- Merci
- Durée: j'ai pas le disque sous la main mais de mémoire je dirais une grosse heure.
- Livret: je sais pas j'ai que le promo CD. Mais sur le site www.tenhi.com il y a une nouvelle galerie de photos à cuper le souffle.
- Laurent Michelland: tu sais que je pourrais le prendre très mal? ;-)
- Hammerfall: je n'en ai jamais écouté la moindre note donc je peux pas trop juger (d'un autre côté je te dirais que je ne crève pas d'envie d'en écouter)

geminy
Invité
Posté le: 05/12/2002 à 19h42 - (1508)
Des que j ai lu ta chronique , j ai pense a Rene Char { en raison des TU ] TU t en es inspire ou pas ?

jéjé
Invité
Posté le: 07/12/2002 à 14h41 - (1512)
Bravo pour ta chronique, on croirait ma mère quand je rentre tard et bourré... mais non j'déconne !!!

Nagel
Invité
Posté le: 08/12/2002 à 01h59 - (1517)
si après une telle description ça ne donne pas envie.. tenhi est vraiment un groupe à la sensibilité unique.

moi
Invité
Posté le: 14/01/2003 à 13h23 - (1801)
g pa lu la kronik passkelle est longue et ke je sui flemme
mai yen a pa bsoin pour achter cet album les yeu fermé
mieu ke leur premier cd on arrive au surpassement d'empyrium sur weiland

shamalo
Invité
Posté le: 01/12/2003 à 12h05 - (6317)
uriel....merci, sinff...
c bo

Hallu
Invité
Posté le: 20/01/2004 à 23h12 - (6837)
57 min magnifiques le cd... Par contre je le dis et le redis, faites des paragraphes plus courts, sautez des lignes, faites des alineas etc... C'est carrément illisible ça...

Joss
Invité
Posté le: 22/01/2004 à 11h56 - (6853)
@ Halu

ctrl C > ouvrir words ou autre logiciel texte > ctrl V > Ctrl P

Tu n'as plus qu'a lire ça dans un bon fauteuil à tête reposée ;-)

moi c'est ce que je fait en tout cas.

Nugava
Membre enregistré
Posté le: 09/09/2005 à 03h09 - (18738)
Bizarre, je n'avais jamais lu cette chronique... Et je le regrette... Faites-là lire à vos proches qui ne "comprennent" rien à la musique, vous serez étonnés... Ca va peut-être même leur ouvrir des portes...



Nugava
Membre enregistré
Posté le: 09/09/2005 à 03h14 - (18739)
Dommage pour la petite coquille dans la chronique (finnois !!!) héhé...



Nightwanderer
Membre enregistré
Posté le: 09/09/2005 à 11h20 - (18750)
Qu'ajouter à ça, sinon que si un album peut vous inspirer à ce point à sortir une pareille chro c'est que ça ne vous laissera pas indifférent!
Si vous êtes un tant soi peut sensible à la musique acoustique/atmo/ambient vous serez bouleversé par ce groupe et vous n'aurez plus qu'une idée en tête : vous procurez le reste de la disco de Tenhi.
Conseillé à tout amateur d'Empyrium sur "Where at night the wood grouse plays" ou "Weiland"



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