Avec l'illustration de la pochette on est vite mis sur la voie... GRUMPYNATOR est un groupe de gominés... et en plus il y a un contre-bassiste dans ses rangs... « Wonderland » est le premier album de ce quatuor danois qui a auparavant sorti 2 EP : un éponyme en décembre 2011 et « 666 RPM » en février 2013. Les membre du groupes ont également donné un coup de main à VOLBEAT, Jakob le contre-bassiste est invité sur les 2 derniers album du groupe et joue notamment sur les morceaux « 16 dollars et « Lonesome rider » et fait des apparition aux concert du groupe, Christian, le guitariste soliste, lui, a joué de la guitare acoustique pour la bande de Poulsen.
Musicalement on n'a ni du pur rockabilly, ni du pur psychobilly... on a un mélange des 2 avec en plus une bonne dose de metal et une grosse influence MOTÖRHEAD.
« Wonderland », après son intro qui lance le disque sur de la boîte à musique, est purement un morceau de metal auquel on a ajouté de la contre-basse (qui est bien mise en avant) ; d'autres chansons oscillent en psycho et rockab (« Walking in the night », « Burning in the snow » et ses alternances passages lents passages rapides, « Walked away », « stalker » avec ses influences country) et par moments GRYMPYNATORS joue dans le lourd et gras (le lent « The calling », le mid ultra lourd « This is my life », ou le motörheadien « Pray for your life »). On notera l'excellent rapide et heurté « Mama no » et son break très rockabilly et la ballade qui clôture l'album en finesse mêlant chant guitare acoustique et violoncelle, « A life without you ».
Les Danois nous proposent un bon premier album en mélangeant avec bonheur plusieurs courants du rock et du metal et ils s'en sortent haut la main, la seul faute de goût venant du répétitif « Speeding #2 » qui ne l'est même pas speed...
Pas grand rapport avec le psycho mais l'extrait est agréable.
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Musicalement on n'a ni du pur rockabilly, ni du pur psychobilly... on a un mélange des 2 avec en plus une bonne dose de metal et une grosse influence MOTÖRHEAD.
« Wonderland », après son intro qui lance le disque sur de la boîte à musique, est purement un morceau de metal auquel on a ajouté de la contre-basse (qui est bien mise en avant) ; d'autres chansons oscillent en psycho et rockab (« Walking in the night », « Burning in the snow » et ses alternances passages lents passages rapides, « Walked away », « stalker » avec ses influences country) et par moments GRYMPYNATORS joue dans le lourd et gras (le lent « The calling », le mid ultra lourd « This is my life », ou le motörheadien « Pray for your life »). On notera l'excellent rapide et heurté « Mama no » et son break très rockabilly et la ballade qui clôture l'album en finesse mêlant chant guitare acoustique et violoncelle, « A life without you ».
Les Danois nous proposent un bon premier album en mélangeant avec bonheur plusieurs courants du rock et du metal et ils s'en sortent haut la main, la seul faute de goût venant du répétitif « Speeding #2 » qui ne l'est même pas speed...
Rédigé par : Papy Cyril | 14/20 | Nb de lectures : 8336