DEBAUCHERY est un groupe que l'on ne présente plus, même s'il joue en deuxième division, il s'est taillé un petit nom dans la scène Old School... On pourrait même dire qu'il a remplacé SIX FEET UNDER dans le cœur moelleux des amateurs de Death Metal mid-tempo groovy roulé sous les aisselles. Rien de neuf avec cette rondelle puisqu'il s'agit de la réédition du premier bébé de DEBAUCHERY... Un album globalement mollasson qui excitera les fans les plus ultras mais qui ne suscitera pas grand émoi chez les autres... même les fans modérés...
"Kill, Maim, Burn" date donc de 2003 mais possède tous les aspects du Death Metal de la fin des 90's, un feeling grassouillet, des riffs groovy et des vocaux dignes d'Amanda Lear après trois cartouches de Gitanes Maïs et une batterie qui évite le blast comme la peste. Avec ce premier DEBAUCHERY, on se balade les mains dans les poches sur un sentier tout droit et bien balisé, les huit titres sont cadrés, sages... Bref, on sait où l'on va: une belle portion d'autoroute qui ressemble comme deux gouttes d'eau au "Maximum Violence" de SIX FEET UNDER... En fouinant bien on tombe sur des plans évoquant JUNGLE ROT et LOWBROW... Voilà... Du Death Metal mid-tempo ultra bateau qui ne voit plus les limites de la banalité tant elles sont loin derrières... dépassées depuis longtemps...
Franchement, ce premier album est assez terne, il n'y a pas grand-chose à se mettre sous la dent... La prod est idéale, profonde, massive et badigeonnée de l'odeur de madeleine qui entoure le son des vieilles rondelles qui s'embaument de poussière sur nos étagères... Le spectre de OBITUARY est partout présent, dans les riffs et les rares solos... mais...
Je me permets d’interrompre cette kro parce qu’on se fout un peu de ma gueule. C’est du vol et du plagiat. J’aime pas trop les voleurs et les fils de pute. Dans ce groupe, le gratteux tricote des riffs à l'ancienne et le batteur décide de pilonner tout ça avec sa double grosse caisse, comme dans "The End Complete". J’appelle ça du plagiat. Le chanteur va alterner entre voix grasses et couinements cochonous. Vous allez voir que les kros, ça va être des références à un flim sur le cyclimse. Je le vois trop arriver. PAN! Argh, Rosebud!
Donc, ce "Kill, Maim, Burn" est assez terne… voire totalement sopori-chiant. Il s'achève sur un cadeau bonux qui plaira aux fans ultra qui achèteront ce disque: trois titres live au son indentique à ceux du MCD de SIX FEET UNDER – "Alive And Dead"... sorti en 1996...
A réserver aux fans ultra... les fans normaux secoueront la tête sur les dernières réalisations du groupe qui sont nettement plus juteuses... les non-fans? Bah, ils iront se faire mettre... heu... ils iront au diable... on est pas là pour causer d'eux.
Excellent le Sopori-chiant! Cela résume parfaitement cette galette!
livingdeadbyll Membre enregistré
Posté le: 30/09/2010 à 11h18 - (87583)
Excellente référence à la Classe Américaine.
jaymz IP:81.255.0.209 Invité
Posté le: 01/10/2010 à 13h32 - (87651)
c'est moi ou la pochette fait penser celle d'un album d'Aborted?
Cobra Commander Membre enregistré
Posté le: 01/10/2010 à 13h33 - (87652)
@Jaymz:
Non, c'est pas toi! Ca ressemble BEAUCOUP!
Ennemi IP:93.27.233.204 Invité
Posté le: 01/10/2010 à 13h51 - (87654)
Kill, Miam, Burn.
jaymz IP:77.193.186.34 Invité
Posté le: 01/10/2010 à 22h02 - (87687)
ok!!! héhé... en même temps y'a pire comme référence
Oh Shit ! IP:88.162.206.11 Invité
Posté le: 04/10/2010 à 08h23 - (87743)
Tout comme Six Feet Under : sopori-chiant.
Idéal en fond sonore pour boire une mousse en soirée avec des potes...
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"Kill, Maim, Burn" date donc de 2003 mais possède tous les aspects du Death Metal de la fin des 90's, un feeling grassouillet, des riffs groovy et des vocaux dignes d'Amanda Lear après trois cartouches de Gitanes Maïs et une batterie qui évite le blast comme la peste. Avec ce premier DEBAUCHERY, on se balade les mains dans les poches sur un sentier tout droit et bien balisé, les huit titres sont cadrés, sages... Bref, on sait où l'on va: une belle portion d'autoroute qui ressemble comme deux gouttes d'eau au "Maximum Violence" de SIX FEET UNDER... En fouinant bien on tombe sur des plans évoquant JUNGLE ROT et LOWBROW... Voilà... Du Death Metal mid-tempo ultra bateau qui ne voit plus les limites de la banalité tant elles sont loin derrières... dépassées depuis longtemps...
Franchement, ce premier album est assez terne, il n'y a pas grand-chose à se mettre sous la dent... La prod est idéale, profonde, massive et badigeonnée de l'odeur de madeleine qui entoure le son des vieilles rondelles qui s'embaument de poussière sur nos étagères... Le spectre de OBITUARY est partout présent, dans les riffs et les rares solos... mais...
Je me permets d’interrompre cette kro parce qu’on se fout un peu de ma gueule. C’est du vol et du plagiat. J’aime pas trop les voleurs et les fils de pute. Dans ce groupe, le gratteux tricote des riffs à l'ancienne et le batteur décide de pilonner tout ça avec sa double grosse caisse, comme dans "The End Complete". J’appelle ça du plagiat. Le chanteur va alterner entre voix grasses et couinements cochonous. Vous allez voir que les kros, ça va être des références à un flim sur le cyclimse. Je le vois trop arriver.
PAN!
Argh, Rosebud!
Donc, ce "Kill, Maim, Burn" est assez terne… voire totalement sopori-chiant. Il s'achève sur un cadeau bonux qui plaira aux fans ultra qui achèteront ce disque: trois titres live au son indentique à ceux du MCD de SIX FEET UNDER – "Alive And Dead"... sorti en 1996...
A réserver aux fans ultra... les fans normaux secoueront la tête sur les dernières réalisations du groupe qui sont nettement plus juteuses... les non-fans? Bah, ils iront se faire mettre... heu... ils iront au diable... on est pas là pour causer d'eux.
Rédigé par : Cobra Commander | Réédition/ | Nb de lectures : 13429