Cet album me fait un bien fou. Du putain de old school death metal suédois avec des relents de Bolt Thrower. Grosse voix massif et rentre dedans. Jouissif.
Il y a le dernier hail of Bullets dans le même style qui m'avait bien plu, mais une préférence pour Facebreaker.
j'avais adoré le Cult Of Disease, j'attends celui là de pied ferme. Doomentia doit sortir le cd ce mois-ci (je suis un false, je n'ai pas de platine vinyle).
ouai Altum est un bon album de dark/gothic finlandais. sufferion était un concept album plutôt chiant malgré quelques titres efficaces. Je suis pas trop enthousiasmé par la chro!
Groupe qui s'est enfermé dans les clichés du genre et qui a perdu toute inspiration.
A ceux qui ne connaissent pas et qui apprécient le gothic métal (c'est réducteur comme étiquette...) teinté d'une bonne dose de mélancolie, je conseille vivement les 2 premiers albums : "Infinita Plango Vulnera" et "Altum". L'EP 4 titres qui a suivi était bon aussi.
Ensuite, ça s'est gâté sérieusement sur "Sufferion" avec le meilleur cotoyant le pire.
Et "Seducia" est carrément mauvais.
Je vais jeter une oreille à celui-là...
Totalement.
Et par dessus de tout même pas en IDF ce que veux dire pas de PTZ+ ni de 1% logement avec de tels performances énergétiques - prend ça dans ta face, primo accédant !
Acheté ce matin chez Souffle Continu...et il tourne déjà en boucle chez moi ! C'est du black de très bonne manufacture qui me rappelle les vieux Emperor, Dissection et compagnie...bref un régal !
Kro très bien foutu en effet.
Mais c'est quand même dommage d'avoir mis plus de temps pour l'écrire que pour avoir écouter l'album!
Car cela vaut au bas mot un bon 14/15 pour le style.
La myxine aurais sans doute "mieux compris" l'album je pense, dommage qu'il soit partie!
Sérieux les mecs vous avez rien capter ce qu'ils pensent réellement est soulignés (et les majuscules en Gras aussi), le reste c'est de la déconne...
BigBen X et yanndu62 et AnusFraicheur et human vous êtes vraiment des grosses tanches....
C clair pour le decalage,pas compris...
Ceci dit kro très sympathique.
Personnellement j'adore ce groupe et aurait mis un bon 17, mais chacun ces gouts,j'ai envie de dire!!
Un des albums que j'ai écouté le plus en 2010, hate de voir la suite des événements.
Le CD acheté après le récent live dans Le Klub - la BM-salle parisienne par excellence. Un très bon point pour un groupe qui me fait piller le distributeur de billets deuxième fois dans la soirée après la prestation-découverte (pour ma part).
Tu es radin à la notation, mon Prince, en reprochant le manque de folie alors qu’il n’y a rien à rajouter rien à enlever - tellement le tout est harmonieux et bien pensé !
On dirait un vieux manoir abandonné sur le haut da la colline cet album, petit et tellement vétuste qu’on hésite à y renter par peur que ça s’écroule sous un coup de vent un peu fort. Mais on va quand même voir le bien par le soucis d’objectivité. Par très rassurant ces escaliers qui mènent à la porte principale amochée mais bien massive. Les marches grincent sous les pas mais ne cèdent pas.
Finalement la bâtisse n’est en si mauvaise état. Il y a bien sur des travaux à prévoir – faudrait demander plusieurs devis parce qu’avec toutes ces arnaques dont on entend parler. Une collègue de bureau a de bons contacts pour faire en noir me semble-t-il. Le ravalement s’impose – on comprend même plus de quelle coureur ça était à l’origine, l’électricité est sans doute à refaire s’il y en a une déjà car vu l’âge de la chose on n’est même pas sûr qu’il y a des canalisations, ou bien avec la salle de bain dans la cave. Si si je t’assure – on en a vu comme ça ! je te jure… L’entrée un peu sombre. Tiens ils n’ont pas dit à l’agence que la maison n’est plus habitée ? Une porte qui mène…
Tel était le cours de mes pensés tout en routine quotidienne quand j’ai abordé « Facing the Abyss ».
« A Step into the Void » nous envoie la brume épaisse du fumé et le brouhaha des conversations en plein gueule. Une cheminé surdimensionnée et entourée d’immenses fauteuils avec des personnages invisibles. Mais il fait combien de mètres carrés déjà ce séjour ? Comment ils ont réussit à renter tout cela ?! Abasourdis d’entrée du jeu on change la pièce en essayent de rationnaliser encore tout ce qu’on vient de voir et d’entendre. Mais cela ne dure pas car on se retrouve dans une bibliothèque au plafond-cathédrale avec des milliers d’anciens grimoires couverts de poussière entreposés sur les niveaux en spirale. Pas de temps de se poser des questions – on ne touche pas les livres et pourtant on a l’impression que des tonnes et des tonnes d’information rentrent dans la tête : les bouts d’histoires, les personnages, les exclamations, les rires et les pleures… jusqu’à la saturation totale. Mais encore il faut trouver la porte de sortie de ce « At the Threshold » … La logique n’a plus aucun sens car la pièce suivant est une immense salle de bal qui s’étend à l’infini avec les milliers des bougies sous les plafonds à quelques dizaines de mètres du sol. « The Worm » avec ses rythmes valsés nous embarques dans un tourbillon effréné du bal masqué, les bouts de tissus caressent le visage de temps en temps et on imagine des créatures en plumes et en soie entrainés dans les pas de dance par les cavaliers moustachus en uniforme. Oui - moustachus, j’insiste ! Et puis de toute façon on entre dans la salle à manger avec de longues tables à perte de vue. Les festivités bâtent leur plein et le vin coule à flot. Toujours sans voir grand monde on a pourtant du mal à se faire le chemin dans ce bordel humain (ou pas) qui est « Unconscious Evocation of a Neverending Search ».
On tourne le poignet et c’est la galerie de portraits qui se dévoile derrière la porte suivant. Enfin on les voit tous ces personnages qui nous ont hantés tout au long de la visite ! « The Sore of Creation » proposerait-il un escalier pour visiter l’étage ? Franchement je m’aventurerais pas – bien qu’entrainante, l’expérience épuise. On fera cela lors d’une contre-visite ?
La petite véranda en arrière de cette maison étrange est on regrette déjà de l’avoir quitté en descendant lentement sur les marches de « No Dreams ». Les pas ralentissent et l’envie de faire un demi-tour est forte…Et je le ferai plusieurs fois ce demi-tour.
Tu sais Prinçou, soit on aime soit on n’aime pas les meulières de caractères comme celle là. Pas la peine d’exiger les extravagances futuristes architecturales ou les technologies de pointe de l’énergie verte alors que la notion des normes de performance énergétiques est déjà un son vide. Elle est suffisamment déroutante et habitée comme elle est, cette vielle bâtisse, pour qu’on exige d’avantage.
Encore une fois, la preuve que le name-dropping ne fait pas la musique. Du grind vaguement death avec une production très propre où pas un poil ne dépasse (oubliez toute forme d'agression auditive) et donc on ne retient rien au final. Pas étonnant de voir le logo Relapse sur un tel produit.
exelente chronique pour un split qui tourne souvent dans mon lecteur, Yattaï déboite vraiment tout... pour ceux qui le savent pas, le split YATTAÏ / TREPAN'DEAD devrait sortir d'ici peu sur douchebag records et une tripotée d'autres labels, histoire d'en remettre une couche :)
M'en fous, God Dethroned sort un album, c'est acheté dans la foulée... Valeur sûre, on sait où on met les oreilles. Celui là ne déroge pas à la règle. C'est toujours moins chiant qu'un Behemoth (dernières fournées, j'aime les premiers) ou un Dimmu Burger !