SYRACH - A Dark Burial (Napalm/Season Of Mist) - 28/09/2009 @ 08h31
Après un album en demi-teinte sorti en 2007, les Norvégiens de SYRACH reviennent avec un troisième album, « A dark burial », toujours sous la bannière Napalm Records.
Il a toujours été dit que le numéro trois était celui de la maturité, celui de la confirmation. C’est peut-être le cas.
SYRACH nous propose ici un album de doom qui s’écoute sans trop sourciller, mais sans non plus faire palpiter l’encéphalogramme.
Le groupe a l’art de distiller au compte-goutte quelques instants dignes d’intérêt au milieu d’une mare de sans intérêt. Là une belle ambiance glauque en guitare claire ou ici un petit riff sympathique. Mais tout le reste est fait de riffs bateau déjà entendus ou d’emprunts à d’autres genres qui ne transcendent pas le propos.
Ajoutée à cela, la voix poussive de M. Ripper, proche dans le timbre de Johan Edlung sur « Wildhoney », mais sans l’accompagnement qui va.
Avec un manque d’entrain global, d’une longueur moyenne, quarante-cinq minutes, « A dark burial » n’est cependant pas assez long pour ennuyer. Il s’écoute facilement sans y prêter attention. Et parfois lorsque l’oreille s’y attarde, elle capte quelques vibrations qui l’entraîne, mais jamais très loin.
Doté d’une bonne production, cet album est tout à fait correct mais devrait passer relativement inaperçu.
merde alors, je connaissais pas mais on dirait que je vais arriver juste pour Devil's Blood, dimanche ...
xxxfabxxx IP:80.13.3.209 Invité
Posté le: 29/09/2009 à 17h19 - (75572)
j'ai toujours préféré "syrach" à "sarkozy" de toutes manières !!!!!
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Il a toujours été dit que le numéro trois était celui de la maturité, celui de la confirmation. C’est peut-être le cas.
SYRACH nous propose ici un album de doom qui s’écoute sans trop sourciller, mais sans non plus faire palpiter l’encéphalogramme.
Le groupe a l’art de distiller au compte-goutte quelques instants dignes d’intérêt au milieu d’une mare de sans intérêt. Là une belle ambiance glauque en guitare claire ou ici un petit riff sympathique. Mais tout le reste est fait de riffs bateau déjà entendus ou d’emprunts à d’autres genres qui ne transcendent pas le propos.
Ajoutée à cela, la voix poussive de M. Ripper, proche dans le timbre de Johan Edlung sur « Wildhoney », mais sans l’accompagnement qui va.
Avec un manque d’entrain global, d’une longueur moyenne, quarante-cinq minutes, « A dark burial » n’est cependant pas assez long pour ennuyer. Il s’écoute facilement sans y prêter attention. Et parfois lorsque l’oreille s’y attarde, elle capte quelques vibrations qui l’entraîne, mais jamais très loin.
Doté d’une bonne production, cet album est tout à fait correct mais devrait passer relativement inaperçu.
Rédigé par : Matthieu | 12.5/20 | Nb de lectures : 9976