En voyant la pochette de cet album de FATAL SMILE, où il est clairement indiqué qu’il vient de Stockholm en Suède, j’ai tout de suite cru que c’était un nouveau groupe de Glam Punk dans le genre de BACKYARD BABIES ou HARDCORE SUPERSTAR. Pas vraiment, car FATAL SMILE a vu le jour en 1995 et a dû ronger son frein avant la sortie de « Beyond reality », son premier album, en 2002. « Neo natural freaks » est donc le deuxième album du groupe. Mon intérêt a été éveillé par la bio qui indique que « FATAL SMILE est un mélange d’influences digérées et recrachées avec hargne : Graham Bonnet, BLACK SABBATH, BRIDES OF DESTRUCTION, Zakk Wylde, TESTAMENT, LOVE/HATE… ». Bref, que du bon et surtout, de la variété !
En fait, pour faire court, FATAL SMILE est un groupe de Heavy Rock qui se la joue parfois très Heavy (les cœurs Thrash sur « Practice what you preach », sans doute un hommage à TESTAMENT ; la fin presque Power Metal de « Dead man walking »…). Mais, le tout reste extrêmement mélodieux, les refrains sont d’enfer, « Crash & burn » est même un hit en puissance ! Le chant de H.B. Anderson, mélodique et légèrement éraillé, me rappelle pas mal Jeff Scott Soto. La production est très bonne, elle a été confiée (tout comme le premier album) à Jonas Ostman et le mixage à Stefan Glaumann (RAMMSTEIN, BACKYARD BABIES…).
Non vraiment, cet album est une belle réussite, une vraie surprise (j’avoue que je suis passé à côté de « Beyond reality »), pas franchement révolutionnaire, mais je trouve qu’il sonne très frais et assez varié, tout en gardant une réelle unité. Il devrait plaire à tout fan de Heavy Rock bien rentre-dedans.
Le nom du groupe est vraiment ridicule :D
Mais sinon la zik est sympa
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En fait, pour faire court, FATAL SMILE est un groupe de Heavy Rock qui se la joue parfois très Heavy (les cœurs Thrash sur « Practice what you preach », sans doute un hommage à TESTAMENT ; la fin presque Power Metal de « Dead man walking »…). Mais, le tout reste extrêmement mélodieux, les refrains sont d’enfer, « Crash & burn » est même un hit en puissance ! Le chant de H.B. Anderson, mélodique et légèrement éraillé, me rappelle pas mal Jeff Scott Soto. La production est très bonne, elle a été confiée (tout comme le premier album) à Jonas Ostman et le mixage à Stefan Glaumann (RAMMSTEIN, BACKYARD BABIES…).
Non vraiment, cet album est une belle réussite, une vraie surprise (j’avoue que je suis passé à côté de « Beyond reality »), pas franchement révolutionnaire, mais je trouve qu’il sonne très frais et assez varié, tout en gardant une réelle unité. Il devrait plaire à tout fan de Heavy Rock bien rentre-dedans.
Rédigé par : Shaka | 16/20 | Nb de lectures : 12337