Bof. Quelques bons titres mais je déteste la production. Quant au chant, on dirait que David VINCENT n'arrive pas à faire caca. Ce qui est un peu gênant...
Dès que j'ai vu le cd vert flashy, je suis devenu vert, dégouté quoi, j'ai failli vomir de joie. Nan ces couleurs m'ont vraiment mis l'eau à la bouche et effectivement le contenu m'a rassasié.
Franchement faudrait arreter de chier toujours et encore sur la période Tucker, FFF et Gateways sont des albums d'une grosse efficacité et sont parfaitement logique dans la discographie du groupe. Et coté lourdeur le plus massif reste GTA et non Domination.
Sinon album culte c'est certain, MA à son apogée.
Bien qu'il suscite la controverse (j'ai également lu qu'il s'agirait en fait d'un "live" enregistré en studio), ce mini-Lp est excellent et se doit être connu de tous les fans de Slayer.
Un des premiers albums du groupes que j'ai découvert (juste après "Altars de Madness", le hasard des achats d'occase) et le premier auquel j'ai vraiment accroché. J'ai de suite remarqué l'atmosphère particulière que possède cet album, rien que la pochette met de suite dans l'ambiance. Bref 10 ans après sa découverte, j'écoute toujours "Domination" avec autant de plaisir.
L'album qui montrait une nouvelle facette du groupe. Après la puissance des débuts, la mélodie et le côté plannant et envouté des titres permettait à la bande à Chino d'exploser aux yeux du monde (il suffit de se rappeler le Change, monumental à NPA)
Rien à faire, j'ai essayé de le réecouter après avoir relu la chronique (ca faisait un bail que je ne me l'étais pas remis) mais je n'accroche toujours pas ... comme toute la période Tucker, où sont passés cette brutalité et ce côté direct qui a fait la gloire du groupe ?
Au lieu de cela on a droit a des longs morceaux où l'on perd le fil tellement c'est alambiqué, Getaways relèvera un peu le niveau cependant.
Pour moi Domination est le dernier grand album du groupe sans contestation
J'ai toujours préféré largement la période David Vincent (A, B, C et D, I est vraiment à part) à la période Steve Tucker bien que G est toujours plus ou moins bien passé chez moi mais ce F restait bien en dessous pour ma part, surement la prod qui ne rend pas vraiment grâce à ses compos assez complexes. Mais je me le suis remis ce matin et le charme a, enfin serais-je tenté de dire, opéré. Du coup je vais essayer de me le repasser un peu plus souvent parce que je crois que je suis toujours passé à côté.
Pour les fans de thrash & death metal brésilien, je recommande le label Marquee records qui a quelques groupes intéressants en stock ( Dorsal Atlantica, Vulcano, Sarcofago etc...plein que je ne connais pas) et en plus un peu de punk et de hardcore ( Colera, Ratos De Porao)....et moi je ne me lasse pas de "Beelzebub" de MYSTIFIER( le morceau, pas le fondateur du groupe)
"C'est con de comparer car ce n'est pas comparable (...) mais ce n'est pas le même style que le reste"
C'est du Alice in Chains à 100%, la patte du groupe est bien là reconnaissable.
"c'est acoustique"
C'est eletro-acoustique, et c'est ce qui le distingue assez nettement de l'Unplugged.
"on ne peut pas dire que c'est le top car ce sont des EP, à l'écoute, c'est pas pareil, plus light en temps"
Si, je le dis. ^^
Ces EP ont une âme, une cohérence (à l'exception du ghost track sur SAP), et sont à considérer comme des enregistrements à part entière, au même titre que les albums. Pas de remplissage ni d'obligation contractuelle derrière ces EP, ils sont bien nés de la volonté du groupe.
L' histoire de la durée n'entre pas en ligne de compte (et quand bien même SAP + de 20mn, Jar of Flies + de 30mn), c'est la qualité qui prime, et à ce niveau on est servi.
"je trouve ça moins consistant qu'un album, même si c'est intense sur les titres présents."
Pour moi c'est le contraire. Jar of Flies tire sa force, sa consistance, du mariage de l'electrique et de l'acoustique, des acquis qu'on leur connaissait associés à des expérimentations qui fonctionnent toutes à la perfection en enrichissant leur univers.
"le Ghost Track, c'est sûr c'est pas commercial d'ajouter ça, mais c'est dommage, car ça détruit la cohérence de tout le double sur le coté acoustique"
Dans la mesure où je possède l'édition double-EP, il s'agit de couper avant le ghost track pour relancer SAP ou passer à autre chose, n'exagérons rien. :)
J'ai une histoire assez riche et particulière avec Dirt. Ma découverte du groupe s'est faite peu après sa sortie. Je l'ai fait acheter par mes parents (en Andorre). Je devais avoir 12 ans à tout péter et c'était le 1er truc "UG", ma 1ère initiative pour découvrir quelque chose d'inédit. Au départ je n'ai rien compris et relégué le cd dans un coin. Ce n'est que bien plus tard que j'ai eu la révélation et qu'il est devenu un album de chevet. Je l'écoutais en boucle, je faisais chier tout le monde avec, à essayer de convertir les réfractaires à ses vertus etc... Tout ça pour dire que je ne m'attendais pas à pouvoir m'en écoeurer ou à ce que le groupe fasse mieux. Je n'aurais sans doute pas ou peu d'échos, mais à mon sens le meilleur du groupe se trouve sur Jar of Flies.
J'ai toujours eu un peu de mal avec ce son que je trouve un peu brouillon et qui met pas assez en valeur les compos mais ça donne un côté true pas dégueu.
Pour moi la meilleur période du groupe commence avec « Vile » et se termine avec ce « Bloodthirst » , la trilogie qui tue en somme ! Après un « Gallery of suicide » plus riche et complexe, le groupe pris tout le monde à contre pied en proposant un album plus rapide et brutal tout en étant la suite logique de leur évolution.
Notons que la prod de Colin Richardson joue un rôle non négligeable dans l’impact qu’ont les morceaux (brillamment composés) au niveau de l’efficacité.
Par contre, le groupe c’est rendu compte que ce genre de prod trop propre ne leur convenait pas et ne ferons plus appel à lui.
N'empêche, un Canniboul produit par Richardson ça le fait !