Quentin (chant) - HARMONIC GENERATOR par STéPHANE - 3979 lectures
Les groupes français de Hard Rock de qualité ne sont pas légion. C'est pourquoi les jeunes loups d'HARMONIC GENERATOR font d'autant plus plaisir à entendre. Leur premier album, "When the sun goes down", est une belle réussite, qui laisse présager du meilleur pour la suite de leur carrière.
Entretien avec Quentin, le chanteur d'un groupe qui s'est donné les moyens de ses ambitions, et pour lequel un séjour de 10 mois en Australie a servi de "camp d'entraînement" en matière de bon Rock.




Peux-tu résumer pour nos lecteurs le parcours d'HARMONIC GENERATOR avant l'enregistrement de votre premier album ?

HARMONIC GENERATOR existe maintenant depuis plus de 8 ans. Tout a commencé avec les frères Alex et Charles Roussel (respectivement batteur et guitariste), qui m'ont un jour invité à prendre place derrière le micro. Nous avons ensuite été rejoints très rapidement par Renaud Satre (guitare) et Nicolas "Blond" Helinger (basse). Après s'être faits les dents (les doigts, les bras, etc.) sur quelques reprises (AC/DC, THE DATSUNS, METALLICA), nous avons très rapidement commencé à composer nos propres chansons. En un peu plus de 5 années nous avons écumé la plupart des petites scènes Marseillaises et des environs, et nous avons sorti 3 EPs. Au-delà d'une passion, la musique est devenue vitale pour nous, c'est pourquoi au bout de ces 5 années nous avons choisi de partir à l'autre bout du monde pour nous mettre à l'épreuve.

Qu'est-ce qui a motivé votre décision de partir vivre dix mois en Australie en 2011 ?

Après plus de 5 ans passés à jouer dans les salles de Marseille et des environs, nous voulions une expérience plus grande, nous voulions nous confronter à un pays où le Rock fait partie intégrante de la culture. Nous voulions partir loin, découvrir le monde, vivre des expériences qui enrichiraient notre musique. Et c'est donc après avoir hésité entre plusieurs destinations (USA, Canada, Angleterre) que nous avons choisi l'Australie.

Quelles sont les différences majeures entre l'Australie et la France ?

Les gens parlent anglais et "les volants sont quand même vachement à droite!" (ça c'est fait, copyright Renaud Satre). Plus sérieusement, tout est différent, absolument tout : la culture, la langue, le climat, les gens, les villes, les paysages... Nous voulions du dépaysement, eh bien nous avons été servis. L'Australie nous a accueilli à bras ouverts, la musique (et le Rock particulièrement) y est omniprésente partout, nous avons donc très rapidement senti que le choix que nous avions fait était le bon. L'Australie est, à mon sens, un des rares pays où les gens ont encore "faim" de musique, et nous avons tout de suite ressenti ça.

Quels sont vos meilleurs souvenirs de cette période australienne ?

Il y en a tellement ! Je vais juste en citer quelques uns.Notre premier concert en dehors de Sydney par exemple, à Bateman's Bay, dans un snack (oui oui, un snack) d'une contenance maximale de 30 personnes, où les amplis étaient posés à même les banquettes. Quand nous sommes entrés "sur scène" les gens étaient comme des fous, nous avons joué pendant plus d'une heure et ils en redemandaient encore et encore. Le snack était tout simplement bondé, plus d'une vingtaine de personnes dansait et sautait dehors dans la rue, c'était complètement fou !
Il y aussi le CAXTON STREET FESTIVAL de Brisbane, durant le DOWNSIDE UP TOUR, où nous avons partagé l'affiche avec certains des plus grand noms de la musique en Australie (Kevin Borich, THOUSAND NEEDLES IN RED, EVIL EDDY, SHIHAD (NZ), THE RADIATORS). Après le festival, nous étions hébergés chez des amis australiens, membres du génialissime groupe FOREVER THE OPTIMIST, où nous avons continué à faire la fête pendant des heures. Vers 5h00 du matin, Nico et moi étions toujours sur la terrasse où nous avions passé une bonne partie de la nuit, et nous avons vu un opossum sauter sur la table, renverser une canette de vodka-limonade déjà ouverte, et se mettre à téter goulûment la canette ! Nous avons tout de suite réveillé le reste du groupe pour qu'ils soient témoins de la scène, et après dix bonnes minutes (et un fou rire général) et une canette vide, l'opossum est reparti dans son arbre, tranquillement. True story !
Et bien sûr l'enregistrement de "When the sun goes down" au Thirty Mill Studio à Melbourne, en compagnie de Mark Opitz et Colin Wynne, où nous avons enregistré et vécu dans le studio pendant plus de trois semaines et avons partagé tous les sept des moments inoubliables.



Avez-vous senti que vous avez gravi un échelon supérieur en tant que groupe pendant ce séjour Australien ?

Bien entendu ! Aussi bien la première fois quand nous y avons vécu pendant dix mois, que la deuxième fois quand nous y sommes retournés pour enregistrer et faire une tournée. Durant le premier voyage nous avons effectué plus d'une soixantaine de concerts sur une grande partie de la côte Est, autant dire que ça nous a forgé à la scène ! Et puis c'était aussi la première fois que nous nous retrouvions tous loin de nos familles, de nos amis, nous étions juste tous les cinq, avec notre rêve commun comme seul horizon. Quant au studio, l'alchimie musicale que nous avons vécue pendant toute la durée de l'enregistrement est probablement une des plus grandes expériences de notre vie de musiciens. Ces deux expériences bien distinctes ont été des moteurs exceptionnels aussi bien dans notre vie musicale que personnelle.

Vous avez trouvé là-bas un manager, un label et des producteurs de renom. Tu penses que cela aurait été impossible en France ?

Rien n'est impossible. Disons que la tâche aurait été nettement plus ardue en France. Ici le Rock ne fait clairement pas partie de la culture musicale. Ici un petit groupe de Rock peut très difficilement s'offrir le luxe de bosser avec quelqu'un de la stature de Mark Opitz. Ici, très peu de managers de renom vous diraient "j'vous signe" après vous avoir vu en concert devant quatre personnes, incluant lui-même. Ces gens-là ont cru en nous sans avoir aucune garantie en retour, leur soutien nous est indispensable. Je pense simplement que l'intérêt des personnes de même envergure en France n'est pas du tout orienté vers le Rock, en anglais qui plus est.

Comment s'est passée l'expérience en studio, avec ces deux producteurs qui ont bossé avec des grands noms du Rock (AC/DC, THE ANGELS, KISS) ?

C'était tout simplement irréel. C'était notre première expérience aussi longue en studio "pro" et nous étions véritablement honorés que Mark ait bien voulu produire cet album. Colin et lui ont fait un travail formidable aussi bien sur l'arrangement des morceaux que sur le son de l'album, ils nous ont poussé à donner le meilleur de nous-mêmes tout en nous apportant beaucoup de confiance en nous. Cette expérience a été pour nous un immense pas en avant musical en tant que groupe.



Pourquoi y-a-t-il eu autant de temps entre l'enregistrement de l'album et sa sortie ?

Tous les projets que nous avons menés sont 100% autofinancés, depuis le premier voyage en Australie, jusqu'à la sortie de l'album, il nous a donc fallu du temps pour réunir l'argent nécessaire au pressage et à la campagne promotionnelle. Nous avons aussi mis beaucoup de temps à trouver un distributeur en France, mais nous sommes très heureux d'avoir finalement été signés chez Dooweet Records.

"When the sun goes down" va-t-il bénéficier d'une sortie dans d'autres pays que la France ?

L'album sera disponible au niveau international ainsi que sur toutes les plateformes de téléchargement légal le 10 Juillet. Il est disponible en France chez Dooweet Records depuis le 28 Mai.

Allez-vous enchaîner avec des dates à l'étranger pour promouvoir l'album ?

Nous sommes actuellement en train d'organiser une tournée qui devrait couvrir plusieurs pays d'Europe grâce à Red Lion Music et d'autres partenaires Européens. Les dates ne sont pas fixées pour l'instant mais cette tournée devrait avoir lieu fin 2013.

D'ailleurs est-il plus "facile" de monter une tournée à l'étranger qu'en France ?

Pas spécialement, en France ou ailleurs il faut juste avoir les contacts, le réseau. Et ça prend du temps. Il nous a été beaucoup plus facile d'obtenir ce réseau en Australie grâce à notre manager, mais grâce à nos récents partenariats nous bénéficions maintenant de la même couverture en Europe.

Par rapport au style musical d‘HARMONIC GENERATOR, vos premiers EPs transpiraient d'influences Hard US (AEROSMITH, VAN HALEN, EXTREME). C'est un petit peu moins le cas sur ce premier album, qui est un peu plus varié, voire heavy par moments. Vos influences ont-elles changé entretemps ?

Changé non, évolué certainement. Nous avons choisi de nous inspirer de groupes plus récents et pas seulement des légendes du Classic Rock. Nous avons opté pour des sonorités et une façon de composer plus modernes.



A ce propos, quels sont les groupes (anciens ou récents) dont vous vous sentez le plus proche, qui sont pour vous des modèles ?

Choix difficile ! Je dirais les FOO FIGHTERS, VELVET REVOLVER, AEROSMITH, STONE TEMPLE PILOTS et bien sûr THE DATSUNS, mais il y en a tellement d'autres !

Pourquoi un album aussi court (9 titres/35 minutes) ?

Nous sommes arrivés en studio avec très peu de titres, onze exactement, et nous avons choisi d'en supprimer 2 car nous les jugions trop faibles. Qui plus est, 3 semaines pour enregistrer un album, arrangements et mixage compris, c'est peu de temps, très peu. Nous avons donc privilégié la qualité à la quantité.

Avez-vous déjà commencé à composer pour votre deuxième album ?

Absolument! Déjà plus d'une dizaine de nouvelles compos au compteur et on ne va pas s'arrêter là ! Mark Opitz en sera encore une fois le producteur et il devrait être enregistré au printemps 2014. Si vous voulez un aperçu, venez nous voir en concert!

Que peut-on vous souhaiter pour l'avenir et avez-vous un dernier mot à dire ?

Pour l'avenir, toujours plus de concerts, toujours plus de magnifiques expériences et toujours plus de rencontres. Pour le mot de la fin, bien évidemment, KEEP ON ROCKIN' !

[Photos de Manon Bacquiat]

Peux-tu résumer pour nos lecteurs le parcours d’Harmonic Generator avant l’enregistrement de votre premier album?
Harmonic Generator existe maintenant depuis plus de huit ans. Tout a commencé avec les frères Alex et Charles Roussel (respectivement batteur et guitariste), qui m'ont un jour invité à prendre place derrière le micro. Nous avons ensuite été rejoints très rapidement par Renaud Satre (guitare) et Nicolas « Blond » Helinger (basse). Après s'être faits les dents (les doigts, les bras, etc) sur quelques reprises (AC/DC, The Datsuns, Metallica) nous avons très rapidement commencé à composer nos propres chansons. En un peu plus de cinq années nous avons écumé la plupart des petites scènes marseillaises et des environs, et nous avons sorti trois EPs. Au-delà d'une passion, la musique est devenue vitale pour nous, c'est pourquoi au bout de ces cinq années nous avons choisi de partir à l'autre bout du monde pour nous mettre à l'épreuve.


Qu’est-ce qui a motivé votre décision de partir vivre dix mois en Australie en 2011?
Après plus de cinq ans passés à jouer dans les salles de Marseille et des environs, nous voulions une expérience plus grande, nous voulions nous confronter à un pays où le Rock fait partie intégrante de la culture. Nous voulions partir loin, découvrir le monde, vivre des expériences qui enrichiraient notre musique. Et c'est donc après avoir hésité entre plusieurs destinations (USA, Canada, Angleterre) que nous avons choisi l'Australie.


Quelles sont les différences majeures entre l’Australie et la France?
Les gens parlent anglais et « les volants sont quand même vachement à droite! » (ça c'est fait, copyright Renaud Satre).
Plus sérieusement, tout est différent, absolument tout : la culture, la langue, le climat, les gens, les villes, les paysages…
Nous voulions du dépaysement, eh bien nous avons été servis.
L'Australie nous a accueilli à bras ouverts, la musique (et le Rock particulièrement) y est omniprésente partout, nous avons donc très rapidement senti que le choix que nous avions fait était le bon.
L'Australie est, à mon sens, un des rares pays où les gens ont encore « faim » de musique, et nous avons tout de suite ressenti ça.


Quels sont vos meilleurs souvenirs de cette période australienne?
Il y en a tellement! Je vais juste en citer quelques uns.

Notre premier concert en dehors de Sydney par exemple, à Bateman's Bay, dans un snack (oui oui, un snack) d'une contenance maximale de 30 personnes, où les amplis étaient posés à même les banquettes. Quand nous sommes entrés « sur scène » les gens étaient comme des fous, nous avons joué pendant plus d'une heure et ils en redemandaient encore et encore. Le snack était tout simplement bondé, plus d'une vingtaine de personnes dansait et sautait dehors dans la rue, c'était complètement fou!

Le Caxton Street Festival de Brisbane, durant le Downside Up Tour, où nous avons partagé l'affiche avec certains des plus grand noms de la musique en Australie (Kevin Borich, Thousand Needles in Red, Evil Eddy, Shihad (NZ), The Radiators). Après le festival, nous étions hébergés chez des amis australiens, membres du génialissime groupe Forever The Optimist, où nous avons continué à faire la fête pendant des heures. Vers 5h du matin, Nico et moi étions toujours sur la terrasse où nous avions passé une bonne partie de la nuit, et nous avons vu un opossum sauter sur la table, renverser une canette de vodka-limonade déjà ouverte, et se mettre à téter goulûment la canette! Nous avons tout de suite réveillé le reste du groupe pour qu'ils soient témoins de la scène, et après dix bonnes minutes (et un fou rire général), et une canette vide, l'opossum est reparti dans son arbre, tranquillement. True story!

Et bien sûr l'enregistrement de « When The Sun Goes Down » au Thirty Mill Studio à Melbourne, en compagnie de Mark Opitz et Colin Wynne, où nous avons enregistré et vécu dans le studio pendant plus de trois semaines et avons partagé tous les sept des moments inoubliables.


Avez-vous senti que vous avez gravi un échelon supérieur en tant que groupe pendant ce séjour australien?
Bien entendu! Aussi bien la première fois quand nous y avons vécu pendant dix mois, que la deuxième fois quand nous y sommes retournés pour enregistrer et faire une tournée.
Durant le premier voyage nous avons effectué plus d'une soixantaine de concerts sur une grande partie de la côte Est, autant dire que ça nous a forgé à la scène! Et puis c'était aussi la première fois que nous nous retrouvions tous loin de nos familles, de nos amis, nous étions juste tous les cinq, avec notre rêve commun comme seul horizon.
Quant au studio, l'alchimie musicale que nous avons vécue pendant toute la durée de l'enregistrement est probablement une des plus grandes expériences de notre vie de musiciens.
Ces deux expériences bien distinctes ont été des moteurs exceptionnels aussi bien dans notre vie musicale que personnelle.


Vous avez trouvé là-bas un manager, un label et des producteurs de renom. Tu penses que cela aurait été impossible en France?
Rien n'est impossible. Disons que la tâche aurait été nettement plus ardue en France. Ici le Rock ne fait clairement pas partie de la culture musicale. Ici un petit groupe de Rock peut très difficilement s'offrir le luxe de bosser avec quelqu'un de la stature de Mark Opitz. Ici très peu de managers de renom vous diraient « j'vous signe » après vous avoir vu en concert devant quatre personnes, incluant lui-même. Ces gens-là ont cru en nous sans avoir aucune garantie en retour, leur soutien nous est indispensable. Je pense simplement que l'intérêt des personnes de même envergure en France n'est pas du tout orienté vers le Rock, en anglais qui plus est.


Comment s’est passée l’expérience en studio, avec ces deux producteurs qui ont bossé avec des grands noms du Rock (AC/DC, The Angels, Kiss)?
C'était tout simplement irréel. C'était notre première expérience aussi longue en studio « pro », et nous étions véritablement honorés que Mark ait bien voulu produire cet album. Colin et lui ont fait un travail formidable aussi bien sur l'arrangement des morceaux que sur le son de l'album, ils nous ont poussé à donner le meilleur de nous-mêmes tout en nous apportant beaucoup de confiance en nous. Cette expérience a été pour nous un immense pas en avant musical en tant que groupe.


Pourquoi y-a-t-il eu autant de temps entre l’enregistrement de l’album et sa sortie?
Tous les projets que nous avons menés sont 100% autofinancés, depuis le premier voyage en Australie, jusqu'à la sortie de l'album, il nous a donc fallu du temps pour réunir l'argent nécessaire au pressage et à la campagne promotionnelle. Nous avons aussi mis beaucoup de temps à trouver un distributeur en France, mais nous sommes très heureux d'avoir finalement été signés chez Dooweet Records.


« When The Sun Goes Down » va-t-il bénéficier d’une sortie dans d’autres pays que la France?
L'album sera disponible au niveau international ainsi que sur toutes les plateformes de téléchargement légal le 10 Juillet.
Il est disponible en France chez Dooweet Records depuis le 28 Mai.


Allez-vous enchainer avec des dates à l’étranger pour promouvoir l’album?
Nous sommes actuellement en train d'organiser une tournée qui devrait couvrir plusieurs pays d'Europe grâce à Red Lion Music et d'autres partenaires européens. Les dates ne sont pas fixées pour l'instant mais cette tournée devrait avoir lieu fin 2013.


D’ailleurs est-il plus « facile » de monter une tournée à l’étranger qu’en France?
Pas spécialement, en France ou ailleurs il faut juste avoir les contacts, le réseau. Et ça prend du temps. Il nous a été beaucoup plus facile d'obtenir ce réseau en Australie grâce à notre manager, mais grâce à nos récents partenariats nous bénéficions maintenant de la même couverture en Europe.


Par rapport au style musical d‘Harmonic Generator, vos premiers EPs transpiraient d'influences Hard US (Aerosmith, Van Halen, Extreme). C’est un petit peu moins le cas sur ce premier album, qui est un peu plus varié, voire heavy par moments. C’est dû à quoi, vos influences ont-elles changé entretemps?
Changées non, évoluées certainement. Nous avons choisi de nous inspirer de groupes plus récents et pas seulement des légendes du Classic Rock. Nous avons opté pour des sonorités et une façon de composer plus modernes.


A ce propos, quels sont les groupes (anciens ou récents) dont vous vous sentez le plus proche, qui sont pour vous des modèles?
Choix difficile!
Je dirais les Foo Fighters, Velvet Revolver, Aerosmith, Stone Temple Pilots et bien sûr The Datsuns, mais il y en a tellement d'autres!


Pourquoi un album aussi court (9 titres / 35 minutes)?
Nous sommes arrivés en studio avec très peu de titres, onze exactement, et nous avons choisi d'en supprimer deux car nous les jugions trop faibles. Qui plus est, trois semaines pour enregistrer un album, arrangements et mixage compris, c'est peu de temps, très peu. Nous avons donc privilégié la qualité à la quantité.


Avez-vous déjà commencé à composer pour votre deuxième album?
Absolument! Déjà plus d'une dizaine de nouvelles compos au compteur et on ne va pas s'arrêter là!
Mark Opitz en sera encore une fois le producteur et il devrait être enregistré au printemps 2014.
Si vous voulez un aperçu, venez nous voir en concert!


Que peut-on vous souhaiter pour l’avenir, et avez-vous un dernier mot à dire?
Pour l'avenir, toujours plus de concerts, toujours plus de magnifiques expériences, et toujours plus de rencontres.
Pour le mot de la fin, bien évidemment, KEEP ON ROCKIN'!


[Photos de Manon Bacquiat]


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