OZZY OSBOURNE - God Bless Ozzy Osbourne (Eagle Vision/Naive) - 02/12/2011 @ 08h32
C’est encore sous le coup de la double annonce des concerts de Black Sabbath en juin 2012 sur le modeste territoire français (date au Hellfest, fuckin’Clisson et Paris Bercy), que je voudrais, très personnellement, rendre un nouvel hommage à leur chanteur historique, Ozzy.

Que Dieu bénisse Ozzy Osbourne ? Dieu j’en sais foutre rien, mais fookin’ hell, lorsque je lis les commentaires aussi vides de fond que de respect au regard du personnage sur quelques forums dès qu’une actualité, justifiée ou non, appelle une brêve, hé bien je suis consterné par le très haut niveau de bêtise et d’ignorance. Pour abonder dans le sens de certains, admettons légitimement les impondérables observations, en toute objectivité : oui Ozzy apparaît parfois physiquement diminué, oui Ozzy possède un jeu de scène limité et toujours aussi prévisible, oui Ozzy chante souvent faux en live, oui Ozzy a accepté malgré lui des concessions ridicules pour accroître sa notoriété, oui Ozzy est par conséquent drivé par une poigne de fer en la personne de sa redoutable épouse, et oui, enfin fois oui, Ozzy est aujourd’hui âgé, comme tous les mecs, comme ton père, qui sont nés après la seconde guerre mondiale.
Alors d’abord, pour ne pas que les commentaires inutiles affluent, une poignée de réponses à ces assertions : le bonhomme est certes abîmé, ayant consommé plus de drogues et d’alcool que n’importe qui dans le business (sa personnalité sujette à un haut degré d’addictions le place aux côtés d’un Keith Richards ou d’un Lemmy), notamment dans les années 2001-2004, époque où il est devenu cette immense Star internationale avec The Osbournes, malgré une indescriptible dépendance à l’alcool mêlée à une sur-consommation d’anti-dépresseurs expliquant ainsi sa démarche et sa diction de zombie sénile tout au long des quatre saisons (ici justifiées...). Quant à ses prestations lives, il se comporte pour le moins spontanément sur les planches, étant naturellement lui-même, à savoir un entertainer-né faisant le clown afin de se faire accepter et donc aimer des autres, et ce depuis l’école primaire où il a développé, pour le restant de sa vie, un abyssal manque de confiance en soi ; l’intéressé n’a jamais proclamé être un chanteur technicien hors-pair (contrairement à des Ronnie, Rob, Robert ou Bruce...). Comme tant d’autres immenses rock-stars de stature internationale, Ozzy a joué le jeu de la sur-médiatisation en participant à de la TV-reality (The Osbournes, donc...), des publicités ou des émissions diverses et variées (quid d’un incorruptible Iggy Pop aux Galeries Lafayette ???). Sharon, son épouse et manager est bien la fille de Don Arden, l’un des managers de groupes de rock les plus puissants de tout le business depuis la fin des années 50, aux méthodes mafieuses et encore plus radicales que Peter Grant -donc oui, la rouquine est redoutable, utilisant force, chantage, pouvoir et opportunisme pour marketer son mari, alors à la rue au printemps ’79 lorsqu’il fut éjecté de Black Sabbath : traînant son manque de confiance en soi comme une misérable malédiction, Ozzy imaginait son avenir à 30 balais comme ex-chanteur anonyme et oublié de tous vendant des hot-dogs dans le froid de la 5ème avenue, incapable de croire en sa bonne étoile, et donc forcément épaulé par quelqu’un de fort le remettant, constamment, et jusqu’à ce jour encore, dans le droit chemin. Et enfin, oui, Ozzy aura 63 ans dans quelques jours, mais tourne encore inlassablement autour du monde chaque année.
La preuve : deux concerts en France en juin prochain, dans un pays où il n’a jamais récolté de succès et d’intérêts particuliers (petites salles, concerts annulés faute de préventes, un Bercy à peine à moitié rempli.

Vous l’aurez compris, j’aime défendre le personnage de maintes attaques mesquines : en tant que fan depuis plus de vingt ans, je ne perds jamais une occasion de vanter les mérites de ce grand nom du rock’n’roll, depuis, oh, plus de quarante ans.
Ce DVD est inespéré : jamais n’aurais-je honnêtement osé rêver pouvoir visionner un tel document, mis en image avec autant de sincérité. Autant puis-je m’autoriser avoir tenté de dresser un des portraits les plus justes possibles du chanteur à travers un point de vue de fan dans mon bouquin «Du Cauchemar à la Réalité» en 2007, autant cette bio-rockumentaire exceptionnelle m’a complètement bluffé par son réalisme, sa cruauté, son objectivité, sa richesse ou sa tendresse. Déjà, la Home-Vidéo «Don’t Blame Me : The Tales Of Ozzy Osbourne» avait-elle déjà rempli ses promesses, back in 1991. Ce premier documentaire assez complet brossait avec moult images d’archives jusqu’alors complètement inédites (pas d’internet à l’époque, les kids !) les grands moments de sa carrière depuis ses débuts dans Black Sabbath en 1969, jusqu’au gigantesque succès autant commercial qu’artistique de son dernier album en date, «No More Tears». Tout ou presque était alors passé en revue, insistant bien entendu sur le personnage public, ses frasques, ses légendes, ses démons et son statut d’alcoolique ennemi-public N°1 aux USA avec bon nombre d’histoires aussi fantasques qu’uniques en leur genre (décapitation de volatiles, ivresse, suicides, pseudo-satanisme, etc, etc).
En 2011, sort donc ce «God Bless Ozzy Osbourne», 100 fois supérieur au précédent, produit et supervisé par rien moins que Jack Osbourne, son dernier fils de 25 ans, personnage de la série The Osbournes, et jeune rescapé de quelques années d’addictions également. Fierté de son père, le jeune homme est néanmoins lucide et a voulu plus que tout montrer au monde QUI était son père ; QUI était John Michael Osbourne, ce garçonnet né après guerre dans les faubourgs bombardés de la banlieue de Birmingham, berceau des industries métalurgiques d’une Angleterre dickensienne élevant ses fils dans des corons où régnaient alcoolisme chronique, violence, analphabétisme et misère ouvrière. QUI est l’homme sensible derrière le masque du grand-guignol, de la dérision et de l’excès ayant grandi dans un tel environnement jusqu’à ce que son destin déraille à jamais sur une voie inespérée et parallèle, le menant à un succès aussi improbable compte tenu de ses qualifications artistiques (aucune ?) que phénoménal (plus de 100 millions d’albums vendus -pas mal). Une vie sous forme de roller-coaster où tournées sold-out dans tous les stades et arènes de la planète rentraient en collision avec de multiples décès, où les centaines de disques d’or et de platines menaient aux pires cauchemars et gueules de bois terrifiantes, où la folie d’une vie sur la route prenait des chemins aussi abruptes menant en prison, en cour de justice, en divorces, au cimetierre, en cure de désintox, ou dans le caniveau.
Filmé sur une période de trois ans par les équipes sélectionnées par Jack, Ozzy apparaît backstage pendant la tournée «Black Rain», et dans de nombreux autres décors où il se livre sans tabous ni langue de bois sur les hauts et les bas de sa vie. Si sa mémoire peut lui faire défaut, de nombreux faits sont rapportés par une impressionnante liste d’intervenants, musiciens, proches et famille, à commencer par son épouse ou bien ses enfants, tous à mille années-lumières de leurs rôles superficiels de membres d’un clan dysfonctionnel d’une hacienda de Beverly Hills et suivis par des caméras H 24. Lumière sur la vérité, lumière sur les faits et les traits les plus vrais de la personnalité de John Michael, quitte même à ce que cela fasse mal : par exemple, de leur père, son fils Louis et sa fille Jessica (nés d’un premier mariage dans la première moitié des années 70) diront qu’il fut absent, négligeant et loin d’être à la hauteur, et ce dans un moment de confession assez bouleversant. De Tony Dennis -son assistant- à de nombreux musiciens, personnalités, journalistes et membres jusqu’alors inconnus de sa famille (frères et soeurs, entre autres), tous viennent apporter quelques touches de lueur, de nuances et de vérité sur un homme dont finalement les gens ne savent pas grand-chose, hormis, une certaine autre vérité, celle des coupures de presse et des légendes urbaines.
Le docu est monté de façon suffisamment rythmée et dynamique pour ne jamais s’ennuyer, mêlant vieilles images d’archives (connues ou strictement inconnues -même d’un collectionneur ultra-complétiste comme votre serviteur !), photos privées, flashs TV, confessions sur canapé, images de tournées et moments de recueillement intimistes et calmes, ainsi que de quelques images lives captées lors de sa dernière tournée avec Zakk Wylde, notamment en Amérique du Sud.
A travers toutes les années 70 avec le Sab’, les 80‘s avec la folie d’un huluberlu alcoolique et sur-cocaïné, ou jusqu’aux années 2000 où le pire (la déchéance éthylo-chimique durant le tournage de la série) a pu cotoyer le meilleur (une sobriété enfin trouvée, constante et assumée, ainsi qu’un retour à des productions discographiques plus que dignes), «God Bless Ozzy Osbourne» est une réussite du début à la fin, sans temps mort ni ennui, sans complaisance ni fausses excuses.

Révisons donc certains de nos jugements, hâtifs et distordus par le sensationnalisme et notre méconnaissance. Non seulement Ozzy Osbourne a-t-il enregistré huit albums quasi-tous parfaits avec Black Sabbath (et s’il ne les a pas composés, n’étant pas musicien, au moins en a-t-il été le mélodiste et la voix -pas mal déjà, uh ?) et inscrit quelques-uns des plus beaux joyaux du patrimoine du heavy-metal lors d’une carrière solo au succès constant depuis 1980 (les albums avec Randy Rhoads, Jake E.Lee, Zakk Wylde, helloooo ???), mais aussi est-il toujours resté le même, profondément humain, sensible et humble, incarnant toujours avec fragilité le petit gamin insecure d’Aston, traumatisé par une vie déséquilibrée à jamais mais heureusement épaulé par une manager qui grâce à son sang-froid et son cran, a fait de son protégé l’une des figures les plus vraies et touchantes qui soient, ever. A commencer par ces images où John-Michael revient dans les rues de son quartier d’enfance...

Pour terminer, et corroborer avec la réelle simplicité du personnage, je me souviens d’une vieille citation où Ozzy disait avoir consommé les quelques dizaines de Livres Sterling reçues comme avance pour la sortie du premier album de Black Sabbath début 1970 en invitant ses potes au pub, en achetant deux cartouches de clopes, et en se payant un flacon d’Eau de Cologne, «pour effacer l’odeur de la misère». Lorsque je l’ai interviewé en avril 2007, pour la première fois dans le cadre des studios Abbey Road où il venait faire la promo de son album, ce qui m’a le plus marqué fut sa forte et cheap odeur de parfum : de l’Eau de Cologne. Il n’a jamais oublié ; et est resté lui-même.


Rédigé par : Jean-Charles Desgroux | 18/20 | Nb de lectures : 14754




Auteur
Commentaire
Black Phoenyx
IP:82.216.26.121
Invité
Posté le: 02/12/2011 à 08h59 - (98792)
Rarement la chronique d'un dvd, qui plus est documentaire et sur une personnalité que je ne connaissais pas plus que ça, m'aura donné autant envie de le voir et d'en apprendre davantage. Je n'ai qu'une chose à dire : Merci.

dimmu77
Membre enregistré
Posté le: 02/12/2011 à 10h11 - (98797)
eh bien on dirait qu'il existe un plus gros fan d'Ozzy que moi :)

je n'étais même pas au coutant de cd dvd, je vais me jeter dessus, la chro donne envie et résume bien le personnage souvent décrié par des gens qui ne connaissent d'ailleurs pas grand chose de sa discographie...

OZZY rules !!!



josh
IP:81.51.36.244
Invité
Posté le: 02/12/2011 à 11h50 - (98802)
belle declaration d'amour.

Mais ca aurait été sympa d'avoir des details technique: durée? bonus? sous titrages en francais? sortie en blu ray?...

Camerata
IP:212.94.190.219
Invité
Posté le: 02/12/2011 à 11h53 - (98803)
Etant mega fan depuis seulement 3 ans (oui je sais ça craint lol), j'ai vite rattrapé mon retard, notamment avec ton livre JC et l'autobio d'Oz, donc je connaissais déja à peu près tout mais ça a conforté mon idée selon laquelle Ozzy est vraiment un mec gentil, drôle, simple et très attachant, ça se voit dans ses yeux.
Ozzy rules ! :D

Camerata
IP:212.94.190.219
Invité
Posté le: 02/12/2011 à 11h57 - (98804)
@Josh : il dure environ 1h40, sous-titré en français, je l'ai en Blu-ray et pour les bonus t'as un certain nombre de scènes coupées dont une très drôle où Oz manque encore de se casser la gueule lol une interview avec Jack et Ozzy, et un reportage au Tribeca film festival où était présenté le film

Jus de cadavre
Membre enregistré
Posté le: 02/12/2011 à 12h07 - (98805)
Il sera mien !
Grand fan du bonhomme aussi.

Iro
Membre enregistré
Posté le: 02/12/2011 à 12h24 - (98809)
Merci Jean Charles, on connait ta verve et ta passion pour Osbourne. Reste que je campe sur mes positions: Il est à la ramasse et fait de la merde depuis quelques temps! Bien sûr il ne peut plus faire des chansons poussiéreuse et malsaine comme il y a 40 ans, il faut que ça vende plus et que le son soit lourd. Soit, que les fans les plus accrocs fonce se faire son indigeste discographie solo depuis, bah depuis Crazy Train si on est honnête. Pour la reformation du grand (du géant, du sérénissime) Sabbath: Je serais sagement au Hellfest, comme tout mélomane français qui se respecte. Ozzy devra me faire hérisser les poils plus haut qu'un certain DIO au même endroit il y a trois ans... A lui de jouer!

Stéphane
Invité
Posté le: 02/12/2011 à 13h24 - (98815)
"son indigeste discographie solo depuis, bah depuis Crazy Train" ?!? Ouais bon là j'ai même pas envie de perdre mon temps à argumenter contre...
Un gars qui maîtrise parfaitement son sujet, nous fait partager sa passion, et qui plus est écrit bien. MERCI Jean-Charles pour cette ode à Ozzy ô combien méritée!

Camerata
IP:212.94.190.219
Invité
Posté le: 02/12/2011 à 14h27 - (98818)
Moi je dis God bless Jean-Charles^^

AndJOKEforAll
IP:86.77.150.213
Invité
Posté le: 02/12/2011 à 22h43 - (98829)
J'ai trouvé le film bien pénible.
Je précise que j'adore Ozzy sur disque et que je m'attendais à un beau documentaire, un peu dans l'esprit de celui sur Lemmy.
Mais là j'ai eu le profond sentiment d'assister à un procès à charge ou même à une exhibition type baraque de foire en raison de l'énumération racoleuse des aspects les plus pathétiques du personnage, entre ses addictions, ses frasques scatologiques, ses décapitations d'animaux et la tentative d'étranglement sur Sharon. J'en oublie certainement.
C'est tellement axé sur le sensationnel et SI PEU sur la musique qu'on a l'impression de voir les pires pages d'un magazine people portées à l'écran. Où se situe la musique là-dedans ? A vrai dire quasiment nulle part.
J'ai même eu la désagréable impression qu'on y évoquait Randy Rhoads essentiellement pour amplifier le pathos, tandis que le talent des guitaristes suivants est passé complètement à la trappe (pas assez tapageurs ou alcooliques, pas de morts violentes au programme...)

Un bien triste état des lieux d'un acteur essentiel de notre scène métallique.
Le summum étant presque de le montrer à la fin du docu en train de colorier sagement des dessins abominablement laids avant de les offrir à notre regard navré. Quelle misère d'en arriver là ! Evidemment c'est mieux que de le savoir couché la gueule ouverte sous un tonneau de whisky et de la coke plein les narines, mais tout de même, le mythe en prend un sérieux coup dans l'aile. On le verrait se mettre au crochet, ce ne serait pas pire !

Je ne doute pas de l'honnêteté de la réalisation, mais il me semble que lorsqu'on assiste à pareil spectacle, on se dit qu'on ne devrait s'en tenir qu'au personnage scénique, aux prestations du bonhomme et aux traces discographiques qu'il nous accorde, au lieu d'être les témoins en coulisses de ses démons et de ses actes discutables.
Ce qui était triste, impudique et pénible dans la série The Osbournes l'est tout autant sur un docu d'une heure et demi.
J'ai envie de garder en tête l'image d'Ozzy au Hellfest, pantin habile programmé pour le show, en roue libre, sûr de lui mais charismatique en diable, plutôt que ce film qui donne terriblement envie de lui jeter la pièce.
Grandeur et décadence.

hammerbattalion
Membre enregistré
Posté le: 02/12/2011 à 23h29 - (98830)
Quand j'ai vu la jaquette du dvd en haut à droite, je m'apprêtais déjà à faire mon hater adolescent typique d'internet, tant le personnage m'exaspère.

Puis j'ai lu ta chronique qui est très bien écrite et donne un bon aperçu du personnage.

J'étais fan d'Ozzy jusqu'à No More Tears, après tous ses albums m'ont déçu, beaucoup déçu (Stéphane on en parlera sous le tepee le jeudi soir du Hellfest après le barbeuq, à deux grammes si tu veux) et j'ai toujours préféré le Sabbath de Dio, j'y peux rien mes oreilles parlent.

Tout çà pour dire que ce mec correspond à un certain âge d'or du metal, sans internet, sans modes, sans barrières sur les outrances. Je suis en train d'écouter The Crimson Idol de W.A.S.P. au casque, que de putains d'albums à cette époque et je pense que les Ozzy, Lemmy et autres stars venues d'un autre âge vont terriblement nous manquer bientôt, où est la relève?

Stéphane
Invité
Posté le: 03/12/2011 à 14h59 - (98840)
Je trouve aussi que les albums d'Ozzy après "No More Tears" sont moyennement inspirés (même si j'ai quand même un faible pour "Ozzmosis" qui au moins essayait de proposer autre chose).
Mais je pense aussi que le dernier grand album de Motörhead c'est "Overnight Sensation" et ça remonte quand même à 1996!
Ce qui n'enlève rien à l'immense respect que j'ai pour ces deux artistes, et au plaisir que j'ai eu récemment à les voir sur scène.
Donc oui, pour paraphraser ce thrasher de François Valéry : AIMONS-LES VIVANTS! ;)

brumbeat
IP:82.236.70.112
Invité
Posté le: 04/12/2011 à 10h41 - (98858)
J'ai lu (et relu plusieurs fois depuis 2 ans, c'est dire si j'ai kiffé) le bouquin d'Ozzy, et ça m'a paru plutôt exhaustif. Qu'est ce que ce DVD apporte en plus ?

Le Druide
IP:82.67.29.241
Invité
Posté le: 04/12/2011 à 16h26 - (98873)
Intéressant de constater que pour pas mal de gens (dont je fais partie) "No more tears" marque la fin d'une période dans la carrière du madman.

Le Druide
IP:82.67.29.241
Invité
Posté le: 05/12/2011 à 20h37 - (98905)
@ AndJOKEforAll : Je viens de mater le dvd et j'ai eu le même sentiment que toi : où est la musique là-dedans ???
C'est plus le portrait de l'homme que celui du musicien que nous propose ce documentaire.

Au final, "God bless Ozzy Osbourne" est le parfait complément de "Don't blame me".

Stéphane
Invité
Posté le: 08/12/2011 à 00h44 - (99001)
Euh oui, c'est ce qu'a dit Jean-Charles... Vous lisez les chroniques des fois ou bien??

Le Druide
IP:82.67.29.241
Invité
Posté le: 26/01/2012 à 07h52 - (100039)
@ Stéphane : aides-moi, stp, t'as l'air d'être un malin toi, héhéhé, je n'arrive pas à trouver dans la chro où il est écrit que :
* "God bless Ozzy Osbourne" est le parfait complément de "Don't blame me"

Tout ce que je trouve dans cette chro, c'est que :
* God Bless Ozzy Osbourne est 100 fois supérieur au précédent.

Merci bonhomme :-)

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