Comme Marilyn Manson ou encore Alice Cooper, Maryann Cotton est un garçon ! La « vraie » Mary Ann Cotton étant une sorte d’ancêtre de serial killeuse qui empoisonnait ses victimes à l'arsenic du temps de la reine Victoria. En plus d'être un garçon, Maryann est une demi célébrité... Il a un participé a une émission de recherche de talents à la télé danoise... et encore en plus de tout ça il a un papa (comme tout le monde me direz-vous, j'en profite pour embrasser le mien!). Le vrai nom de Maryann est Jackie (c'est pas un prénom de fille, ça?) Patino. Patino comme Hal Patino (non pas Al Pacino), le bassiste de KING DIAMOND ? Dans le mille Émile (Louis ?) ! Et tant qu'à faire une disque, papa Hal a rameuté ses potos Pete Blakk, Snowy Shaw et même Andy LaRocque même si maintenant la guitare est tenue par Sebastian Sly...
Musicalement, le but était de jouer du shock rock comme le fait Alice Cooper... mais à mon sens c'est tout le mauvais côté d'Alice Cooper qui a été choisi. Je m'explique, j'aime bien en général ce que propose le sieur Furnier, mais il a quand même pondu quelques daubes... notamment « the Man behind the mask » pour un épisode de Vendredi 13... en voulant faire trop pop et trop produit... Eh bien pour ce premier album c'est le sentiment qui ressort vouloir faire trop pop, trop propre et trop produit. Cotton a beau vouloir imiter Cooper quand il fait sa grosse voix, ça reste vraiment trop produit ici pour avoir un effet qui se voudrait glaçant. On a quelques titres plus pêchus qui finissent par se détacher sans être très originaux comme le pêchu « Never waste land » ou le heavy rock « Get it on ».
On a un peu l'imlpression que ça bouffe à tous les râteliers... on a de la ballade poppy (avec orgue, piano) comme le beatlesien « Crazy », de la ballade avec piano et violon, « Night Train to Paris » et « Maryann », du rock groovy fortment mélangé à du funk avec « Die in Britain » (on croirait presque à un morceau pêchu de Michael Jackson !!! avec ses arrangements synthétiques) ou « Free falling Angels » (qui commence un peu comme du Jimi Hendrix) ou bien encore « Miss misery » avec son côté funk de 70's (arrangements de cuivres, de violons, de percus). On aussi quelques chansons de rock mais pas super violentes...
Ce premier album de MARYANN COTTON nous propose du rock théâtral bien trop arrangé pour faire mal à un mouche... ça s'écoute mais on n'a pas plus envie que ça de se le remettre dans les oreilles sans que ça soit une torture... du moyen moins en somme.
Niveau de modération : Commentaires non modérés par l'administration du site
Ce commentaire est soumis à la lecture et à l'approbation des modérateurs.
S'il ne suit pas les règles suivantes : Pas de pub, pas de lien web, pas d'annonces de concerts, il ne sera pas retenu. Plus d'infos
Musicalement, le but était de jouer du shock rock comme le fait Alice Cooper... mais à mon sens c'est tout le mauvais côté d'Alice Cooper qui a été choisi. Je m'explique, j'aime bien en général ce que propose le sieur Furnier, mais il a quand même pondu quelques daubes... notamment « the Man behind the mask » pour un épisode de Vendredi 13... en voulant faire trop pop et trop produit... Eh bien pour ce premier album c'est le sentiment qui ressort vouloir faire trop pop, trop propre et trop produit. Cotton a beau vouloir imiter Cooper quand il fait sa grosse voix, ça reste vraiment trop produit ici pour avoir un effet qui se voudrait glaçant. On a quelques titres plus pêchus qui finissent par se détacher sans être très originaux comme le pêchu « Never waste land » ou le heavy rock « Get it on ».
On a un peu l'imlpression que ça bouffe à tous les râteliers... on a de la ballade poppy (avec orgue, piano) comme le beatlesien « Crazy », de la ballade avec piano et violon, « Night Train to Paris » et « Maryann », du rock groovy fortment mélangé à du funk avec « Die in Britain » (on croirait presque à un morceau pêchu de Michael Jackson !!! avec ses arrangements synthétiques) ou « Free falling Angels » (qui commence un peu comme du Jimi Hendrix) ou bien encore « Miss misery » avec son côté funk de 70's (arrangements de cuivres, de violons, de percus). On aussi quelques chansons de rock mais pas super violentes...
Ce premier album de MARYANN COTTON nous propose du rock théâtral bien trop arrangé pour faire mal à un mouche... ça s'écoute mais on n'a pas plus envie que ça de se le remettre dans les oreilles sans que ça soit une torture... du moyen moins en somme.
Rédigé par : Papy Cyril | 9,5/20 | Nb de lectures : 12354