Dennis Labbe - LES 100 INDISPENSABLES DU METAL par VSGREG - 2286 lectures
"LES 100 INDISPENSABLES DU METAL A TELECHARGER", non c'est n'est pas le titre d'un site illégal mais le titre du livre de Denis Labbé qui vient de sortir aux Editions FETJAINE http://www.fetjaine.com


Peux-tu te présenter à nos lecteurs ainsi que ton parcours en tant qu’amateur de metal ?
J'ai 43 ans. Je suis professeur de français dans un lycée et écrivain. Je publie notamment des nouvelles fantastiques ou de science-fiction. Et je travaille pour le site www.lefantastique.net où je m'occupe de la rubrique metal, de la littérature et aussi de bande dessinée. Je suis donc en contact quotidien avec le metal et l'écriture.
J'écoute du hard rock et du metal depuis 1979, année où j'ai pris en pleine gueule "Highway To Hell" d'AC/DC, avant qu'un copain de classe ne m'ouvre les portes du genre. Mes premières claques à cette époque allaient de la New Wave Of British Heavy Metal (Iron Maiden, Def Leppard, Saxon, Samson, Tygers of Pan Tang en tête), à tous les groupes associés ou redécouverts à cette époque (Judas Priest, Motörhead, Budgie…), en passant par quelques dinosaures comme Deep Purple, Led Zeppelin, Uriah Heep, Ted Nugent ou Black Sabbath. Mais rapidement, je suis allé chercher dans l'underground des groupes aussi bien français qu'étrangers (Le Griffe, Savage, Blieztkrieg…). A l'apparition du thrash de la Bay Area que j'ai découvert via la première compilation "Metal Massacre", le "Kill' em All" de Metallica, puis Exodus, Megadeth, Death Angel… j'ai tourné plus thrash (ajoutons-y Overkill, Anthrax et Flotsam and Jetsam) et heavy à ce moment-là. Manowar, Virgin Steele, Warrior (US), Manilla Road, Armored Saint et Savatage ont fait rapidement partie de mes groupes préférés. J'écumais les disquaires. En même temps, la vague allemande est apparue et Accept, Rage, Grave Digger, Living Death, Tankard m'ont entraîné dans leur course. Surtout Accept avec "Breaker" et "Restless And Wild".
En 1ère, nous avons fait un voyage en Hollande. J'en vois qui sourient au fond… Ce fut certes un peu chaud, mais surtout pour mes oreilles. J'y ai découvert et acheté "Black Metal" de Venom… Un choc! Et un album de Demon aussi "Night Of The Demon". Cela fait ancien combattant, mais Enfer Magazine était dans les kiosques, "Wango Tango" de Tonton Zézé alimentait les ondes de RTL depuis une poignée d'années, et cela nous permettait de découvrir des tonnes de groupes. Même underground. Dont la scène française: Sortilège, Satan Jokers, Demon Eyes, Steel Angels, ADX, Attentat Rock, Vulcain… Beaucoup de groupes que j'ai vus en concert… Zégut faisait des trucs incroyables en passant un concert de MSG au Japon (ce qui allait devenir le "One Night At Budokan"), l'album "Flick Of The Switch" en intégrale plusieurs jours avant sa sortie, des démos de groupes non encore signés (ce fut le cas pour Satan Jokers par exemple…).
Je ne suis jamais resté attaché à une époque, même si j'écoute toujours mes anciens disques ou que je les achète en CD. UFO, Whitesnake, Uriah Heep bénéficient de sorties avec bonus: je me jette dessus.
Mais ayant découvert le Black et le Death (Obituary surtout), j'ai suivi les deux courants. Bathory, Dimmu Borgir, Satyricon, certains Cradle Of Filth sont en bonne place dans ma discothèque. Puis la survenue du grunge (un bien grand mot pour des groupes aussi différents que Nirvana, Pearl Jam et Soundgarden), le death mélodique, les différents crossover (Rage Against the Machine dont j'aime les structures novatrices et les textes revendicatifs, Faith No More qui étaient des génies ou à présent System Of A Down ou Scars Of Broadway). Mais mes goûts vont de l'AOR au black. Je craque aussi bien sur les derniers Journey, Mötley Crüe, Whitesnake et Def Leppard, que sur les derniers Cataract, The Haunted, Soulfly, Machine Head ou Megadeth.
Côté musique, j'ai chanté dans plusieurs groupes qui n'ont jamais quitté leur garage ou leur salle de répétition, je me suis occupé d'un groupe dans lequel mon frère était guitariste et qui a sorti une démo et écumé la région du Nord. Mais je fais moins de bruit lorsque j'écris…


Tu viens de sortir le livre "100 indispensables du métal à télécharger". Même si ce titre semble coller à celui de la collection "les 100 xxx à télécharger".
Quelle est ton opinion sur le côté 'provocateur' du titre étant donné que le mot "télécharger" est très fréquemment associé à "illégal" ?

Que les choses soient claires. Je ne suis pas responsable du titre de la collection, mais je l'assume. Il est volontairement provocateur et polémique. Cela attire l'œil. Un éditeur et aussi un "publieur", quelqu'un qui doit vendre des livres. Aussi étonnant que cela puisse paraître, sortir un livre sur le metal n'est pas forcément vendeur. Fetjaine éditions prend des risques en me confiant un tel livre. Certes, des risques calculés, mais des risques quand même. Pour ma part, je suis absolument contre le téléchargement illégal de CD ou de DVD. Je n'ai jamais téléchargé un seul titre. D'ailleurs, je n'ai pas encore l'ADSL. Les seules copies de LP que je possède, sont celles faites à partir des albums vinyles que je possède à une époque où ils n'étaient pas encore sortis en CD : Chariot, Loudness par exemple.
Dans ma préface, je précise que le téléchargement doit se faire légalement. Il faut respecter le travail des artistes. Ce problème est vaste, car c'est un vrai fait de société. En France, et d'ailleurs dans la plupart des pays, on n'associe pas l'art à un travail, mais à un loisir. Pour beaucoup, les groupes s'amusent et c'est d'ailleurs pour cela que pas mal de jeunes montent des groupes avant de lâcher prise. Ecrire, composer, tourner, enregistrer, c'est un vrai boulot! Je ne peux qu'appeler les fans de metal à respecter leurs groupes en achetant leurs albums ou en les téléchargeant légalement. Pour se faire une idée, internet est un outil idéal. Avant, on ne savait ce que donnait un groupe qu'en concert, où il fallait payer pour entrer, à présent, une oreille posée sur MySpace par exemple donne un bel aperçu de ce dont est capable un groupe.


A qui s’adresse ce livre …
J'oserais dire à tout le monde, mais un spécialiste ou un fan averti n'y apprendra pas grand chose, à part sans doute quelques anecdotes sur l'écriture, la composition ou la petite histoire de tel ou tel morceau. Encore que je donne plein de pistes d'écoute. Il n'y a que cent titres détaillés, mais j'en cite des milliers et je parle de centaines de groupes. En plus, à la fin, je donne 30 titres supplémentaires.
Je pense que ce livre est un cadeau à faire à un amateur de metal, ou à quelqu'un qui débute dans le genre et qui voudrait en savoir plus sans se ruiner dans l'achat d'un énorme pavé. Le but étant, bien entendu, d'acheter des albums ou d'aller voir les groupes en concert. C'est comme quelqu'un qui achète un livre sur le cinéma pour savoir quels sont les 100 DVD à acheter. Il vaut mieux quand même avoir les DVD, mais le livre sert à savoir que choisir. Ce livre ouvre des portes et en entrouvre d'autres. Il n'a pas d'autres prétentions.
Si je suis un critique, je suis avant tout un fan et j'ai simplement voulu faire passer ma passion du metal (au sens large du terme). En 100 titres, j'espère y être parvenu, tout en ratissant large, ce qui était volontaire.


Comment as-tu procédé pour sélectionner ces 100 titres ?
J'en avais des milliers en tête, mais j'ai d'abord choisi deux cents titres environ, puis j'ai réalisé que cela n'allait pas, alors j'ai fait des chapitres destinés à expliquer l'évolution du genre et des différents courants. N'oublions pas que le terme "metal" ne signifie pas du tout la même chose aux Etats-Unis qu'en Europe. Led Zeppelin c'était du metal pour les Américains avant de devenir du "classic rock". Il suffit de discuter avec certains groupes outre-Atlantique pour se rendre compte que les définitions ne sont pas les mêmes que chez nous. Pour un Américain, tout ce qui touche une guitare électrique est au départ du "metal". Même sur MySpace on peut être étonné de la manière dont certains groupes se définissent. De toute manière, je m'en moque. Dans les années 80, on écoutait du "hard", on était fan de "hard". Mais l'importance prise par une certaine forme de cinéma pas très artistique a conduit les fans à parler de "metal". Dans le même temps, on ne peut nier qu'il y ait des différences entre le heavy metal hérité de Black Sabbath et la vague hard rock influencée par Deep Purple. Pourtant, ces deux vagues puisent aux mêmes sources: le blues. Ensuite, c'est surtout une question de choix de gammes (mineures ou majeures) et d'accordages. Lorsqu'on entend Phazm ou Satyricon poser sur des bases death ou black des structures chargées de groove parce qu'elles utilisent des 12 mesures issues du blues ou les déforment, on sent encore cette influence. Cela ne me gêne pas. Les innovations se font petit à petit. Le thrash amène des rythmes syncopés, le black des blasts de batterie, le death un accordage plus bas…
Mais je m'égare… Une fois la structure du livre en place, il a fallu définir combien de titres allaient être accordés à tel et tel "courant". Nouveau casse-tête. J'ai donc éliminé une centaine de titres en essayant de voir ceux que préféraient les fans, la place dans l'histoire du genre, les ventes… Il a aussi fallu choisir tel ou tel titre d'un groupe. Alors pourquoi un "Fade To Black" alors que ce n'est pas le titre le plus puissant de Metallica? Parce que c'est un titre réellement abouti musicalement. Evidemment, un "Trapped Under Ice", un "Whiplash" ou un "Battery" aurait été plus indiqué pour définir le genre, mais ce n'est pas le genre que j'ai essayé de définir, mais l'esprit d'un groupe, la beauté d'un titre. Bien entendu, quelqu'un qui n'écoute que ce titre va se dire "Oh, le thrash c'est cool, c'est doux" et prendre en pleine gueule le reste de l'album. Tant mieux! J'ai vu ça à l'époque de Europe. Des centaines de fillettes accompagnées de leurs parents voulaient entendre "Carrie" ou "The Final Countdown" au milieu de fans de hard rock patchés aux cheveux longs. Après deux mesures du premier titre, fillettes et papas-mamans ont fui au fond de la salle parce que Europe donnait de vrais concerts de hard rock lors de leurs tournées. J'ai eu la même impression dernièrement à un concert (pourri!!) d'Evanescence où Mass Hysteria a atomisé les premiers rangs.
Ces 100 titres sont en partie objectifs et en partie subjectifs. Le titre de départ était "Les 100 classiques du metal", mais il a évolué en "indispensables".


Après avoir lu ton livre, j'ai fais le constat que près de 70% des titres choisis datent d'avant les années 90.... Du temps où on parlait plus de hard rock que de métal. Ne te retrouves-tu pas dans les 2 dernières décennies ?
Oh que si! Aujourd'hui, j'écoute plus de metal que de hard rock. J'aime la scène actuelle qui est plus riche, plus technique et plus colorée que celle d'avant les années 80 par exemple. Je n'ai pas pu parler de death mélodique (Children Of Bodom, In Flames, Soilwork sont parmi les groupes que j'écoute le plus depuis 4 ou 5 ans), ni du pagan ou du folk metal en tous genres qu'il soit influencé par le black ou le death, ni de toute cette vague technique et inclassable qui va de Messhuggah à Opeth. Il m'aurait fallu quatre fois plus de place. Rien que la scène finlandaise pourrait couvrir les cent pages (Mygrain, Codeon, Silentrain, Tarot, Waltari, Vanity Ink… sont des groupes à suivre). Je suis un fan de Nevermore, et de ses musiciens depuis Sanctuary, mais je n'ai pas pu placer ce groupe dans le livre. Je le regrette. Il fallait aussi faire de la place pour des classiques. Et comme le metal s'est mondialisé depuis quelques années, c'est d'autant plus dur. Entendre Myrath qui vient de Tunisie, Metsatöll qui est estonien ou Seraphim de Taipe, c'est quand même incroyable. Il y a eu une percée d'Amérique du Sud derrière Sepultura et Angra, et cela a permis à chacun de découvrir que chaque continent possédait sa propre scène ou ses propres scènes. Alors, 100 pages avec tout ce que le metal comporte de courants et d'évolutions, c'est peu.
Mais comme il fallait aussi un peu de recul par rapport à ces scènes, je n'ai pas voulu leur accorder trop de place. Sans doute dans un deuxième tome si cela peut se faire, car il est certain que s'il est mis en chantier il accordera plus de place aux groupes extrêmes et aux groupes plus récents. Dans ce premier livre, il fallait marquer les bases des différents genres. Le livre étant grand public, je ne me voyais pas expliquer le pagan et omettre l'évolution du heavy metal avant Finntroll, Korpiklaani et Ensiferum qui pourraient trouver leur place dans un nouveau livre, mais au même titre que Pain, Hypocrisy ou Pain Of Salvation voire Primal Fear, Edguy, Black Label Society et Black Stone Cherry. Qui choisir? 100 titres, c'est très court en voulant accorder de la place à tout le monde. En même temps, les deux dernières décennies ont vu le genre s'ouvrir à toutes sortes d'influences: gothic, symphoniques, rap, techno, world music… Comment inclure tout cela d'un coup? J'ai glissé Rage Against The Machine ou Limp Bizkit pour le rap, mais comment inclure un groupe comme Waltari, les extraordinaires Freak Kitchen ou Wednesday 13? Un peu dur en 100 titres. Je n'ai même pas pu mettre les groupes de hardcore metal (pas metalcore) comme Agnostic Front, Madball ou Biohazard et pourtant ils sont entrés dans la famille, chose inimaginable dans les années 80 où punks et greasers se tapaient dessus. Même ici, si je donnais la liste des groupes qui m'ont fait craquer ces dix dernières années, je n'aurais pas la place. Le prochain Cronian est bon, le Iskald aussi dans un autre genre, comme le TNT ou le Phazm.


Parmi ta sélection, on est surpris de trouver ETHS ou encore SHAKAPONK comme représentant le métal français aux côtés de Trust et Sortilège. Comment expliques-tu ce choix et l’absence de poids lourds comme Loudblast ou Gojira …
J'ai dû faire des choix. Je connais bien Loudblast depuis leurs débuts (nous n'habitons pas loin les uns des autres) et je dois encore posséder des copies de leurs démos. J'aime beaucoup ce groupe et je respecte leur importance sur la scène française et même européenne. C'est un peu différent pour Gojira dont le dernier album est une tuerie (on aurait pu aussi citer Dagoba dont j'aime les deux derniers albums – j'y inclus celui à venir que j'ai sous la main), qui prend une place énorme en ce moment et que j'ai beaucoup hésité à mettre aussi, même si on manque un peu de recul sur la place que ce groupe aura dans dix ans alors qu'on en est sûr pour Loudblast. Les deux étaient dans ma première sélection. Mais il fallait un choix. Trust s'imposait. Je parle évidemment du Trust des débuts par de celui qui se reforme et se déforme… Je voulais un groupe de la vague des années 80: donc Sortilège, sans doute le plus doué à l'époque. Un autre de la nouvelle vague: Eths (mais cela aurait pu être Lofofora ou Aqme qui étaient aussi dans mes deux cents). Alors pourquoi Eths? Pour montrer qu'il y a aussi des filles dans le metal et parce qu'Eths est un groupe vraiment original. Quant à ShakaPonk. C'est vraiment la touche personnelle et un choix tout à fait discutable, mais assumé, tout simplement parce que je pense que c'est un groupe d'avenir et qu'il représentait ce que le metal peut devenir lorsqu'il digère un tas d'influences. Au début, je comptais mettre une dizaine de groupes français, mais cela n'aurait pas convenu. Gilles Verlant était aussi d'accord pour ce choix de seulement quatre groupes. Je cite d'autres groupes, notamment SUP qui est pour moi l'un des meilleurs groupes actuels, toutes scènes confondues et à qui j'aurais bien aimé consacré une page (leur dernier album est excellent, comme les précédents), ou Alive Inc. un groupe vraiment technique et original, voire The Old Dead Tree qui propose à chaque fois un album meilleur que le précédent. La France est riche si l'on regarde les scènes actuelles. En plus des groupes déjà cités, In Arkadia, Klone, Wild West, Spheric Universe Experience, Ufych Sormeer, Zuul FX, Shannon, Phazm, Anorexia Nervosa, C.L.A.F.F. ou Ayin Aleph, sont autant de groupes qui ont leur mot à dire dans le concert international parce qu'ils amènent des choses dans leur style respectif. Et j'en oublie des tas. Mais il faudrait un livre entier consacré à la scène française si l'on pense que des anciens talentueux sont toujours présents ou reviennent comme Nightmare, Killers, ADX, Satan Jokers ou Blasphème.


S'il ne devait rester que 3 indispensables, quels titres choisirais-tu
Les fans de metal sont de grands psychopathes quand même. J'ai dû réduire mon choix à 100 et l'on me demande trois titres à présent. Ce n'est pas la première fois d'ailleurs. Et comme mes goûts changent d'un jour à l'autre; je mettrais sans doute un titre de Led Zeppelin comme "Communication Breakdown" qui est très heavy et surprenant même si d'autres sont plus connus. Et c'est d'ailleurs un titre que je n'ai pas retenu dans les 100. "Highway To Hell" d'AC/DC reste pour moi la clef qui m'a ouvert les portes du genre. C'est un indispensable. Et "Don't Break My Heart Again" de Whitesnake (pas cité non plus parce que "Fool For Your Lovin" est souvent plus cité). Mais comme tout cela est plutôt vu comme du hard rock, je vais donner trois titres metal. Black Sabbath : "Paranoïd" parce que c'est l'une des pierres angulaires du metal. "Freewheel Burning" de Judas Priest qui est resté pendant longtemps le titre le plus heavy avec "Fast As a Shark" d'Accept. Avec ces trois titres nous sommes dans le metal pur et dur. Les fans de metal extrême attendront sans doute autre chose. "Black Metal" de Venom, "Puritania" de Dimmu Borgir et "Zombie Ritual" de Death. Je m'en tire par une pirouette. Mais je n'y peux rien, j'écoute vraiment de tout.


Quels sont les 101ème ou 102ème indispensables du metal sorti en 2008 qui ne figurent pas dans ton livre
En 2008, j'ai eu quelques claques. "Hegemony/March Of The Neovocyts" de SUP qui montre la quintessence de ce que ce groupe peut nous montrer. Après j'hésite, parce que pas mal d'albums d'excellente tenue sont sortis cette année. "Running Wild" d'Airbourne, "Saints of Los Angeles" de Mötley Crüe (un retour plus qu'inattendu), "She Wolf" de Blessed By A Broken Heart et "Moronic Colossus" de The Haunted. Mais je pourrais en donner une vingtaine de plus, car Soulfly, Whitesnake, Cavalera Conspiracy, Def Leppard ou Iced Earth ont sorti de bons albums. Une autre pirouette, c'est difficile à mon âge ;-)

En tout cas, merci de m'avoir permis de m'expliquer et si vos lecteurs veulent réagir, qu'ils n'hésitent pas. Et d'ailleurs, qu'ils tentent de faire ce même classement surtout s'ils possèdent plusieurs milliers d'albums… Là, il faut être souple, car les pirouettes sont nombreuses, et posséder plusieurs tubes d'aspirine. J'ai testé…


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