SLAYER - Full Metal Target - Par Jean-Paul Coillard (Camion Blanc) - 20/01/2010 @ 08h29
Enfin un « camion blanc » sur Slayer ! Depuis le temps que j’attendais ça, c’est désormais chose faite. C’est Monsieur Jean-Paul Coillard qui s’est collé à la tâche et nous raconte donc sur plus de 560 pages, l’histoire des rois du thrash en donnant à son ouvrage un nom qui colle parfaitement à l’odyssée du groupe : Full Metal Target.
Avant qu’on rentre dans les détails, on peut être sûr de deux choses à la lecture du pavé : M. Coillard est un fan hardcore de Slayer et M. Coillard s’est sacrément investi dans ce projet.
Le gars adopte un style narratif et suit la carrière de Slayer en donnant la parole au groupe laissant donc ces derniers expliciter les textes, les albums, les relations qu’ils ont avec leurs « collègues » et leurs fans.
Si je devais parler de Slayer à un néophyte je lui dirais que :

- Slayer c’est "Angel of Death", "Chemical Warfare", "South of Heaven", "Ghosts of War" et tant d’autres classiques de la musique métallique.
- Slayer c’est The Slaytanic Whermacht (le nom de leur fan club), les multiples déclarations politico-sociales douteuses de King, le SS sur la guitare de Hanneman, certains de leurs fans fort peu fréquentables, une confiance frisant l’outrecuidance.
- Slayer c’est un sacerdoce pour les quatre pistoleros, un groupe qui n’a guère dévié de sa ligne de conduite originelle depuis plus d’un quart de siècle, des musiciens reconnus et appréciés par leurs pairs, une puissance de feu incroyable et un des groupes les plus influents de ces dernières années.

Jadis, j’avais vu un épisode de l’émission « Strip tease » qui était consacré à un mec pour le moins raciste. Et le gonze arborait fièrement un T-shirt Slayer avec la fameuse tête de mort et le casque d’un soldat de la Whermacht. Pour certains de mes amis qui ne connaissaient pas le metal, j’écoutais le même groupe que ce mec et donc j’étais comme lui. C’était évidemment un raccourci facile, mais j’ai souvent dû me justifier à propos de Slayer. J’aurais pu laisser couler, mais je n’ai jamais pensé que c’était des Néo Nazis et j’avais suffisamment bien lu les lyrics d’"Angel of Death" pour savoir que les gars n’y glorifiaient pas le troisième Reich. Contrairement aux autres big four, Slayer traînait (et traîne toujours) cette image sulfureuse qui fait que ce n’est pas le groupe dont on parle comme Anthrax par exemple.
JP Coillard l’a parfaitement compris et nous livre donc sans détour l’histoire de ce groupe de légende.

La première question importante est « Est-ce que ce livre peut apprendre quelque chose à quelqu’un qui connaît bien Slayer ? ». En ce qui me concerne, je connais plutôt bien le groupe (sans être un fan absolu) et j’avoue qu’il y a de nombreuses choses que j’ai apprises grâce au bouquin. En effet camarade, tu seras étonné d’apprendre que Kerry King était un enfant surdoué (ce n’est pas une blague), que Dave Lombardo aurait aimé incorporer des rythmes latino dans la musique de Slayer, que Jeff Hanneman est le seul Slayer qui ne se soit jamais marié et que Tom Araya est un ancien thérapeute en réanimation.
Pour le côté « People », on est servi. « Full metal Target » couvre aussi toutes les polémiques et tous les scandales qu’a pu provoquer Slayer. Il est intéressant de noter d’ailleurs que toutes sont remises dans leur contexte avec explications du groupe à l’appui.
M. Coillard JP argumente d’ailleurs souvent en faveur du groupe, mais on y reviendra plus tard.
Slayer a une place à part dans le cercle très fermé des stars du metal. A côté de Black Sab, Maiden, Metallica, Judas Priest et d’autres, Slayer fait figure de dur à cuire : la représentation radicale de la musique amplifiée, ce qui fait dire à beaucoup qu’ils sont intouchables.
A cela plusieurs raisons : Des albums magistraux, des shows ébouriffants, une image forte, des musiciens charismatiques, une confiance en eux très forte, un vrai sens de la provocation et le goût du scandale. Tous ces points sont développés dans le livre avec des explications détaillées sur la genèse des albums et de tous les morceaux. L’auteur nous aide à plusieurs moments à mieux comprendre l’univers du groupe.

« J’ai toujours été fan de Judas Priest, et quand ils se sont mis à faire autre chose, je me suis senti offensé, chose que je peux dire aussi de Metallica, dont j’ai été un grand fan, jusqu'à ce qu’ils sortent "Load", qui était comme une gifle. Mais quand Priest a sorti « Turbo » je voulais sortir et leur ficher une balle dans la tête : Pour moi ils essayaient d’être commerciaux pour passer à la radio et toucher un gros paquet. Etant un grand fan de musique et de Slayer, je ne veux pas que nos fans se sentent baisés. A mes yeux, c’est une sorte de trahison, et je ne nous vois vraiment pas faire ça. »

Kerry King « Full Metal target »

Pour moi, ce passage est révélateur de ce qu’est Slayer. Des passionnés qui parlent sans se censurer et qui calquent leur motivation sur des émotions que nous avons tous ressenties à un moment ou à un autre vis-à-vis de nos groupes favoris. Le coup « de la balle dans la tête » est savoureux n’est-ce pas ? C’est du King pur jus et le bougre en a sorti des bien plus saignantes encore, vous pourrez le constater à la lecture du livre.

Les grands moments de l’histoire de Slayer sont évoqués ainsi que les événements les plus marquants de leurs nombreuses tournées marathon. Mais comme je le disais plus haut, Slayer a fait parler de lui avec d’autres choses que sa musique et a aussi provoqué bien des remous avec ses lyrics et ses déclarations fracassantes.
Le livre revient sur chacune d’entre elles, en laissant à chaque fois les musiciens expliciter ce qui a pu les motiver dans leurs provocations et leurs coups d’éclat.
En effet, le groupe est bien plus malin qu’il ne paraît au premier abord et le livre démontre à plusieurs reprises qu’ils ne sont pas si bourrins qu’ils en ont l’air (même si à plusieurs moments, leurs réflexions sont vraiment au raz des pâquerettes).

Le problème, c’est quand le narrateur se joint au groupe pour tenter de justifier des provocations que les Slayer explicitent d’une manière assez « facile » et pas toujours très claire, se limitant bien souvent à « On est Slayer et on fait ce que l’on veut ! Si les gens se sentent offensés : c’est leur problème ».
Le caractère « Fan » du narrateur l’empêche de pointer avec rigueur les contradictions du groupe alors que les Slayer ne se sont jamais gêné pour pourrir certains de leurs collègues.
Il est aussi intéressant de noter qu’à nombreuses reprises, l’auteur se joint au groupe pour critiquer vertement Metallica et Megadeth (avec une petite louche pour Anthrax) afin d’asseoir Slayer sur le trône des Patrons du metal.
Slayer est un sacré bon groupe, on va pas dire le contraire mais c’était peut-être pas la peine d’aider King à descendre les groupes qu’il n’aime pas : il le fait très bien tout seul (c’est d’autant plus relou quand King monte Slipknot au pinacle puis descend juste après des groupes largement plus influents que le gang de Des moines).

Du coup, entre les déclarations du groupe et l’avis du narrateur, tout se mêle, et on finit par se dire que Slayer souffre d’un manque de reconnaissance (aussi bizarre que cela puisse paraître) et que se répéter « On est les meilleurs » les aide à s’en convaincre.
Bref quelques plaquages auraient été salvateurs car comme on dit « Qui aime bien… ». Car à la fin du livre, on en a un peu marre de lire que les Slayer sont les meilleurs, que personne ne peut passer après eux sur scène, etc. Cependant, encore une fois, l’auteur est en cohérence avec l’esprit du groupe tour à tour fatiguant lorsqu’il enfonce des portes ouvertes et fascinant quand on pénètre dans l’antre de la bête.
Mais je ne passe pas sous silence que le livre est très bien documenté et se laisse lire très facilement. Sans être pompeux, le style est agréable et on prend un grand plaisir à suivre les tueurs dans leur route jusqu’au sommet.
Il y a parfois des bio qui sont un peu chiante à lire car chez certains groupes, sorti de la musique, ils n’ont pas grand-chose à raconter. En ce sens-là, et même si on n’aime pas les groupes, « The dirt » de Motley ou « La fièvre de la ligne blanche » de Motörhead sont très sympa à lire. Rassurez-vous donc, la carrière de Slayer est suffisamment riche en événements de toute sorte pour ne pas s’ennuyer… tout particulièrement quand elle est émaillée des commentaires des pipelettes que sont King, Araya et bien sûr, l’impayable Jeff Hanneman.

Car au final, malgré toutes les casseroles et les nombreux « Mustaine est un connard » , je me suis rendu compte que j’avais une grande sympathie pour les sidérurgistes… et je me suis aussi rendu compte que je me trompais plus jeune : Slayer ne peut être limité à ses frasques, pas plus qu’à ses morceaux : il est tout cela à la fois. C’est peut-être ce qui fait le très bon côté de l’ouvrage, le narrateur arrivant à traduire le bruit, la fureur, l’humour et la franchise d’un combo qui nous conte une histoire musicale à ne pas mettre entre toutes les oreilles. Fuckin’Slayer…


Auteur Jean-Paul Coillard
Prix 34 €
Nombre de pages 576


Rédigé par : pamalach | Livre/ | Nb de lectures : 14591




Auteur
Commentaire
SlaytaniC
IP:83.195.54.185
Invité
Posté le: 20/01/2010 à 09h14 - (79872)
bien bien bien. en temps que fan hardcore des 4 californiens, achat obligatoire. mais 34 € c'est pas cadeau non plus je trouve heureusement qu'il y a le net pour acheter moins chere...

quand a se fameux crane rasé belge au t-shirt qui va bien , je m'en souvient trés bien. j'au du me justifié au pret de mme SlaytaniC que je n'etait pas un nazi moi aussi et que slayer non plus!!

puis finalement, il était pas mignon a la fin notre nazion avec sa petite fille fraichement nait?. plus bête que méchant...

et comme dirait tom le chrétien: SEE YOU IN HELL!!!!

Arioch91
Membre enregistré
Posté le: 20/01/2010 à 09h19 - (79873)
Je suis en train de difficilement terminer ce pavé. Difficilement, parce qu'imbuvable à la longue, la faute à un style rédactionnel qui use et abuse des virgules pour transformer une simple phrase en un machin d'une demie-page

; la faute à un fan OK, mais qui trouve le moyen de rabâcher le couplet du groupe qui aborde la guerre/le diable/les tueurs en série dans ses textes à toutes les sauces et à toutes les pages. Oui, on a bien compris, à force que tu nous bassines avec : Slayer parle de guerre, de satanisme et de tueurs en série dans ses textes.

; la faute à un gus qui donne vraiment l'impression d'avoir été payé au mot (à la virgule surtout...) pour rédiger ce livre. C'est long, long et encore long.

Je rajoute également que les photos illustrant le livre sont tirées d'une ou deux sessions photos grand max. Ca fait vraiment pitié d'agrémenter une oeuvre retraçant plus de vingt ans d'histoire avec si peu de matière première.

Ah, jallé oubliai lai fotte daurtograffe, suije baite...

Malgré tout, je suis fan du groupe et je me régale quand même avec ce bouquin.

Mais la prochaine fois, Camion Blanc, vu le prix de vos ouvrages, un minimum de relecture serait le bienvenu, et puis résumer le texte qu'on vous envoie à la publication également serait une bonne chose. Là, sérieux, y avait de quoi gagner 100 pages faciles en virant redondances, futilités et environ 300 milliards de virgules ^^





g.laraikikol
IP:90.50.16.225
Invité
Posté le: 20/01/2010 à 09h42 - (79877)
@slaytanic change de meuf elle a pas l'air super intello ta gonz!

Youpimatin
Membre enregistré
Posté le: 20/01/2010 à 11h40 - (79880)
Kerry a été le 1er gratteux de Megadeth...

godrod
IP:90.50.16.225
Invité
Posté le: 20/01/2010 à 11h54 - (79882)
ah bon!!!

CHRYSEIS
Membre enregistré
Posté le: 20/01/2010 à 12h52 - (79889)
J'en suis presque à la fin et ma foi bof bof, et je suis fan de Slayer.

La faute à Slayer est géniale, il n'y a pas plus puissant, etc... On sent bien que l'auteur est un fan, mais il n'a pas pris assez de recule sur son livre... il donne trop son avis.

Les photos ont aurait pu avoir largement mieux tout de même : les 5 ou 8 même.

De mémoire vers les pages 60, Ventor de Kreator aurait été le premier batteur de Slayer ???? .... peut être que ma mémoire est défaillante ;)

Bref je le termine péniblement

Jettez vous plutôt sur the dirt de Motley ou bien Motorhead car là.... ça se déguste

Omnio

Blind
Membre enregistré
Posté le: 20/01/2010 à 13h10 - (79890)
Très bonne chro de Pamalach (comme d'hab' diront les habitués de ses kro remember), ça m'a presque donné envie de lire ce bouquin. Mais un gros frein quand même, le prix! 34€ pour un bouquin, faut les sortir quand même. Dommage...

Youpimatin
Membre enregistré
Posté le: 20/01/2010 à 13h33 - (79892)
D'où Ventor a joué avec Slayer ? Je savais pas mais j'ai beau vérifier, j'ai pas trouvé d'infos là dessus. L'auteur laisse un contact dans le bouquin ou pas, ça m'intéresse !

erf
IP:81.220.19.153
Invité
Posté le: 20/01/2010 à 13h49 - (79894)
bonne chro mais quelle est l'utilité d'un livre sur slayer sachant que la prochaine news sur VS relative au groupe rendra le livre obsolète?

Arioch91
Membre enregistré
Posté le: 20/01/2010 à 14h27 - (79897)
@erf : si ta prochaine news de Slayer sur VS contient le livre dans son intégralité, je dis pas, mais dans le cas contraire...

@CHRYSEIS : pas souvenir d'avoir lu que le batteur de Kreator aurait été le premier batteur de Slayer...

Jus de cadavre
Membre enregistré
Posté le: 20/01/2010 à 16h02 - (79906)
"Slayer traînait (et traîne toujours) cette image sulfureuse qui fait que ce n’est pas le groupe dont on parle comme Anthrax par exemple"

Très bien dit et c'est CA qui est bon et qui permet au metal d'avoir encore une petite odeur de soufre !

Je suis en plein dans le bouquin en ce moment, ça le fait !



SlaytaniC
IP:86.195.250.244
Invité
Posté le: 20/01/2010 à 17h56 - (79911)
g.laraikikol: trop tard. marié et deux petits thrashers sont nés. mais ils faut bien avouer que quand on ne connait pas vraiment les 4 gus, c'est un groupe qui peut faire peur. surtout qu'elle est le métal ça fait deux!!

pi jeff hanneman est marié mais n'a pas d'enfant(s).
kerry a joué avec megadave mais juste pour lui filler un coup de main.

est il bien informé ce mec sur slayer?...



RBD
Membre enregistré
Posté le: 20/01/2010 à 17h57 - (79912)
Je suis en train de le lire aussi et je suis tout à fait comme Ariochneufun. D'ailleurs, je n'arrive à le lire qu'en petites portions à côté des autres bouquins que je lis, ça fait plus d'un mois... On en reparle quand j'aurai fini.

CHUCK MAURICE
Membre enregistré
Posté le: 20/01/2010 à 20h45 - (79919)
VENTOR batteur de KREATOR? qu'est ce que c'est que ces conneries ! ben tiens d'après mes sources, Kerry KING aurait également eu une carrière d'acteur porno en californie au début des 80's !

Pascal Borino
IP:82.250.228.152
Invité
Posté le: 20/01/2010 à 20h53 - (79920)
C'est trop franchouillard

Bruit
IP:92.103.172.165
Invité
Posté le: 21/01/2010 à 08h54 - (79926)
Marrant que sur la pochette du livre, King soit devenu gaucher.

CHRYSEIS
Membre enregistré
Posté le: 21/01/2010 à 12h59 - (79935)
à Youpimatin et Chuck MAurice, vers les pages 60 de mémoire. Je regarde ça ce soir et je vous recopie le passage

jean-francois
Membre enregistré
Posté le: 21/01/2010 à 17h09 - (79940)
ça faisait un moment que j'attendais ce genre de bouquin, alors malgré le prix je crois que je vais craquer

Destroyer
IP:195.93.102.8
Invité
Posté le: 21/01/2010 à 18h33 - (79943)
@ Slaytanic :"au pret" / auprès ; "nazion" / nazillon ; "naît" / née (WTF????!!!!)

ça pique vraiment les yeux, désolé...

Merde...
IP:88.162.206.11
Invité
Posté le: 21/01/2010 à 20h40 - (79949)
@ Bruit : bonne observation ! Ça veut dire que pour 34 euros, t'as des photos inversées, c'est super...

CHRYSEIS
Membre enregistré
Posté le: 22/01/2010 à 12h13 - (79976)
à Youpimatin et Chuck MAurice, vers les pages 60 de mémoire. Je regarde ça ce soir et je vous recopie le passage.

Mémoire défaillante, mais j'ai retrouvé à la fin de l'histoire du thash : "featuring Paul Bostaph de Kreator" le pourquoi de Ventor pour ma part qui lui est bien le batteur (sous estimé) de KREATOR

SlaytaniC
IP:83.195.63.219
Invité
Posté le: 23/01/2010 à 19h25 - (80020)
Destroyer: j'etais, je suis et je resterai un putain de gros boulet en orthographe. desolé pour tes yeux.

Crom
Membre enregistré
Posté le: 02/03/2010 à 13h55 - (81339)
A la lecture de ce bouquin, un constat s'impose : Slayer c'est une discographie fantastique, une machine de guerre scénique impitoyable mais aussi... une histoire pas très intéressante construite par des vieux ricains aux idées merdiques. Les déclarations de Kerry King sont parfois (souvent ?) franchement pitoyables : pas de provoc', pas d'idéologie radicale mais simplement une pensée pauvre et réactionnaire (les criminels irrécupérables, la loi laxiste, l'avortement est un criiime...). Un bon résumé du côté pas cool de l'esprit redneck ricain. Ces gars se prennent pour des punks alors que leur pensée est conformiste au dernier degré. Franchement, je suis déçu ; fan absolu de la carrière de Slayer, j'aurais souhaité lire une histoire et un discours à la hauteur de l'excellence de leur discographie.
Sinon, livre trop long, souvent indigeste (l'idée de commenter chaque titre de chaque album pourrait avoir un sens si les textes de Slayer présentaient une quelconque profondeur, ce qui est loin d'être le cas).
Je viens de me taper le livret du coffret MMV (Venom) ; bien plus captivant tant en terme de biographie que de discours (!).
Camion Blanc ferait bien de ne pas trop nous prendre pour des vaches à lait en proposant des bouquins à la qualité discutable...



Dittohead
IP:90.32.32.199
Invité
Posté le: 02/03/2010 à 17h52 - (81344)
Livre lourdingue. Ca part dans tous les sens, c'est confus, et finalement le livre ne raconte quasi rien de neuf sur Slayer. J'aime Slayer mais là franchement c'est trop (c'est les plus fort, les meilleurs etc...), je n'ai rien appris, et il y a au moins la moitié du livre qui ne sert à rien (des redites encore et toujours).

Danaos
Membre enregistré
Posté le: 11/03/2012 à 11h09 - (100937)
Je suis en train de le lire, et j'ai beaucoup de mal à le terminer, alors que d'habitude j'engloutis les livres Camion Blanc en trois jours maximum.
C'est mal écrit, et truffé de fautes de français.
L'auteur est un thuriféraire aveugle qui encense son groupe jusqu'à la mauvaise foi.
L'apport personnel est bien maigre : le livre est en fait une compilation d'interviews dans des journaux, essentiellement français.
Bref, la biographie définitive de Slayer reste à écrire.



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