C'est quand gonflé de critiquer l'utilisation du chant clair dans ce groupe parce que c'est la même chose depuis le début du groupe, donc à la limite c'est que vous n'aimez Fear Factory et que vous critiquez pour critiquer... Perso je le trouve bon mais assez inégal avec certaines compos très au-dessus comme Soul Hacker qui est super accrocheuse et d'autres plus moyennes avec des riffs repris d'anciens albums. Mais mine de rien le groupe revient dans l'actu et ils rempliront les salles, ne vous inquiétez pas.
Je suis sidéré par les commentaires...
Je connais de A à Z la discographie de FF.
PERSONNE n'a remarqué la repompe de certaines compos de Mechanize ? Vous êtes sourds ou quoi ?
Et le chant clair ultra cliché depuis des albums de Burton, on en est saturé. Le même schéma systématique.
Super nouveau batteur (Gene Hoglan n'a fait que le minimum syndical sur les deux précédents : machine ultra carré qui suit Cazares - Réecoutez Symbolic de Death pour redécouvrir son véritable potentiel - il n'y a pas que la double pédale dans la vie, sauf chez FF), c'est ce qui sauve cet album.
Inspiration très médiocre, structures ultra connues...
Je n'arrive pas à croire que vous ayez mis 15,5 à cet album.
Quand on voit les chroniques de Dagoba ultra sévères, ou un Sybreed infiniment supérieur niveau originalité et composition...
Allez 12/20, GRAND MAX...
Du même avis que Maxgrind concernant cet album: Manque de profondeur et d'intensité. C'est joli mais sans plus. Le morceau-titre du EP "Written in My Scars" m'avait pourtant fait espérer beaucoup mais... Non.
Je ne pense pas que le CD va beaucoup tourner chez moi malheureusement.
Au moins, ils ont progressé sur la qualité de l'anglais, parce que les paroles des albums précédents, à ce niveau, c'était une calamité :-/
Vu en live y a pas longtemps, gros son, 3 guitares et une BAR très variée tantôt beat électro, indus claquant ou déferlement metal extreme. C'était pas mal du tout. Par contre depuis quand Zatokrev est une référence ?
En lisant le début de la chro je me demandais à quel moment j'allais lire le mot "coldwave". Même si c'est clairement très sludge/indus, le tout (pas que Fossils) est saupoudré de petites touches bien léchées qui donnent une ambiance froide hyper travaillée. Je découvre le groupe avec cet album : je trouve qu'il va chasser sur ses propres terres et qu'il a une personnalité déjà bien affirmée. Tous les morceaux sont intéressants, on ne s'ennuie jamais. Bonne chro, bonne découverte, bonne sélection !
Soulfly se plait à travailler le contraste entre une thématique travaillée et une musique brute de décoffrage. Et ce dès le morceau d'ouverture, "We Sold Our Souls to Metal", qui claque comme un coup de trique, tout en simplicité, mais qui accroche tout de même. Max répète l'exercice avec "Deceiver", plutôt bien fichue avec un solo particulièrement inspiré de Marc Rizzo. Le reste de l'album est assez varié et intéressant pour tenir l'auditeur en haleine, avec des choeurs grandiloquents sur "Titans", une ambiance inquiétante sur le mid-tempo "Behlehems Blood" et met un peu de groove dans la brutalité pachydermique d'"Ishtar Rising".
De plus, Soulfly gagne en puissance sonore et en interprétation. Après un Enslaved brouillon, le groupe s'est ressaisi pour donner un disque avec une meilleure puissance sonore et des mélodies plus soignées. Les compos semblent plus cohérentes et Marc Rizzo, sous-employé sur les deux derniers albums, offre des interventions plus intéressantes.
Sans revenir au niveau d'un Prophecy ou d'un Dark Ages, Soulfly a eu le mérite de se ressaisir et d'offrir un album concis et fort plaisant à écouter. S'il reste un peu de gras, notamment sur "Sodomites", Max Cavalera semble avoir retrouvé le chemin de l'inspiration et montre un peu plus d'envie, même dans son chant. De quoi se rassurer pour le futur du groupe.
Merci de l'avoir chroniqué et de l'avoir fait aussi bien, une des rares chroniques en français, un grand cru de 2015 , un grand album tout court :) ,leurs artworks reflètent très bien le feeling de l'écoute ,excellent groupe qui reste bizarrement toujours dans l'ombre, mystère.
Un album différent de Psychurgy, dans le sens où il se montre globalement plus lourd et sans doute plus ambiancé, et ce même si des fois les blast sont de la partie. Mais globalement, quel album! Riche, entêtant, puissant et jamais lassant, même s'il lui arrive souvent de prendre son temps. Une très belle baffe et une sélection méritée pour un groupe qui gagne à être connu. Puis ce featuring avec Khvost quoi.
Par contre, est-ce que quelqu'un saurait d'où provient le sample utilisé sur "The words you speak are not our own"? Ça commence à faire un paquet d'album sur lesquels je l'entends.
Après un "Illusion's Play" qui jouait l'illusion d'être un bon album de funeral doom, Shape of Despair joue sur les terrains de la monotonie avec "Monotony Fields"...
Suite à cette chronique (va savoir) je viens de réaliser que c'est le Kvhost de GRAVE PLEASURES qui chantait sur l'album 'Posthuman' de VOID! Ça ne parlera qu'à 3 personnes sûrement mais je ne suis pas mécontent de l'apprendre.
Sinon, j'avoue ne pas encore avoir réussi à dompter ce 'Natron' dont les ingrédients et références auraient dû me convertir d'emblée. Je vais le retenter d'ici quelques temps histoire d'être sûr.
Moi perso je le trouve moins bon que les précédents, Mummy Dust ne m'emballe pas du tout, et je rejoins l'avis de lolo.
Autant Opus Eponymus et Infestissumam sont des albums que j'écoute encore aujourd'hui régulièrement celui ci est déjà rangé.
Je ne les ai jamais vu en live jusqu'a présent j'ai quand même hâte d'être au 05/12 pour leur show à Utrecht.
Shape Of Despair, je me rappelle de ma première écoute d'Angels Of Distress. Subjugué dès les premières secondes par ce growl profond/percutant tel le grondement du tonnerre et s'ensuit ce chant féminin, tel un cri de sirène hypnotisant, invitant à plonger dans les abîmes/abysses.
De suite, j'ai été conquis, touché par le désespoir, la grâce et les émotions dégagées de cet album.
Que dire de ce Monotony Fields après un Illusion's Play un peu illusoire?
Je serai peu disert mais pour le moment, c'est une déception. L'album porte malheureusement bien son nom et comme critiques à formuler, je trouve l'ensemble trop lumineux, manquant de profondeur et d'intensité.
Pourtant, je nourrissais un réel espoir d'être à nouveau subjugué par Shape Of Despair mais non, l'attente fut vaine.
J'aime pas trop ce groupe, j'ai beau écouter à chaque fois, je vois pas le "délire". Tant pis pour moi. Vous devez tous aussi aimer le groupe Year Of The Goat, non?
J'aime beaucoup! Technique sans en foutre partout (mais attention ça reste du très haut niveau) et assez varié. ça reste quand même dur de se l'envoyer d'une traite mais j'y reviens régulièrement.
@Ju: tellement catastrophique en live que ça devient de la publicité mensongère!
Sur album, dans le clip, on a la belle version studio, la voix reposée, sans doute bien travaillée par l'ingé son. Des beuglements comme à la belle époque.
Et putain en live!!! un râle dégueulasse, monotone, tout pourri et faux!
bref, faut se retaper mon gars!