KAISERREICH - Ravencrowned (De Tenebrarum Principio) - 18/10/2011 @ 07h59
"Allo, Mr Reich? Oui, je vous appelle pour vous récompenser de votre fidélité et vous annoncer que vous êtes notre millionième groupe à sortir le même album. Félicitations, Mr Reich. Nous vous offrons des ventes très limitées de votre nouvel album et un abonnement annuel aux premières parties sur les affiches de votre région. Encore bravo!"
D'Italie, vous avez peut-être écouté Sturmkaiser qui livre un black aussi traditionnel que furieux. Dans la même saignée musicale, leurs petits cousins de Kaiserreich livrent juste le traditionnel. Le quartet lombard a compris qu'il s'agissait d'aligner des trémolos pour former de jolies mélodies, ils ont compris ce qu'était un blast, mais le reste ne suit pas. Quand on déroule un black qui ne surprend pas, il convient d'au moins y mettre la ferveur. Kaiserreich enfile les trémolos collés au chewing-gum au fond du sac à riffs. C'est pataud, ça n'avance pas. Le titre le plus travaillé de l'album doit probablement être son intro orchestrale de près de 3 minutes. Mais pas la peine d'aller plus loin, vous aurez oublié le contenu de cet opus dès qu'il aura fini de tourner.
Tout n'est pas black pour autant. Le son est plutôt bon, les guitares sont lourdes de fréquences basses, la batterie a été travaillée en studio mais claque correctement. Le site web a été repeint à neuf, prêt à encaisser la déferlante de connexions des potentiels fans. Mais quand un groupe n'a rien à offrir, tous ces efforts d'emballage s'avèrent d'autant plus vains. Sous le soleil d'Italie, rien de nouveau.
ce fut bref mais intence ^^ merci Prince du Lu - je me chuterai moins à la cafeine aujourd'hui
Arnahud non connecté IP:78.241.54.139 Invité
Posté le: 19/10/2011 à 23h37 - (97737)
Sous le soleil d'Italie y'a le new Abhor qui décalque bien.
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D'Italie, vous avez peut-être écouté Sturmkaiser qui livre un black aussi traditionnel que furieux. Dans la même saignée musicale, leurs petits cousins de Kaiserreich livrent juste le traditionnel. Le quartet lombard a compris qu'il s'agissait d'aligner des trémolos pour former de jolies mélodies, ils ont compris ce qu'était un blast, mais le reste ne suit pas. Quand on déroule un black qui ne surprend pas, il convient d'au moins y mettre la ferveur. Kaiserreich enfile les trémolos collés au chewing-gum au fond du sac à riffs. C'est pataud, ça n'avance pas. Le titre le plus travaillé de l'album doit probablement être son intro orchestrale de près de 3 minutes. Mais pas la peine d'aller plus loin, vous aurez oublié le contenu de cet opus dès qu'il aura fini de tourner.
Tout n'est pas black pour autant. Le son est plutôt bon, les guitares sont lourdes de fréquences basses, la batterie a été travaillée en studio mais claque correctement. Le site web a été repeint à neuf, prêt à encaisser la déferlante de connexions des potentiels fans. Mais quand un groupe n'a rien à offrir, tous ces efforts d'emballage s'avèrent d'autant plus vains. Sous le soleil d'Italie, rien de nouveau.
Rédigé par : Prince de Lu | 09/20 | Nb de lectures : 12238