EVIL ONE - Evil Never Dies (Manitou/Socadisc) - 17/06/2009 @ 09h18
J'avais vu EVIL ONE, il y a quelques années en concert, à l'époque le chant était partagé entre une jeune fille à la douce voix et le batteur, Speed, qui growlait. À l'époque, le bassiste de « coeur » du groupe, Fabrice était encore de ce monde. À l'époque, la musique pratiquée était aussi me semble-t-il plus orientée extrême que celle d'aujourd'hui.
L'orientation du groupe est maintenant speed mélodique, avec un chant clair masculin, celui de Fred. Le groupe fait un peu penser à ADX à l'image du premier titre de l'album, « Evil never dies » avec ses gros choeurs. « Trashback » est comme on s'y attend un titre de thrash, toutefois il contient un break acoustique et un solo signé Jeff Waters de ANNIHILATOR (qui s'est également occupé du mastering). « Feel the pain » alterne passages lents et lourds avec passages rapides (en crescendo). L'intrumental « Instant Annihilation » est une inutile démonstration de guitare. L'efficace « Wounds of war » marque par son refrain fédérateur, le titre contient une intervention de Betov de ADX. « Perverse morality » est un morceau bien speed. « Contract in blood » est un long titre dont l'intro, parlée, dite en latin, fait imanquablement penser à celle de « The number of the beast » de IRON MAIDEN; ce morceau a de nombreux changements de tempo et du chant growlé, on notera aussi un passage à la basse, lui aussi tout à fait maidenien. « The conqueror » est un morceau mélodique pas super réussi. Le disque se termine sur « Mr Bassman » une ballade acoustique en hommage à Fab. Le morceau est plein de feeeling, dommage que le chant en début de morceau manque de maîtrise (trop plaintif et trop haut perché) mais ça s'arrange ensuite. La version finale de l'album contient également une reprise de ADX (« Suprématie »)que je n'ai pas entendue donc je la signale juste.
Ce « Evil Never dies » est un bon moment de speed mélodique old school qui ne changera pas la face de la musique mais qui est très agréable.
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L'orientation du groupe est maintenant speed mélodique, avec un chant clair masculin, celui de Fred. Le groupe fait un peu penser à ADX à l'image du premier titre de l'album, « Evil never dies » avec ses gros choeurs. « Trashback » est comme on s'y attend un titre de thrash, toutefois il contient un break acoustique et un solo signé Jeff Waters de ANNIHILATOR (qui s'est également occupé du mastering). « Feel the pain » alterne passages lents et lourds avec passages rapides (en crescendo). L'intrumental « Instant Annihilation » est une inutile démonstration de guitare. L'efficace « Wounds of war » marque par son refrain fédérateur, le titre contient une intervention de Betov de ADX. « Perverse morality » est un morceau bien speed. « Contract in blood » est un long titre dont l'intro, parlée, dite en latin, fait imanquablement penser à celle de « The number of the beast » de IRON MAIDEN; ce morceau a de nombreux changements de tempo et du chant growlé, on notera aussi un passage à la basse, lui aussi tout à fait maidenien. « The conqueror » est un morceau mélodique pas super réussi. Le disque se termine sur « Mr Bassman » une ballade acoustique en hommage à Fab. Le morceau est plein de feeeling, dommage que le chant en début de morceau manque de maîtrise (trop plaintif et trop haut perché) mais ça s'arrange ensuite. La version finale de l'album contient également une reprise de ADX (« Suprématie »)que je n'ai pas entendue donc je la signale juste.
Ce « Evil Never dies » est un bon moment de speed mélodique old school qui ne changera pas la face de la musique mais qui est très agréable.
Rédigé par : papy Cyril | 14,5/20 | Nb de lectures : 10640