CLAWFINGER - A Whole Lot Of Nothing (Gun/BMG) - 08/09/2001 @ 14h22
Mouais... que penser de cet album de Clawfinger ? J'ai végété pendant trois bonnes semaines avant de réussir à écrire la moindre ligne sur ce disque que j'attendais pourtant depuis un moment... "A whole lot of nothing" est parfaitement l'album qu'on adore un jour pour le détester de plus belle le lendemain et inversement. Nos amis suédois ont fait la grosse erreur il y quelques années de sortir un des plus grands albums de fusion métal/thrash/rap/alternatif de l'histoire, à savoir l'énorme "Deaf, dumb, blind". Il est donc évident que les productions qui ont suivi, malgré d'évidentes qualités, ont souffert de la comparaison avec ce premier opus fulgurant. Seul "Clawfinger" (également appelé "Star") sorti en 1997 était franchement moyen par excès de sérieux.
Il a donc fallu attendre presque 4 ans pour découvrir ce "gros tas de rien" qui renoue quand même avec la simplicité et la pêche du début. On retrouve les riffs tordus et amusants ("Out to get me" "Are you man enough"), les titres qui font taper du pied ("Nothing going on" "Burn in hell"), les morceaux plus posés ("Evolution" "Simon says"), les traficotages de son ("Confontration, "I close my eyes") et toutes les autres marques de fabrique de la maison Clawfinger. Le son est plus élaboré que d'habitude, des éléments drum'n bass ou techno ayant été incorporés dans les arrangements. Les paroles sont toujours d'un 1er degré à toute épreuve et les vocaux au phrasé rap efficaces mais loin d'être lyriques. Une reprise de Jimi Hendrix ("Manic Depression") et une de Ultravox ("Vienna"") figurent sur l'édition limitée et l'album dure 55 minutes sans remplissage inutile, ce qui n'est pas à négliger.
Donc, en conclusion, je pense qu'il s'agit d'un album excellentissime, dynamique, énergique, interprêté par des gars sympas mais que la comparaison avec ce qui s'est fait avant est inévitable. Aucun titre n'arrive au niveau des "Warfair", "Nigger", "The truth" voire même "Pay the bill" ou "Power". Les jeunes amateurs de néo-métal pourront toutefois jeter une oreille, histoire de voir ce que le mot "énergie" veut dire... en suédois, ça se dit "Clawfinger"...
enfin le retour de Clawfinger !!!!!!
un album surpuissant et efficace jusqu au bout !!!!!!!
jetez vite une oreille(voir 2 hahaha!!!!)sur cet album !!!!!
ne passer pas a cote d un skeud et d un groupe pareil !!
swervedriver Invité
Posté le: 09/05/2004 à 15h14 - (8602)
encore un album qui péte!
HELL- Membre enregistré
Posté le: 12/07/2006 à 19h19 - (30711)
Géant cet album, le seul bémol peut venir de la prod un peu soft. Sinon, lisez les paroles, ça vaut le détour, c'est rare je trouve, donc il faut le souligner.
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Il a donc fallu attendre presque 4 ans pour découvrir ce "gros tas de rien" qui renoue quand même avec la simplicité et la pêche du début. On retrouve les riffs tordus et amusants ("Out to get me" "Are you man enough"), les titres qui font taper du pied ("Nothing going on" "Burn in hell"), les morceaux plus posés ("Evolution" "Simon says"), les traficotages de son ("Confontration, "I close my eyes") et toutes les autres marques de fabrique de la maison Clawfinger. Le son est plus élaboré que d'habitude, des éléments drum'n bass ou techno ayant été incorporés dans les arrangements. Les paroles sont toujours d'un 1er degré à toute épreuve et les vocaux au phrasé rap efficaces mais loin d'être lyriques. Une reprise de Jimi Hendrix ("Manic Depression") et une de Ultravox ("Vienna"") figurent sur l'édition limitée et l'album dure 55 minutes sans remplissage inutile, ce qui n'est pas à négliger.
Donc, en conclusion, je pense qu'il s'agit d'un album excellentissime, dynamique, énergique, interprêté par des gars sympas mais que la comparaison avec ce qui s'est fait avant est inévitable. Aucun titre n'arrive au niveau des "Warfair", "Nigger", "The truth" voire même "Pay the bill" ou "Power". Les jeunes amateurs de néo-métal pourront toutefois jeter une oreille, histoire de voir ce que le mot "énergie" veut dire... en suédois, ça se dit "Clawfinger"...
Rédigé par : loufi | 8/10 | Nb de lectures : 7076