CHRIS CATENA - Discovery (Escape/Underclass) - 16/04/2008 @ 09h36
CHRIS CATENA est un chanteur italien et « Discovery » est son second album. Il a également participé à divers tributes et autres projets. Le monsieur a également un très beau carnet d'adresses si on en juge par les invités présents sur l'album : Pat Travers, Carmine Appice, Tony Franklin, Bruce Kulick, Earl Slick ou encore Bobby Kimball de TOTO... Et il a même eu le droit d'avoir Derek Riggs pour la pochette (avec une infographie assez correcte de ce dernier, une fois n'est pas coutume, quand on voit les merdes qu'il est capable de nous sortir d'un ordinateur.) Tout pour faire un excellent album a priori...
Ça commence sur une intro planante et synthétique, le premier morceau « Fredom Bound » est un mid assez puissant, plein de grosses guitares avec du synthé et des programmations. Ensuite on trouve 2 titres de hard funk très groovy avec « The chosen one » et « New dimension ». Après un interlude électro, on a le mégatube de l'album « The Spacefreak King », une espèce de hard rock dansant avec vocorder, samples imparables, des percus, c'est vraiment un titre qui donne envie de bouger et qui donne la pêche, super réussi, quoi! « The last goodbye » est la première ballade d'une série longue comme le bras, l'énorme point faible du disque, et elle est, de plus, suivie d'un titre lent qui possède toutefois une certaine lourdeur (« the flight (reprise) »). Un bon gros morceau mid avec un très bon refrain et un excellent solo vient remettre les pendules à l'heure (une fois encore de bons samples qui collent bien au morceau) mais il est immédaitememnt suivi par un nouveau titre lent dans lequel l'un des rares trucs pêchu est une basse slappée. « Cosmic Girl » est rapide, enjoué et groovy, c'est le dernier titre énergique de l'album, les 7 plages qui restent (5 titres et 2 interludes) sont toutes plus ou moins des ballades ou des titres softs, pas forcément mauvais pris un par un mais pendant l'écoute de la fin de l'album on trouve le temps long, malgré quelques excellents passages, notamment des solos.
Autre point négatif à signaler, le son n'est pas terrible-terrible même si on s'y fait, à la première écoute je l'ai trouvé franchement ignoble. Je me demande pourquoi avoir fait un album si long (78 min) pour le truffer à ce point-là de ballades. Toutefois « The spacefreak king » est un tel tube qu'il est impossible de ne pas encourager au moins une écoute et espérer très fort que pour le prochain disque les titres soient tous dans ce style-là.
QUOI ??? infographie correcte??? mais c'est immonde comme truc !!!
Qu'il reprenne ses pinceaux :)
D3d Membre enregistré
Posté le: 16/04/2008 à 12h05 - (55706)
lol , comment attirer l'oeil sur la colonne chroniques.
A mon avis la pochette a été realisée en partenariat avec le createur des bisounours.
stanwd Membre enregistré
Posté le: 16/04/2008 à 12h51 - (55710)
le père DERK ferait bien de poser la souris et de reprendre le pinceau...
Le concept de la jaquette est vraiment sympa, bien psyché mais la réalisation est catastrophique.
La zique est franchement sympas : ca invente pas la clé de 12 mais ca fait du bien de se taper un truc rafraichissant (du moins les titres sous myspace)
VS-papy Membre enregistré
Posté le: 16/04/2008 à 13h00 - (55712)
Ah mais je n'ai jamais dit qu'il ne devait pas reprendre les pinceaux, mais il a juste déjà largement fait pire en infographie. correcte ça n'a jamais voulu dire génial...
VS-papy Membre enregistré
Posté le: 16/04/2008 à 13h01 - (55714)
Le prob avec cet album c'est que certes il possède de bons titres mais surtout beaucoup trop de ballades...
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Ça commence sur une intro planante et synthétique, le premier morceau « Fredom Bound » est un mid assez puissant, plein de grosses guitares avec du synthé et des programmations. Ensuite on trouve 2 titres de hard funk très groovy avec « The chosen one » et « New dimension ». Après un interlude électro, on a le mégatube de l'album « The Spacefreak King », une espèce de hard rock dansant avec vocorder, samples imparables, des percus, c'est vraiment un titre qui donne envie de bouger et qui donne la pêche, super réussi, quoi! « The last goodbye » est la première ballade d'une série longue comme le bras, l'énorme point faible du disque, et elle est, de plus, suivie d'un titre lent qui possède toutefois une certaine lourdeur (« the flight (reprise) »). Un bon gros morceau mid avec un très bon refrain et un excellent solo vient remettre les pendules à l'heure (une fois encore de bons samples qui collent bien au morceau) mais il est immédaitememnt suivi par un nouveau titre lent dans lequel l'un des rares trucs pêchu est une basse slappée. « Cosmic Girl » est rapide, enjoué et groovy, c'est le dernier titre énergique de l'album, les 7 plages qui restent (5 titres et 2 interludes) sont toutes plus ou moins des ballades ou des titres softs, pas forcément mauvais pris un par un mais pendant l'écoute de la fin de l'album on trouve le temps long, malgré quelques excellents passages, notamment des solos.
Autre point négatif à signaler, le son n'est pas terrible-terrible même si on s'y fait, à la première écoute je l'ai trouvé franchement ignoble. Je me demande pourquoi avoir fait un album si long (78 min) pour le truffer à ce point-là de ballades. Toutefois « The spacefreak king » est un tel tube qu'il est impossible de ne pas encourager au moins une écoute et espérer très fort que pour le prochain disque les titres soient tous dans ce style-là.
Rédigé par : papy cyril | 12,5/20 | Nb de lectures : 10906