PEGAZUS n'a rien à voir avec le manga culte "Saint Seiya" ("Les chevaliers du Zodiaque" en français). Mais oui, souvenez-vous : dedans, il y avait les chevaliers de bronze, et Seiya, c'était le chevalier Pégase ! Personnellement, je préférais Shun, le chevalier Andromède, avec son armure toute rose, sa chaîne et ses longs cheveux verts. Cet album n'a également rien à voir avec "Sleepy Hollow", le film à l'ambiance gothique avec Johnny Depp. Mais oui, souvenez-vous : c'était une histoire de cavalier sans tête ! Et si je vous dis que PEGAZUS est un groupe australien, n'allez pas croire que c'est un clone d'AC/DC ou de ROSE TATTOO. C'est encore moins un groupe de poètes comme DESTROYER 666. Non, vous l'aurez deviné puisque c'est moi qui se charge de cette kronik, PEGAZUS donne dans le Heavy Metal pur et dur, sans compromis. Alors les références sont plutôt HAMMERFALL, IRON FIRE (beaucoup) et j'en passe. C'est marrant de citer ces "jeunes" groupes, car l'air de rien, PEGAZUS fait figure de vieux combo. En effet, ils existent depuis 1993, soit près de 10 ans ! Ce groupe ne prend donc pas le train en marche, puisqu'il s'est lancé dans la course (à l'échalote ?) à une période où le Heavy Metal traditionnel était plutôt mal vu. Par contre, si vous aimez ce style pour la rapidité des compositions, je tiens à signaler que PEGAZUS se cantonne à des rythmes assez mid-tempo, ce qui à la longue est un peu lassant. Mais bon, les fans de True Metal à la MANOWAR apprécieront : un album dans la bonne moyenne, sans plus...


Rédigé par : Shaka | 13/20 | Nb de lectures : 6418