ALICE COOPER - Hey Stoopid (Epic) - 13/07/2013 @ 22h55
Wayne's world ! Wayne's world ! Mégateuf ! Excellent !

- un scénario prétexte à une grosse poilade, mais moins con qu'il n'en a l'air
- un enchaînement ininterrompu de répliques et de scènes inoubliables
[Bohemian Rhapsody dans la Garthmobile, Wayne lorgnant sur la Fender,
Stacy l'ex de Wayne, Tia Carrere et son groupe, Garth amoureux,
Wayne qui détruit son sponsor en direct, les fins à la Scoobydoo...]
- un irrésistible duo d'acteurs: Mike Myers (Wayne) et Dana Carvey (Garth)
- la bombe Tia Carrere, élue femme la plus désirable de l'année 1992 par MTV (chwiiing)
- une impayable galerie de seconds rôles et de caméos: Alice Cooper, Ed O'Neil aka Al Bundy, Meat Loaf en videur, le T-1000 Robert Patrick, Kurt Fuller de Ghostbusters 2...
- une BO au poil: Queen, Jimi Hendrix, Black Sabbath, Red Hot Chili Peppers, Soundgarden...

Rien que sur le papier Wayne's World a tout du film culte, alors imaginez ce qu'il représente pour les gamins qui l'ont découvert à sa sortie en salle en 1992. C'était le premier métrage que je voyais associer adolescence et hard rock. L'époque était propice à ce genre de comédies et grâce à canal + (merci papa/maman) j'ai pu en savourer un certain nombre. D'ailleurs je ne résiste pas au plaisir d'en citer quelques uns: Singles et la génération Seattle en 1992, California Man (Encino Man en Vo) avec Brendan Fraser et Sean Astin, Last Action Hero avec Schwarzie (voir ma kro) en 1993 ou encore Clerks les employés modèles de Kevin Smith en 1994. Quel panard! Pourquoi en parler? Parce que ce Hey Stoopid est indissociable de Wayne's World. Non seulement on y voit le groupe jouer le titre Feed my Frankenstein, mais on croise aussi Alice Cooper backstage pour quelques répliques d'ordre culturel (oui, oui). Vous vous en doutez c'est avec cet album que j'ai découvert l'alter ego de Vincent Furnier. Certains estimeront peut-être la chose superflue, mais je trouve nécessaire de présenter ce mec à l'incomparable et prolifique carrière (répartie sur pas moins de 5 décennies !). Vincent Damon Furnier est né le 4 février 1948 à Détroit (Michigan). Il grandit dans une famille pratiquante (son père est prédicateur laïc) et va cultiver tout au long de sa vie une personnalité sociable, spirituelle et investie (cinéma, golf, restauration, radio).

A l'adolescence sa famille déménage à Phoenix (Arizona). Son groupe se forme au début des années 60 et change plusieurs fois de patronyme (The Earwigs, The Spiders, The Nazz) avant d'arrêter son choix en 1968 sur Alice Cooper qui désigne alors l'ensemble des musiciens. Selon la légende une spirite aurait appris au chanteur qu'il était la réincarnation d'une sorcière du XVIIe siècle. Le mythe aura fait long feu car ce n'est qu'à l'occasion de la promo de l'album Brutal Planet en 2000 que Vincent Furnier admet le coup marketing. Alice Cooper passe maître dans l'art de la provocation, en particulier le chanteur qui se façonne un alter ego outrancier, androgyne et parfois même travesti qui va en influencer beaucoup (de Kiss à Marylin Manson en passant par David Bowie). Frank Zappa les signe sur son label Straight. Leurs débuts sont difficiles, à tel point qu'ils quittent Los Angeles pour s'établir à Détroit. L'incident du poulet au festival de Toronto (voir wikipedia) et leur rencontre avec le producteur Bob Ezrin leur donneront raison. Le succès du morceau I'm Eighteen en 1971 annonce une période glorieuse pour Alice Cooper qui joue le jeu de la surenchère aussi bien dans le propos (exemple avec I Love the Dead traitant de nécrophilie, titre brillamment repris par Samael 20 ans plus tard) que dans une mise en scène macabre regorgeant d'accessoires (chaise électrique, guillotine, potence, serpents...). Mais fatigué de ces excès et d'être éclipsé par son charismatique chanteur, le groupe rend les armes en 1974. Ce split nous laisse 7 albums en héritage.

Désormais Alice Cooper désigne uniquement Vincent Furnier. Si sur scène ce dernier poursuit son oeuvre grand guignol, musicalement il s'ouvre à d'autres influences (cabaret, jazzy) à l'occasion de son fameux Welcome to my Nightmare, album-concept paru en 1975. Ses débuts en solo sont une réussite. L'album acquiert un statut culte et la tournée est un succès. Sur le plan personnel Vincent Furnier rencontre sa femme (l'une de ses danseuses) et fait ses premiers pas devant la caméra. Pourtant le père du shock rock s'apprête à connaître une longue traversée du désert. Ses expérimentations n'accrochent plus un public privilégiant désormais le punk, le disco puis la new-wave. Ses déboires personnels se multiplient (tournée annulée en 1976, internement en 1977...). Ce n'est qu'en 1986 après avoir frôlé la mort à plusieurs reprises et s'être débarrassé de son addiction à l'alcool que Vincent Furnier est à nouveau en pleine possession de ses moyens. Une période de rodage est nécessaire (les albums Constrictor et Raise Your Fist and Yell) avant de revenir au premier plan en 1989 avec le très apprécié Trash, bénéficiant d'apparitions de membres d'Aerosmith, Bon Jovi, ainsi que Steve Lukather (Toto) et Kip Winger. Son successeur et 12ème album solo) paraît en 1991 dans un contexte musical confus et en pleine mutation.
Hey Stoopid vaut-il le coup? A-t-il trouvé son public? C'est ce que nous allons voir.


L'enregistrement s'est déroulé entre New-York et Los Angeles, avec une production impeccable signée Peter Collins (collaborateur régulier de Rush). Le visuel sympatoche est l'oeuvre de Mike McNeilly. De nos jours parcourir les crédits ne semble plus intéresser grand monde, pourtant ça faisait partie du rituel des hardos de l'époque. Le plaisir passe aussi par la connaissance, surtout s'agissant d'Alice Cooper. S'il a coécrit tous les morceaux, Vincent Furnier a, comme à son habitude, fait à appel à de nombreux compositeurs, à commencer par le trio Vic Pepe / Jack Ponti / Bob Pfeifer qui oeuvre sur 8 des 12 morceaux. Les redoutables Desmond Child (monsieur ballade) et Jim Vallance sont aussi de la partie, ainsi qu'Al Pitrelli (futur guitariste d'Asia, Savatage et Megadeth) ou encore le duo Mick Mars/Nikki Sixx de Mötley Crüe. Un titre de Hey Stoopid bénéficie d'un traitement particulier, le single Feed my Frankenstein étant composé par des Britanniques: le chanteur Zodiac Mindwarp, l'acteur écossais Ian Richardson et le producteur Nick Coler. Ça n'a l'air de rien, mais pensez-y la prochaine fois qu'un morceau vous paraitra sortir du lot d'une quelconque façon. Demandez-vous (ce) qui en est la cause. Vu la configuration, c'est légitime de craindre un disque artificiel et surproduit, mais c'est justement là que Vincent Furnier intervient, en transformant 12 compositions en un album cohérent et consistant d'Alice Cooper.

Côté backing band, Alice a fait appel au guitariste Stef Burns (Y&T, futur postulant malheureux chez Megadeth), au bassiste Hugh McDonald (musicien de studio et futur Bon Jovi), au batteur Mickey Curry (collaborateur régulier de Bryan Adams, The Cult) ainsi qu'à 2 claviéristes, John Webster et Robert Bailey. Les amateurs du croque-mitaine le savent, un album d'Alice Cooper digne de ce nom regorge de choeurs. Ils sont assurés par les West Coast & East Coast Gang (le British Gang oeuvre sur Feed my Frankenstein)... Quoi? Vous en avez marre des crédits? C'est con parce que j'ai pas fini, le meilleur est à venir. Loin de connaître sur le bout des doigts sa pléthorique discographie, je me demande si ce Hey Stoopid ne mérite pas la palme de l'album le plus fréquenté. Jugez plutôt, 5 guitaristes apposent leur marque sur l'album: Joe Satriani (5 morceaux), Vinnie Moore (2), Slash (1), Steve Vai (1) et Mick Mars (1). Nikki Sixx joue de la basse sur Feed my Frankenstein et Ozzy Osbourne himself assure les choeurs sur Hey Stoopid. Un casting de fou non? Franchement ça ne vous donne pas envie d'écouter? Alors oui avoir de bons musiciens ça ne donne pas forcément un bon album. Voyons ça.

Très homogène, Hey Stoopid délivre un Hard FM ultra efficace gorgé de choeurs et de refrains imparables, riche en mélodies de grattes et arrangements synthétiques. Grossièrement on peut séparer les 12 titres en 2 catégories: ceux qui développent une certaine pêche et ceux qu'on qualifiera sans peine de ballades. Parlons de la première. Hey Stoopid le morceau-titre ouvre le bal. C'est une tuerie à laquelle participent Slash, Joe Satriani et Ozzy. Mais aussi étonnant que ça puisse paraître, Hugh McDonald vole la vedette aux stars précitées avec une ligne de basse absolument géniale. Ecoutez le refrain! Que la cargaison de guitaristes invités ne vous fasse pas non plus oublier la super prestation de Stef Burns (riffing carré sur Snakebite, soli en cascade sur l'excellent Dangerous Tonight). Ceci étant Joe Satriani est quand même très présent. A retenir, son duel avec Steve Vai (son ancien élève!) sur Feed my Frankenstein ou son remarquable travail d'ambiance sur Little by Little qui met aussi à l'honneur le batteur Mickey Curry. De son côté Vinnie Moore offre une approche plus classique mais incontestablement plus pêchue, voir Hurricane Years et Dirty Dreams. Sur cette compo de Jim Vallance, Alice Cooper sort un harmonica qui rappellera de bons souvenirs aux fans des premiers Aerosmith. Très cool.

Sur Hey Stoopid les ballades se remarquent facilement, grâce à nombre d'éléments comme l'arrivée de guitares acoustiques (Love's a Loaded Gun, Burning Our Bed) et d'arpèges (Might as Well Be on Mars), ainsi qu'une place plus large accordée aux arrangements, avec abondance de claviers, du piano (Die for You, Wind-Up Toy), jusqu'aux orchestrations de Might as Well Be on Mars. Un haut niveau de composition, une interprétation savoureuse et suffisamment de détails pour éviter toute lassitude... ça fait beaucoup de points forts non? Que la facilité d'écoute ne vous leurre pas, y a du gros taf derrière et beaucoup de choses à entendre. Dans le haut du panier, on rangera Love's a Loaded Gun, la ballade desmondchildienne Might as Well... et la formidable conclusion 70s Wind-Up Toy. Par contre bonnet d'âne pour la compo de Mötley Crüe dont la mièvrerie se repère dès son intitulé (Die for You) en plus de faire 2ème couche après la compo déjà moyenne d'Al Pitrelli (Burning Our Bed). Quant aux choeurs, effets et autres guests, ils sont peut-être omniprésents (Elvira en intro de Feed my Frankenstein ou les guests sur Wind-Up Toy), mais Alice Cooper ne se cache pas derrière pour autant. Y aurait matière à pondre une longue série de superlatifs sur le chant de Vincent Furnier. Je vais me contenter de chaleureux, malicieux et généreux. Je vous attends dans les commentaires pour continuer la liste.

En conclusion le seul tort de cet album est d'être sorti 2 ans trop tard. Paru en juillet 1991, Hey Stoopid va se faire enterrer vivant par une chiée d'albums référentiels: Slave to the Grind venait de débouler (en juin), le Black Album et Ten arrivaient (en août), précédant Blood Sugar Sex Magic et Nevermind (en septembre). Mais vous savez quoi? Ça n'enlève rien à ses qualités. Hey Stoopid c'est mon premier album d'Alice Cooper... et mon préféré. Du Hard FM dans ses plus beaux apparats, le dernier baroud d'honneur des années 80, un concentré de fun et de positive attitude, des souvenirs d'enfance et de vacances, une époque où la vie était plus facile et agréable.

Wayne's world ! Wayne's world ! Mégateuf ! Excellent ! Merci Alice !




Rédigé par : forlorn | 1991 | Nb de lectures : 2619


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Commentaire
TarGhost
Membre enregistré
Posté le: 13/07/2013 à 23h26 - (29512)
Moment larmoyant...l'une de mes premières k7 de hard achetées avec le "revenge" de Kiss, Great white...et Contraband !

Quelles émotions ravivées par cette chro...merci.



hammerbattalion
Membre enregistré
Posté le: 13/07/2013 à 23h52 - (29514)
Super kro, super album, la liste d'invités est très impressionnante, je préfère de peu Trash, mais de peu, pas trop fan de de la discographie du père Alice mais j'adore le personnage. Souvenez- vous, il avait proposé d'arbitrer un match de boxe opposant Vince Neil et Axl Rose pour en finir avec leur gros différend. Un gentleman, la sagesse personnifiée. Il a beaucoup mieux vieilli que ses alter egos (cf Hellfest).

Et Wayne's World, culte (adaptée pas les Nuls pour la rendre intelligible en français), enfin bref,bons souvenirs d'une époque où le metal dominait le monde.



ZeitGeist777
Membre enregistré
Posté le: 14/07/2013 à 16h24 - (29535)
ahhh putain oui je me souviens de cette histoire de match de boxe, terrible !



vincesnake
Membre enregistré
Posté le: 14/07/2013 à 19h04 - (29536)
La kro souligne bien le caractère irrésistible de cette époque et ce très bon album du père Alice !

Encore un cd qui m'accompagne souvent en bagnole!

pamalach
Membre enregistré
Posté le: 14/07/2013 à 22h24 - (29539)
Super chro mon Ami !!
Je me souviens que j'avais découvert Alice via une émission sur le cinéma (M6 ou la 5) avec le clip de "Hey Stoopid". Les affreux avaient parlé du "Papy du rock n'roll"...quelle baffe j'avais reçu ! C'est moi aussi le premier album d'Alice Cooper que j'ai eut et "Hey Stoopid" est toujours un de mes morceaux préférés, tout style confondu. Un classique absolu.

Nekobibu
Membre enregistré
Posté le: 15/07/2013 à 19h33 - (29545)
Très bonne kro, j'ai appris plein de choses, mine de rien ! :)

L'album est très chouette dans mes souvenirs, tu m'as donné envie de le réécouter, parce que ça doit bien faire 15 ans que je n'ai pas posé mes oreilles dessus.

Sinon, c'est marrant, j'ai revu Wayne's World il y a trois jours. Does this guy know how to party or what? ^_^

gérard klein
Membre enregistré
Posté le: 16/07/2013 à 17h36 - (29554)
Super Kro,j'adore le style.Album dantesque qui revient souvent hanter mon lecteur cd, rien à jeter dessus.Juste fabuleux.

paganzine
Membre enregistré
Posté le: 17/07/2013 à 18h29 - (29555)
Perso j'ai découvert Alice et cet album via le TOP50 alors qu'il était présenté par Yvan Le Bolloc'h et Bruno Solo. Vincent avait été interviewé et nous avait gratifié d'une grimace d'anthologie. Et ce fut l'occasion de voir le clip de Hey Stupid et de partir l'acheter.



forlorn
Membre enregistré
Posté le: 18/07/2013 à 07h55 - (29559)
L'avantage d'un classique, outre le fait qu'on ne s'en lassera jamais, c'est qu'on aura toujours matière à en parler. Les anecdotes ne manquent pas et j'en ai d'ailleurs omis plusieurs dans ma chronique. 2 exemples:

- Le guitariste qui a une réplique dans Wayne's World, c'est Pete Friesen. Il n'a a priori participé à aucun album studio, mais a régulièrement tourné avec Alice Cooper entre 1990 et 2003. Je l'ai repéré plus tard dans The Almighty, il joue notamment sur Powertrippin' et Crank. J'ai découvert ce groupe écossais via Rock Express sur M6. J'avais trouvé leur interview sympathique et les extraits de leur date parisienne (en première partie de Pantera) très pêchue.

- Le morceau Hey Stoopid est une réponse d'Alice à ses détracteurs qui le stigmatisaient (à l'instar d'Ozzy, Dee Snider, Judas Priest...) et lui interdisaient de jouer dans certaines villes US. Probablement les mêmes qui s'en prendront à Marylin Manson quelques années plus tard...

hammerbattalion
Membre enregistré
Posté le: 18/07/2013 à 10h24 - (29560)
Je viens de faire une recherche sur Pete Friesen, exact il a joué avec The Almighty!! J'ai eu l'occasion de le rencontrer et de discuter avec lui avant un concert. Il se promenait dans la Roche Sur Yon avec sa copine. Elle l'a poussé pour qu'il vienne taper la discute avec nous, très timide mais souriant et ouvert.

Je ne savais pas qu'il avait un tel C.V. et je ne me souvenais plus de lui dans Wayne's World, putain de blaireau que je suis (et surement aviné ce jour là). :-)

forlorn
Membre enregistré
Posté le: 18/07/2013 à 11h25 - (29561)
C'est tellement facile de s'y perdre...
Y a plusieurs catégories de mecs:

- ceux qui composent pour Alice
- ceux qui jouent sur ses albums
- ceux qui apparaissent en guests
- ceux qui l'accompagnent en tournée

Concernant Pete Friesen, les curieux peuvent aller voir sa page wikipedia (en anglais).

pamalach
Membre enregistré
Posté le: 18/07/2013 à 23h52 - (29562)
Si j'ai bonne mémoire Forlorn, ils avaient joué en acoustique un titre de "The almighty" plus un morceau du projet Sic du chanteur qui s’appelait "Ya,Ya,Ya", extrait d'un E.p quatre titre que j'avais eut un mal de chien à trouver !



pamalach
Membre enregistré
Posté le: 20/07/2013 à 10h50 - (29563)
En fait, mon Forlorn m'a fait remarquer que mon post n'était pas très clair....Je faisais référence précédemment à Pete Friesen et à un de ses passages à la télévision Francaise avec le chanteur de "The Almighty" Ricky Warwick dans Rock Express.

forlorn
Membre enregistré
Posté le: 20/07/2013 à 11h13 - (29564)
C'est surtout que j'avais oublié ce reportage pour la promo de l'album Just Add Life (1996). Dans mon esprit je limitais The Almighty à leur passage précédent pour la promo de l'album Crank (1994).

Sinon j'en profite pour dire que le groupe de Ricky Warwick s'est reformé en 2006 et que Pete Friesen est toujours dans le coup (1991-1996, 2006-). Cependant il ne se passe pas grand chose, ce qui est compréhensible quand on suit la carrière de Warwick (un passage dans Thin Lizzy et actuellement dans Black Star Riders).

hammerbattalion
Membre enregistré
Posté le: 21/07/2013 à 19h54 - (29590)
Tiens, puisque tu parles de Warwick, autant ce mec ne m'a jamais touché dans The Almighty, autant il est parfait (et le challenge est presque insurmontable) chez feu Thin Lizzy!

forlorn
Membre enregistré
Posté le: 22/07/2013 à 08h48 - (29601)
Ricky Warwick a un sacré CV maintenant. Pour le côté people, on se souviendra qu'il a été marié à la présentatrice de Headbangers Ball et qu'il était témoin au mariage de Joe Elliot (Def Leppard) avec qui il est très pote. Sinon pour son CV en bref ça donne ça:

?-1988 : guitariste live pour New Model Army
1988-1996 : The Almighty
1996-1999: Ciaran
1999 : guest sur Euphoria de Def Leppard
1999-2001 : The Almighty
2001-2006 : carrière solo
2006-? : The Almighty
2006-2007 : Circus Diablo (avec Billy Duffy de The Cult)
2006-2009 : carrière solo
2009-2012 : Thin Lizzy
2012-? : Black Star Riders (Thin Lizzy new génération)

Strat
Membre enregistré
Posté le: 23/07/2013 à 15h53 - (29613)
Excellente chronique, ne serait-ce que pour avoir fais le lien avec Wayne's World !
Je suis trop "jeune" pour avoir pu écouté "Hey Stoopid" à sa sortie et je ne l'ai découvert qu'il y a quelques années, après une claque sur "Trash", et je ne suis que peu arrêté sur "Hey Stoopid" étant donné que je le trouvais trop "difficile" à prendre en main, car trop de styles différents sont présent sur un seul et même disque, mais en même temps trop "facile" du fait de la surenchère de cœur et de "hit".

Il va falloir que je le réécoute tiens, le beau temps doit bien se préter à l'écoute de cet album !



forlorn
Membre enregistré
Posté le: 11/10/2014 à 19h53 - (31264)
Pour les curieux et les fans, ajout des clips de Hey Stoopid et Feed my Frankenstein.

K-Sauce
IP:93.24.236.29
Invité
Posté le: 14/07/2016 à 18h50 - (31953)
Deterrage de post, mais quel album !

Découvert le clip incroyable et je suis resté scotché ! J'ai cassé ma tirelire pour acheter la K7 que je garde jalousement et qui à tellement tournée... Encore aujourd'hui, j'ai toujours l'impression de découvrir quelque chose en l'écoutant.

Bien vu pour la basse dans Hey Stooped. J'ai passé des soirées à trouver la meilleure ligne possible pour sonner comme dans le morceau. C'est jouissif !

Un des 3 albums que j'emporterai dans ma tombe sans même réfléchir.

Merci pour la Kro.

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