@grozeil : j'en étais là aussi ... 3 titres de black qui figurent parmi les meilleurs de l'époque ... et après cet album ! Rhaa déception !
J'ai d'ailleurs toujours le 3 titres mais l'album est parti depuis bien longtemps !
Et ce 1er Golden Dawn ... c'était toute une époque quand même :)
"rha les salauds c'est du heavy, je voulais du black... ", ahaha, tu en étais là aussi???!! :D
Super disque, Jorn Lande fait des merveilles dessus. Incroyable que ce groupe n'ait pas fonctionné, y'avait un sacré potentiel.
Découvert sur l'excellente compile Monsters Of Death- Rock Hard de 1992, aussitôt adopté ce groupe. Leurs deux disques, réunis sur un double, sont dispos à petit prix sur le net.
Groupe culte, pour un album culte.
"Cet album vient d'être réédité par Roadrunner avec le CD "Older Budweiser" pour la série "Two from the Vault"."....j'aurai plutôt dis a été reédité, car c'est sortit en 2003 me semble t'il !!!
Assez surpris du manque de retours sur cette kro... C'est DREAM THEATER quand même...
Je ne connaissais le groupe que de réputation à l'époque et ce qui m'a conduit à prendre cet EP (qui n'en est pas un vu sa durée)... c'est son petit prix.
Le morceau-titre est fantastique et justifie à lui seul son achat. Je conseille fortement d'aller jeter un oeil sur youtube (ça doit se trouver) à son hallucinante version live issue du DVD Metropolis 2000: Scenes from New York.
Concernant les reprises, rien d'ultime, mais DT nous donne une bonne occasion de parfaire notre culture musicale. J'ai ainsi pu découvrir des titres de Kansas, Journey et Dixie Dregs. Tout bénef. Après comme dit plus haut la présence de guests aurait donné du relief et renforcé l'intérêt de l'EP.
=> "aucun de leurs albums pris à part n'est représentatif de leur musique..."
Avant la sortie de JCS, ma vision de Laibach se résumait à l'austérité de Nova Akropola... Le vécu, le contexte toussa... J'estime que JCS reste un album en marge, le plus éloigné des fondamentaux de Laibach.
=> "je le trouve basique, linéaire et sans intérêt pour peu qu'on ait un bagage conséquent en Metal-Indus."
Avoir assisté à l'ascension des groupes US (Ministry, NIN) au début des 90s et au développement de la scène européenne (Samael en tête) ne m'empêche pas de continuer d'apprécier JCS de Laibach encore aujourd'hui. Ça doit être une question de goût plus que de bagage je pense.
"Si Jesus Christ Superstars n'est pas un album représentatif de la musique de Laibach (...)"
en même temps, aucun de leurs albums pris à part n'est représentatif de leur musique... ^^
j'aime pas cet album. je le trouve basique, linéaire et sans intérêt pour peu qu'on ait un bagage conséquent en Metal-Indus. bon après je suis loin de l'avoir découvert à sa sortie mais voilà... le seul album que je retiens de Laibach, c'est WAT, qui est fantastique. après, même si certains albums sont bons dans leur globalité (l'éponyme, NATO), je retiens surtout quelques titres épars sur Let It Be, Volk ("Anglia"), la BO d'Iron Sky...
C’est marrant, je me souviens du titre « On Darkness wings » présent sur un sampler Metallian à l’époque. Il cassait la baraque mais j’ai préféré investir dans les albums studio et quelle fut ma déception en découvrant le même morceau dans sa version studio ! Du coup ça donne envie de le découvrir, vaut mieux tard que jamais …
c'est vrai que paradoxalement le metalleu (enfin celui des origines lol) est une reference direct a jesus par son look et sa passion pour parler de religion chretienne(en bien ou en mal).
En ce qui concerne laibach le clip god is god m'avait paru ridicule et debile mais bon ce genre de musique n'est pas trop ma tasse thé il faut dire.
ce live fut pour moi la découverte du black metal avec "anthems to the welkin at dusk" d'Emperor sorti la même année. un an plus tard je voyais Marduk à Rennes pour l'un des pogos les plus violents auxquels j'ai participé!
Ca ne me rajeunit pas par contre
Bonne chronique, je préfère ce live à "Infernal Eternal", peut-être est-ce du à la setlist (bien que j'aime beaucoup "Panzer Division Marduk"), en tout cas le groupe joue bien et restitue comme il faut ce qu'ils ont enregistré en studio.
Concernant le morceau titre, c'est du grand art et il justifie à lui seul l'achat de l'EP. D'ailleurs, de nombreux artistes se seraient contentés d'un morceau de 23 minutes pour un EP.
Pour les reprises, c'est du remplissage agréable. C'est toujours distrayant d'entendre des reprises. Mais le tout aurait été encore meilleur avec les invités (Dream Theater feat. Barney Greenway, c'est quand même culte).
Très bon album en effet, sûrement le plus immédiat et efficace de la discographie de Vader. Petit bémol, le disque est quand même assez court et tout se ressemble un peu mais bon ça fout la patate du metal rapide et rentre-dedans comme celui-ci!
Ainsi que Monolithe (album II) et Tridus Elasticus (avec Arno Strobl)... D'ailleurs si j'en crois Metal-Archives, Kristofer Lorent aurait joué dans un groupe de grind amienois nommé Infected Society entre 2010 et 2012.
Fan de Napalm avec Scum et FETO, j'avais complètement détesté ce disque à sa sortie. Je faisais partie de ceux qui ont craché sur le disque parce que ça n'avait plus rien à voir avec ce qui précédait... Aujourd'hui, c'est un de mes disques préférés du groupe, comme quoi :)
Leur album le plus death. J'avais pas trop accroché à l'époque car je préférais leur style grind comme utopia banished qui m'a mis une grosse mandale dans mon adolescence.
Je finis de le réécouter à l'instant, la première fois depuis... 2 ou 3 ans ?
Il m'avait lassé mais finalement il présente des qualités indéniables, le côté sympho n'est pas "too much" contrairement à la suite de la discographie, en même temps, certains morceaux envoient sévèrement. Assez thrash par moment.
La noirceur est bien présente, , une certaine naïveté aussi...
Comme nocturnus, j'ai pas du tout accroché à slumber après avoir été littéralement happé par clouds et wildhoney, qui reste pour moi aussi sûrement un des dix meilleurs albums de tous les temps, malgré en effet un côté un peu décousu... Mais c'est à l'image des artworks, parfois amenés de façon un peu artificielle, mais qui font partie intégrante de l'album, avec une monstrueuse démonstration de monochromie qui colle si bien avec la musique.