Commentaire
Svencho
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Posté le: 06/11/2006 à 16h28 - (35381)
je ne suis pas trop d'ac avec la chronique, je trouves le nouvel album plus varié & plus moderne, plus metal/melodies
blackbomb
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Posté le: 06/11/2006 à 18h30 - (35387)
Pur album! Une autre tite chro de ce même album from Spiritribe.com :
" Attention les gens, vla de l’affaire! Born From Pain est de retour et même si cela n’est pas aussi évènementiel que la sortie d’un hypothétique album des Guns, cela pourra quand même en surprendre plus d’un. Car avec des tournées incessantes en Europe, ou en Amérique du sud avec Terror, et un changement de guitariste un peu plus tôt dans l’année, on ne s’attendait pas forcément à avoir des nouvelles de si tôt. C’est donc un an et demi à peine après la sortie du massif « In Love With The End » que revoilà déjà nos « ptits » hollandais pour nous faire la guerre avec « War » leur 5ème album.
Fidèle à lui-même, Born From Pain arrive tout de même à nous surprendre et donc à nous séduire encore une fois.
Le groupe nous surprend donc par sa capacité à toujours savoir se renouveler sans négliger les éléments qui ont fait ce qu’il est devenu et ce qu’il représente aujourd’hui. La voix de Ché est similaire, toujours cette voix agressive si caractéristique, des riffs tranchants rappelant parfois Merauder, une batterie qui pilonne sans cesse, une basse vrombissante très présente... Le tout au service du hardcore-metal. Car même si Born From Pain est considéré comme groupe de hardcore, les influences metal sont selon moi plus présentes que jamais. On pensera parfois à Slayer sur certaines rythmiques et solos (« Crusader », « Scorched Earth »), mais l’influence qui ressurgit le plus pour moi, aujourd’hui, est celle de Metallica. La musique de Born From Pain est par moment devenue presque orchestral, et prend une ampleur magnifique, rarement atteinte par le passé avec des atmosphères pouvant rappeler celle d’un « Orion » et le sens mélodique majestueux de Cliff Burton. On imaginerait facilement l’inclusion d’un orchestre symphonique sur des titres comme « Grey Life » ou le superbe instrumental « The War Is On ». Mais ne perdons pas de vu que l’on parle ici de Born From Pain et donc de hardcore. Le style est toujours bien présent avec sa dose de cœurs rentres-dedans, ses mosh-parts destructrices, ses parties plus old-school... Bref comme je l’ai dis, Born From Pain reste fidèle à lui-même. On notera également la participation de quelques guests sympathiques comme Jan Chris de Gorefest sur « Crusader », Pépé d’Hatesphere sur « Scorched Earth », et puis surtout, car plus surprenante, l’intervention de l’ami Lou Köller de Sick Of It All sur « Doomsday Clock », mais aussi celle de Barney de Napalm Death sur une version alternative du titre « Behind Enemy Lines » qui clôture l’album.
Voilà donc pas mal de choses intéressantes pour se remplir la dent creuse. Born From Pain a mie les petits plats dans les grands, et on ne les attendait pas spécialement à si grande fête au vu de la période finalement assez courte depuis « In Love With the End ». Sans oublié que ce « War » a été une nouvelle fois mis en boîte chez l’excellent Tue Madsen, et a doté Born From Pain d’une production à la hauteur de la qualité du groupe, avec un son de guitare énormissime qui risque de faire frémir le maître en la matière, Richardson.
« War » est donc l’album de la maturité pour Born From Pain, l’album qui le détache définitivement de l’étiquette Hatebreed, et installe définitivement, et plus que jamais, Born From Pain sur la plus haute marche de la sphère hardcore européenne. "
" Attention les gens, vla de l’affaire! Born From Pain est de retour et même si cela n’est pas aussi évènementiel que la sortie d’un hypothétique album des Guns, cela pourra quand même en surprendre plus d’un. Car avec des tournées incessantes en Europe, ou en Amérique du sud avec Terror, et un changement de guitariste un peu plus tôt dans l’année, on ne s’attendait pas forcément à avoir des nouvelles de si tôt. C’est donc un an et demi à peine après la sortie du massif « In Love With The End » que revoilà déjà nos « ptits » hollandais pour nous faire la guerre avec « War » leur 5ème album.
Fidèle à lui-même, Born From Pain arrive tout de même à nous surprendre et donc à nous séduire encore une fois.
Le groupe nous surprend donc par sa capacité à toujours savoir se renouveler sans négliger les éléments qui ont fait ce qu’il est devenu et ce qu’il représente aujourd’hui. La voix de Ché est similaire, toujours cette voix agressive si caractéristique, des riffs tranchants rappelant parfois Merauder, une batterie qui pilonne sans cesse, une basse vrombissante très présente... Le tout au service du hardcore-metal. Car même si Born From Pain est considéré comme groupe de hardcore, les influences metal sont selon moi plus présentes que jamais. On pensera parfois à Slayer sur certaines rythmiques et solos (« Crusader », « Scorched Earth »), mais l’influence qui ressurgit le plus pour moi, aujourd’hui, est celle de Metallica. La musique de Born From Pain est par moment devenue presque orchestral, et prend une ampleur magnifique, rarement atteinte par le passé avec des atmosphères pouvant rappeler celle d’un « Orion » et le sens mélodique majestueux de Cliff Burton. On imaginerait facilement l’inclusion d’un orchestre symphonique sur des titres comme « Grey Life » ou le superbe instrumental « The War Is On ». Mais ne perdons pas de vu que l’on parle ici de Born From Pain et donc de hardcore. Le style est toujours bien présent avec sa dose de cœurs rentres-dedans, ses mosh-parts destructrices, ses parties plus old-school... Bref comme je l’ai dis, Born From Pain reste fidèle à lui-même. On notera également la participation de quelques guests sympathiques comme Jan Chris de Gorefest sur « Crusader », Pépé d’Hatesphere sur « Scorched Earth », et puis surtout, car plus surprenante, l’intervention de l’ami Lou Köller de Sick Of It All sur « Doomsday Clock », mais aussi celle de Barney de Napalm Death sur une version alternative du titre « Behind Enemy Lines » qui clôture l’album.
Voilà donc pas mal de choses intéressantes pour se remplir la dent creuse. Born From Pain a mie les petits plats dans les grands, et on ne les attendait pas spécialement à si grande fête au vu de la période finalement assez courte depuis « In Love With the End ». Sans oublié que ce « War » a été une nouvelle fois mis en boîte chez l’excellent Tue Madsen, et a doté Born From Pain d’une production à la hauteur de la qualité du groupe, avec un son de guitare énormissime qui risque de faire frémir le maître en la matière, Richardson.
« War » est donc l’album de la maturité pour Born From Pain, l’album qui le détache définitivement de l’étiquette Hatebreed, et installe définitivement, et plus que jamais, Born From Pain sur la plus haute marche de la sphère hardcore européenne. "
abophis le poulet
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Posté le: 06/11/2006 à 18h34 - (35388)
Un album digne des meilleurs groupes de la Sarthe.
blackbomb
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Posté le: 06/11/2006 à 18h36 - (35389)
Pur album! Une autre tite chro de ce même album from Spiritribe.com :
" Attention les gens, vla de l’affaire! Born From Pain est de retour et même si cela n’est pas aussi évènementiel que la sortie d’un hypothétique album des Guns, cela pourra quand même en surprendre plus d’un. Car avec des tournées incessantes en Europe, ou en Amérique du sud avec Terror, et un changement de guitariste un peu plus tôt dans l’année, on ne s’attendait pas forcément à avoir des nouvelles de si tôt. C’est donc un an et demi à peine après la sortie du massif « In Love With The End » que revoilà déjà nos « ptits » hollandais pour nous faire la guerre avec « War » leur 5ème album.
Fidèle à lui-même, Born From Pain arrive tout de même à nous surprendre et donc à nous séduire encore une fois.
Le groupe nous surprend donc par sa capacité à toujours savoir se renouveler sans négliger les éléments qui ont fait ce qu’il est devenu et ce qu’il représente aujourd’hui. La voix de Ché est similaire, toujours cette voix agressive si caractéristique, des riffs tranchants rappelant parfois Merauder, une batterie qui pilonne sans cesse, une basse vrombissante très présente... Le tout au service du hardcore-metal. Car même si Born From Pain est considéré comme groupe de hardcore, les influences metal sont selon moi plus présentes que jamais. On pensera parfois à Slayer sur certaines rythmiques et solos (« Crusader », « Scorched Earth »), mais l’influence qui ressurgit le plus pour moi, aujourd’hui, est celle de Metallica. La musique de Born From Pain est par moment devenue presque orchestral, et prend une ampleur magnifique, rarement atteinte par le passé avec des atmosphères pouvant rappeler celle d’un « Orion » et le sens mélodique majestueux de Cliff Burton. On imaginerait facilement l’inclusion d’un orchestre symphonique sur des titres comme « Grey Life » ou le superbe instrumental « The War Is On ». Mais ne perdons pas de vu que l’on parle ici de Born From Pain et donc de hardcore. Le style est toujours bien présent avec sa dose de cœurs rentres-dedans, ses mosh-parts destructrices, ses parties plus old-school... Bref comme je l’ai dis, Born From Pain reste fidèle à lui-même. On notera également la participation de quelques guests sympathiques comme Jan Chris de Gorefest sur « Crusader », Pépé d’Hatesphere sur « Scorched Earth », et puis surtout, car plus surprenante, l’intervention de l’ami Lou Köller de Sick Of It All sur « Doomsday Clock », mais aussi celle de Barney de Napalm Death sur une version alternative du titre « Behind Enemy Lines » qui clôture l’album.
Voilà donc pas mal de choses intéressantes pour se remplir la dent creuse. Born From Pain a mie les petits plats dans les grands, et on ne les attendait pas spécialement à si grande fête au vu de la période finalement assez courte depuis « In Love With the End ». Sans oublié que ce « War » a été une nouvelle fois mis en boîte chez l’excellent Tue Madsen, et a doté Born From Pain d’une production à la hauteur de la qualité du groupe, avec un son de guitare énormissime qui risque de faire frémir le maître en la matière, Richardson.
« War » est donc l’album de la maturité pour Born From Pain, l’album qui le détache définitivement de l’étiquette Hatebreed, et installe définitivement, et plus que jamais, Born From Pain sur la plus haute marche de la sphère hardcore européenne. "
" Attention les gens, vla de l’affaire! Born From Pain est de retour et même si cela n’est pas aussi évènementiel que la sortie d’un hypothétique album des Guns, cela pourra quand même en surprendre plus d’un. Car avec des tournées incessantes en Europe, ou en Amérique du sud avec Terror, et un changement de guitariste un peu plus tôt dans l’année, on ne s’attendait pas forcément à avoir des nouvelles de si tôt. C’est donc un an et demi à peine après la sortie du massif « In Love With The End » que revoilà déjà nos « ptits » hollandais pour nous faire la guerre avec « War » leur 5ème album.
Fidèle à lui-même, Born From Pain arrive tout de même à nous surprendre et donc à nous séduire encore une fois.
Le groupe nous surprend donc par sa capacité à toujours savoir se renouveler sans négliger les éléments qui ont fait ce qu’il est devenu et ce qu’il représente aujourd’hui. La voix de Ché est similaire, toujours cette voix agressive si caractéristique, des riffs tranchants rappelant parfois Merauder, une batterie qui pilonne sans cesse, une basse vrombissante très présente... Le tout au service du hardcore-metal. Car même si Born From Pain est considéré comme groupe de hardcore, les influences metal sont selon moi plus présentes que jamais. On pensera parfois à Slayer sur certaines rythmiques et solos (« Crusader », « Scorched Earth »), mais l’influence qui ressurgit le plus pour moi, aujourd’hui, est celle de Metallica. La musique de Born From Pain est par moment devenue presque orchestral, et prend une ampleur magnifique, rarement atteinte par le passé avec des atmosphères pouvant rappeler celle d’un « Orion » et le sens mélodique majestueux de Cliff Burton. On imaginerait facilement l’inclusion d’un orchestre symphonique sur des titres comme « Grey Life » ou le superbe instrumental « The War Is On ». Mais ne perdons pas de vu que l’on parle ici de Born From Pain et donc de hardcore. Le style est toujours bien présent avec sa dose de cœurs rentres-dedans, ses mosh-parts destructrices, ses parties plus old-school... Bref comme je l’ai dis, Born From Pain reste fidèle à lui-même. On notera également la participation de quelques guests sympathiques comme Jan Chris de Gorefest sur « Crusader », Pépé d’Hatesphere sur « Scorched Earth », et puis surtout, car plus surprenante, l’intervention de l’ami Lou Köller de Sick Of It All sur « Doomsday Clock », mais aussi celle de Barney de Napalm Death sur une version alternative du titre « Behind Enemy Lines » qui clôture l’album.
Voilà donc pas mal de choses intéressantes pour se remplir la dent creuse. Born From Pain a mie les petits plats dans les grands, et on ne les attendait pas spécialement à si grande fête au vu de la période finalement assez courte depuis « In Love With the End ». Sans oublié que ce « War » a été une nouvelle fois mis en boîte chez l’excellent Tue Madsen, et a doté Born From Pain d’une production à la hauteur de la qualité du groupe, avec un son de guitare énormissime qui risque de faire frémir le maître en la matière, Richardson.
« War » est donc l’album de la maturité pour Born From Pain, l’album qui le détache définitivement de l’étiquette Hatebreed, et installe définitivement, et plus que jamais, Born From Pain sur la plus haute marche de la sphère hardcore européenne. "
alex666i
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Posté le: 07/11/2006 à 21h17 - (35440)
mouais!!
si c'est aussi chiant qu'en live!!!
si c'est aussi chiant qu'en live!!!
Posté le: 11/11/2006 à 12h40 - (35652)
Arf je viens de les voir, c'était pas chiant du tout, plutot bon meme.
Avec Napalm, la claque.
Avec Napalm, la claque.
Ilhan
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Posté le: 24/11/2006 à 18h59 - (36194)
je viens de m'écouter les 2 titres sur leur page internet, et c'est carrément sympa, pour ce que j'ai entendu bien mieux que le précédent "In Love with the End", qui faisait un peu figure de "raté" dans la discographie du groupe.
Un peu à la manière d'Hatebreed (mais avec plus de succès, le dernier hatebreed est vraiment bof) le groupe fait un peu toujours la même en évoluant légérement.
Ici sur les 2 titres j'ai retrouvé la noirceur de "Reclaiming the Crown" mais on sent que le groupe tente quelques nouveaux trucs, notamment sur les riffs de guitare, plus métal? plus varié? en tout cas ça m'a bien branché ces 2 titres, j'irais ptet me l'acheter celui la.
Un peu à la manière d'Hatebreed (mais avec plus de succès, le dernier hatebreed est vraiment bof) le groupe fait un peu toujours la même en évoluant légérement.
Ici sur les 2 titres j'ai retrouvé la noirceur de "Reclaiming the Crown" mais on sent que le groupe tente quelques nouveaux trucs, notamment sur les riffs de guitare, plus métal? plus varié? en tout cas ça m'a bien branché ces 2 titres, j'irais ptet me l'acheter celui la.
Seb On Fire
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Posté le: 08/01/2007 à 10h43 - (37291)
Bon album des hollandais mais j'avour que le coté plus direct et "street" de Sands Of Time me manque un peu mais bon on va pas non plus faire la fine bouche.
Posté le: 06/08/2008 à 18h27 - (60125)
Assez d'accord avec Svencho, très bon album, bien plus personnel (notamment avec un peu de mélodie + le côté épique et guerrier en même temps... influence Bolt Thrower / Amon Marth et autres ?) et accrocheur et moins ripoff de Hatebreed. Les albums précédents j'avais aps accroché.
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"Relentless" ouvre le bal : une rythmique lourde en crescendo et ces paroles qui rugissent : "War... War... War...". J'en ai presque eu des frissons tellement cette entrée en matière est puissante. Les bataves ne prennent pas l'auditeur en traitre et la suite du morceau devrait convaincre les amateurs. Une rythmique lente et lourde, renforcée par de la double grosse caisse, des guitares lourdes et massives, la voix rauque de Ché scandant : This war is relentless!
Dès la première minute, j'étais sous le charme et ce n'était rien face à la baffe que j'allais me prendre avec "Behind Enemy Lines", deuxième morceau. Chers lecteurs, ce morceau est la B.O d'une avancée de chars sur les positions ennemies! Ultra intense, explosif, sentant la violence à plein nez, ce titre est LE morceau de l'album, surpassant les autres par sa vitesse d'exécution et sa précision.
Les morceaux se suivent mais on peut noter une petite évolution dans la musique des coreux. J'ai perçu un petit côté sombre dans l'exécution de quelques morceaux "Grey Life" mais surtout le superbe "The War Is On". Ce titre instrumental de 6 minutes différe de ce que le groupe a pu composer jusqu'à présent. Davantage de lenteur, une certain caratère malsain, une structure différente, des riffs plus recherchés, le groupe a visiblement voulu changé un peu la donne pour surprendre son auditorat (avec succès), se rapprochant un peu de Bolt Thrower le temps d'un morceau. J'ai trouvé que les soli ont augmenté en technicité. Certes moins présents que sur "In Love With The End", ils sont moins brouillons et plus maîtrisés.
Du point de vue des défauts, on peut citer une certaine redondance dans les riffs et j'ai trouvé le titre "Crusader" presque chiant. Mais rien de bien méchant.
Dans mon intro, je parlais de 11 morceaux + 1. Pourquoi cette expression stupide ? Disons que le dernier et douzième morceau n'est autre que "Behind Enemy Lines" mais avec Barney Greenway en guest sur quelques phrases. Pourquoi n'avoir pas mis cette version en lieu et place de celle dénuée de guest et proposer à nos oreilles une douzième vraie chanson ? Telle est la question sans réponse...
Mais il n'y a pas que Barnouille en invité. Jan Chris de Gorefest vient pousser la chansonette sur "Crusader" et Lou de Sick Of It All vient seconder Ché sur "Doomsday Clock". Mais surtout, il y a Pepe de Hatesphere qui nous offre un magnifique solo sur le très rapide "Scorched Earth".
Comme d'habitude, nous avons droit à une production irréporchable cuisinée aux petits oignons, confiée une fois de plus à Tue Madsen (il est partout ce gars). A l'image du CD lui même, le son général n'a guère d'évolué car il est quasi similaire à "In Love With The End". Les guitares sont aussi lourdes, la voix de Ché est mixée de la même manière et la batterie n'a pas changé d'un poil au triggage de batterie près.
"War" supérieur aux précédentes oeuvres du groupe ? Non, je ne pense pas. Cet album ne fait que continuer ce que les hollandais entreprennent depuis maintenant presque 10 ans. Amateurs du groupe, foncez dessus tête baissée!
Rédigé par : Vision Of Beuh | 14.5/20 | Nb de lectures : 16738