Encore un ! Un quoi ? Un énième projet sortant chez Frontiers records et regroupant des musiciens célèbres (enfin, dans le petit monde du Hard mélodique, il faut avouer que la ménagère de moins de 50 ans vautrée sur son canapé devant la Star Ac’ ou autre « émission » du genre à feuilleter Voici, n’aura jamais entendu parler d’eux, alors qu’elle connaîtra le dernier « tube » de Jennifer par cœur ou le dernier amant en date de Paris Hilton). Alors, on retrouve qui dans STARBREAKER… tout d’abord, Tony Harnell au chant et là, je sens que les fans de TNT ont des frissons de plaisir ; ensuite, on retrouve Magnus Karlsson de LAST TRIBE (et qui en ce moment travaille avec Russell Allen (SYMPHONY X) et Jorn Lande (MASTERPLAN, ex-ARK, ex-BEYOND TWILIGHT…) sur leur projet commun tant attendu) à la guitare et aux claviers ; à la batterie, on a John Macaluso, qui a tapé les fûts avec ARK, YNGWIE MALMSTEEN et même sur le « Realized fantasies » de TNT en 1992, du temps où il avait les cheveux aussi longs que moi… le monde est p’tit ; enfin, comme dans tout bon projet Frontiers qui se respecte, on retrouve Fabrizio Grossi à la basse et à la production.
Voilà, l’énumération ô combien fastidieuse mais néanmoins nécessaire est terminée et je vais enfin pouvoir parler du contenu musical proprement dit de cette galette. Tout d’abord, sachez que la musique de STARBREAKER est globalement plus Heavy que tous les projets où apparaît Fabrizio Grossi (PERFECT WORLD, TOMMY FUNDERBURK, JAMES CHRISTIAN, HOUSE OF LORDS…), ça on l’entend dès les premières notes de « Die for you ». Donc, je ne parlerais pas trop de Hard ou Rock FM ici, mais plutôt de Heavy Rock, un Heavy Rock sonnant assez moderne. Les guitares ont un mordant certain, le chant de Tony Harnell est impeccable (qui en aurait douté de toute façon ?), les mélodies passent comme une lettre à la Poste (enfin, façon de parler bien sûr, c’est une expression totalement fausse quand on y réfléchit), les compos sont extrêmement variées, alternant titres pêchus et d’autres plus légers, mais le tout toujours mélodique et inspiré.
Bref, si vous commencez à saturer des projets de Frontiers records, je vous conseille quand même de laisser une chance à cet album qui vaut vraiment le détour et moins formaté, plus épicé que les autres.
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Voilà, l’énumération ô combien fastidieuse mais néanmoins nécessaire est terminée et je vais enfin pouvoir parler du contenu musical proprement dit de cette galette. Tout d’abord, sachez que la musique de STARBREAKER est globalement plus Heavy que tous les projets où apparaît Fabrizio Grossi (PERFECT WORLD, TOMMY FUNDERBURK, JAMES CHRISTIAN, HOUSE OF LORDS…), ça on l’entend dès les premières notes de « Die for you ». Donc, je ne parlerais pas trop de Hard ou Rock FM ici, mais plutôt de Heavy Rock, un Heavy Rock sonnant assez moderne. Les guitares ont un mordant certain, le chant de Tony Harnell est impeccable (qui en aurait douté de toute façon ?), les mélodies passent comme une lettre à la Poste (enfin, façon de parler bien sûr, c’est une expression totalement fausse quand on y réfléchit), les compos sont extrêmement variées, alternant titres pêchus et d’autres plus légers, mais le tout toujours mélodique et inspiré.
Bref, si vous commencez à saturer des projets de Frontiers records, je vous conseille quand même de laisser une chance à cet album qui vaut vraiment le détour et moins formaté, plus épicé que les autres.
Rédigé par : Shaka | 16/20 | Nb de lectures : 10301