Sans être fan absolu du groupe, je les suis quand même depuis Steelbath Suicide, qui m'avait bien mis par terre à l'époque, étant très friand du son de Gotheborg...
J'avais un peu lâché après l'excellentissime Natural Born Chaos, jusqu'à Living Infinite qui m'a réconcilié pleinement avec le groupe.
Celui ci arrive très vite après un double album déjà pas facile à digérer, d'où une impression de déjàvu assez importante. Je trouve néanmoins que quelques passages nous ramènent à l'époque de Predator's Portrait et ça, je kiffe!
J'ai encore besoin d'écouter tout ça pour me prononcer mais Soilwork reste bien plus costaud que leur copain d'InFlames qui se sont vautrés dans la merdasse depuis quelques années...
Et sinon moi j'adore le jeu de Dirk!
Ecoute Meridian ! Je suis plus d'accord avec toi ! Merci de l'avoir aussi bien dit ! Juste pour dénoter un poil.... je dirais que l'inspiration est réellement présente mais que, et le format des morceaux, et la façon de le jouer est ultra ultra lessivé!! J'ai vraiment du mal avec le jeu de Dirk qui me fait de plus en plus vomir...technique oui mais pas forcément digeste !
C'est l'heure du mercato !
Album fabuleux!!! En tant que fan des bonhommes comment j'ai pu passer à côté de ce groupe jusqu'à présent?? Bon je me mets à Sun Of All Suns maintenant...
Le Soilwork de 2013 nous a pondu un double album, privilégiant la quantité à la qualité (et le miel d’acacia aux épices) – voir mon commentaire sous la chro. « The Ride Majestic » présente une fois de plus un bel artwork, avec d’ailleurs un beau titre d’album. Mais quelle recette pour ce successeur ?
Le disque démarre en douceur sur quelques notes de guitare très agréables, avant d'exploser sur un riff monstrueux et une arrivée fracassante de Speed. Un bien bel amuse-gueule qui m'ouvre l'appétit : on tient le « Late For The Kill (...) » et le « Spectrum (...) » de 2015. De toute façon, sur un album de métal, il faut un solide titre d’ouverture sinon c’est râpé. En l’occurrence il bien concocté et les saveurs explosent, bien que je grince des dents sur le refrain (dont l’absence aurait profité au morceau). Et m**** voilà ! Avant d’atteindre la moitié de l'album, le soufflé retombe. En fait je le sentais. La production manque un poil de relief, avec une impression désagréable de coton sur les instrus (mais pas autant que dans le « Discordia » de Misery Index, pour illustrer la sensation).
J’arrive péniblement aux derniers titres et j’hésite à balancer le dernier Enabler pour finir le trajet jusqu’au bureau. Après cette première écoute j’ai trouvé l’ensemble correct mais sans plus. C’est bête mais je m’en veux presque de penser que cet album est insipide et qu’une poignée de riffs seulement sortent du lot. Je culpabilise de dire que Soilwork n'a plus d’inspiration, qu’on prend les mêmes et qu’on recommence. Les couplets sont des plats réchauffés, les mélodies (préparées à la va-vite) ne font plus mouche. Les refrains tombent comme des cheveux sur la soupe et frôlent parfois le ridicule (ce que Ju doit penser sans oser le dire aussi brutalement). Et puis cette batterie ! J’ai toujours aimé Dirk et salué son talent depuis Scarve, mais force est de constater qu’il peine à renouveler son jeu. Henry Ranta se répétait moins, il était créatif et groovy et relevait le niveau des compositions ; ses breaks étaient magistraux. Depuis deux albums j’ai beaucoup de mal à supporter le marteau-pilon qui compresse inlassablement les cordes de David et Sylvain et qui contraste, parfois de manière déroutante, avec les envolées pop auxquelles le groupe s’essaie depuis « The Living Infinite ».
En bref je reste sur ma faim depuis l’excellent « The Panic broadcast ».
Aux fans du groupe, vous en avez pensé quoi en tout honnêteté ?
(pas de note avant 4 ou 5 écoutes si j’y arrive : je reviens régulièrement sur le titre d’ouverture mais n’ose plus m’aventurer sur le reste)
J'aime le dernier Paradise Lost aussi. J'avais acheté l'album et je voulais faire la chronique. Mais une chose en entrainant une autre j'ai certainement laissé passé trop de temps (ou pas ?)
Désolé d'insister mais il n'y a pas de fan de Paradise Lost à VS ?
Je ne vois pas de chronique pour Tragic Idol (2012) et le petit dernier a déjà 3 mois.
Bizarre mais possible.
death_to_false_metal : Une grosse partie de ta liste est, ou va être sur le point d'être, chroniqué.
Pour le reste, désolé, mais certain gros labels (qui possède les groupes que tu cites dans ta liste) n'envoient plus de promos physique, donc, a moins qu'un des rédacteur n'achète le CD, il n'y a pas de chronique. C'est dommage, mais c'est comme ça aujourd'hui...
Pas facile à apprivoiser, "Thier" mêle le meilleur du passé et du présent, la force et l'emphase de la scène suédoise des ànnées 90 et les derniers travaux d'Abigor ou de Blut aus Nord. Etrange au premier abord, la bête distille son venin aprěs de multiples écoutes. Il est déjâ trop tard lorsque l'on se rend compte que l'on est pris au piège.
Paradise Lost n'est plus chroniqué depuis 2009, cherchez l'erreur ...
Donc chroniques en attentes pour musiciens sans mèches :
Slayer
Maiden
Soilwork
Nile
Cattle Decapitation
Symphony x ( je crois que le site ne suis pas vraiment ce groupe mais bon, c'est le deuxième plus gros groupe de métal prog derrière Dream T)
Cradle of Filth (album du comeback salué un peu partout)
Kataklysm
Hate Eternal
The Sword
Parmi les deux plus gros groupes affiliés metal aux us qui remplissent des Bercy:
Five Finger Death Punch
Disturbed
Pas mon truc, donc je me garderai de commenter la kro, ainsi que leur musique...Par contre, l'artwork donne vraiment envie de débourser 15 € pour un bel objet plutôt que de le télécharger. Cover de l'année!
Le précédent avait des qualités indéniables, la... c'est sur c'est bien arrangé, y a du son après ça sent la truite d'eau douce abandonnée sur le terre-plein!
Maide, Slayer et Soilwork sortent des albums tout frais et on se tape la chronique d'un BMTH à chier dont personne n'a rien à foutre.
Késséssé ce bordel?...
Merci les gars pour vos suggestions ;-)
Alors j'ai donc écouté The Great Misdirect et Colors, ce dernier m'ayant plus accroché. C'est parfois trop –core et un brin geignard pour mes goûts, mais qu'est-ce que ça joue bien !
Pour ceux qui l'ont écouté, vous le situez comment par rapport à The Great Misdirect? Depuis celui-ci (et, j'oserais dire, à part celui-ci) je n'accroche pas vraiment aux travaux du groupe.
Album excellent pour ma part, bien evil, il faut juste rentrer dedans et passer 10 écoutes pour pleinement l'apprecier! Il ne fait pas pale figure avec ISTOI !
@ gloom: Pas mieux. Acheté le "In The Streams of Inferno" après un de leurs concerts en 1996 dans un élan de fougue adolescente et je le regrette encore 18 ans après. Groupe inutile qui n'a pour moi et j'en suis désolé rien inventé.