Vous vous souvenez de BRIDES OF DESTRUCTION ? Mais si ! Ils ont sorti un album intitulé « Here comes the brides » l’année derrière et si on avait pas mal parlé de ce groupe, c’est parce qu’on retrouvait dedans Nikki Sixx (MOTLEY CRUE) à la basse et Tracii Guns (L.A. GUNS) à la guitare. Pour ce deuxième album, il y a eu du changement car Nikki Sixx est reparti avec MOTLEY CRUE (il est ici remplacé par un transfuge d’AMEN, Scott Sorry (mais non, faut pas être désolé comme ça !) et BRIDES OF DESTRUCTION est devenu le nouveau groupe officiel de Tracii Guns, car il ne fait plus partie de L.A. GUNS (tiens, d’ailleurs, ils sortent un album eux aussi à quelques semaines d’intervalle).
Ceux qui ont été déçu car le premier album était assez court avec seulement 9 titres seront ravis d’apprendre qu’ici on en a 13 (dont une intro, je vous le concède, curieuse d’ailleurs, au piano, j’ai cru m’être trompé au début et avoir mis un CD de HIM), on frôle presque les 50 minutes ! Cet album est très diversifié, alternant titres quasi Punk (« Deadman’s ruin », « Blown away »), Glam bien crade, et Heavy Rock direct… le tout avec un son assez crû, actuel, sale, presque live (plus proche de L.A. GUNS que de MOTLEY CRUE en résumé). Au premier abord, il peut sembler manquer de titres vraiment directs, étant peut être un peu trop varié, mais après trois écoutes, les mélodies font leur chemin (par exemple, le single « White trash », ou « Porcelain queen », « Never say never »…).
Rien de bien révolutionnaire en fait, mais un très bon album de Heavy Rock teigneux, mais en même temps mélodique, qui montre que ce style a encore de beaux jours devant lui. Une des galettes indispensables en Hard Rock cette année, ni plus ni moins !
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Ceux qui ont été déçu car le premier album était assez court avec seulement 9 titres seront ravis d’apprendre qu’ici on en a 13 (dont une intro, je vous le concède, curieuse d’ailleurs, au piano, j’ai cru m’être trompé au début et avoir mis un CD de HIM), on frôle presque les 50 minutes ! Cet album est très diversifié, alternant titres quasi Punk (« Deadman’s ruin », « Blown away »), Glam bien crade, et Heavy Rock direct… le tout avec un son assez crû, actuel, sale, presque live (plus proche de L.A. GUNS que de MOTLEY CRUE en résumé). Au premier abord, il peut sembler manquer de titres vraiment directs, étant peut être un peu trop varié, mais après trois écoutes, les mélodies font leur chemin (par exemple, le single « White trash », ou « Porcelain queen », « Never say never »…).
Rien de bien révolutionnaire en fait, mais un très bon album de Heavy Rock teigneux, mais en même temps mélodique, qui montre que ce style a encore de beaux jours devant lui. Une des galettes indispensables en Hard Rock cette année, ni plus ni moins !
Rédigé par : Shaka | 16/20 | Nb de lectures : 12254