Wouaw, si toutes les chroniques pouvaient être aussi roboratives...!
Bien que je n'ai jamais accroché à ce disque, commençant à aimer Type O à partir d'October Rust et préférant surtout la partie Carnivore dans la discographie de Steele, ce texte plein d'enthousiasme va me le faire ressortir et tenter à nouveau de le comprendre.
Ben, pour ma part, j'ai pas accroché à October Rust... Par contre Slow, Deep and Hard et Bloody Kisses, c'est autre chose :) Et puis, ces lesbiennes... :) :) :)
Bon, ben, un album de plus à réécouter...
Et puis, c'est vrai, quoi : très bonne chronique !
Idem, je garde une préférence pour October Rust effet "découverte" oblige mais Bloody Kisses n'en reste pas moins un chef d'oeuvre qui continu à me surprendre depuis des années.
De mon côté même si cet album est génial je lui préfère october rust sorti après. Sans doute mon côté tafiolle :) je n'aime pas le côté harcore du début avec des titres rapides.
Chouette chro effectivement. Si ce disque n'a pas eu un tel impact sur moi, ça reste quand même un de mes disques de hip-hop préférés (avec Temple of Boom de Cypress Hill).
Découvert quelques mois plus tôt avec le live, Visions of Europe, je poursuivais ma découverte de Strato avec ce nouvel album, histoire d'être prêt pour le concert d'Angra avec Strato en 1ere partie (à la laiterie de Strasbourg). Superbe album (en particulier le morceau titre et, comme le dit le chroniqueur, Anthems...). Et quel concert !
Comme 6trouille j'aimerais retrouver la sensation intense de première écoute d'AC/Dc ou Thin Lizzy, je me suis overdosé de cet album, ce qui n'arrivera jamais avec ceux de la période Bon Scott, et surtout Powerage.
le premier et celui-là, pour le reste... Par contre Steele était une vraie personnalité qui manque, un gros doigt au politiquement correct. Tu t'es dépassé sur cette kro forlorn.
J'ai toujours détesté Stratovarius du plus profond de mon être, mais j'ai aussi pas mal trainé mes guêtres dans la "scène NTS" et dû subir Strato en live plusieurs fois. Le groupe était pro, nickel, ça chantait, ça jouait, mais je ne sais pas, ça n'a jamais pris chez moi. Trop bateau (Tolkki, les rythmiques sur une pédale de Mi en doubles croches, ça va bien 2 minutes...), trop positif, trop niais... Et puis ces solos de synthés ho-rribles !!!! Le truc parfait pour illustrer la répulsion qu'ils m'inspirent c'est le titre Freedom sur Infinite. Ce motif de synthé, cette tonalité majeure d'un optimisme béat et niais... Quelle horreur !!! C'était la coqueluche de cette scène mais il y avait tellement plus intéressant dans le même style, je n'ai jamais compris cet engouement.
Mais en effet quelle époque sympathique. Ce fameux gig avec Rhapsody, où Sonata Arctica a littéralement laminé les deux autres groupes (si si, j'insiste, je n'y croyais pas et pourtant c'était ultime) ! Les fameuses compils NTS, le concert gratos au Club Dunois avec les deux groupes de Heavy qui avaient fait un split CD et dont le nom m'échappe, l'époque des Angra, les deux premiers Rhapsody, le premier Demons & Wizards (argh !!!), le premier Ark... J'étais déjà dans le Metal extrême depuis fort longtemps à l'époque et cette scène (et ses fans) m'apparaissait gentillette, trop sage, proprette et un peu cucul la praline, mais musicalement, il y avait de très bonnes choses, tout de même...
Album extraordinaire, je me souviens aussi qu'à l'époque au collège tous le monde écoutait cet album même ceux qui n'était pas dans le trip hard rock. Un classique!
Un album dont je me suis totalement dégoûté.
Mais que j'aimerais retrouver la sensation de la première écoute de Hell Bells ou Back in Black !!! Il y a un putain de supplément d'âme sur ce disque ! Dire qu'il a fallu que le groupe en perde une (d'âme) pour accoucher de ce chef d'oeuvre. :-(
Qu'un disque pareille séduise les mères de famille sans déplaire aux fans est au passage un sacré exploit. Sur le papier c'était pas joué d'avance.
Grand album, grand groupe, grande claque dans la gueule et dans les charts.
Chronique aussi qualitative que l'album, bien que celui que j'écoute le plus reste 'World coming down'.
Me suis toujours pas remis de la disparition du Géant Vert. J'en suis encore parfois à espérer qu'il s'agir d'une de ses mauvaises blagues!!
J'étais pas archi fan de cette scène là et pire, le nom Stratovarius ne m'évoquait rien de bon (sous Helloween...), et puis je les ai vu en concert (tournée avec Sonata Arctica et Rhapsody, du lourd !) un peu par accident (qu'est ce qu'on ne ferait pas pour une nana) et là, j'ai vu un des groupes les plus pros et carrés qui soit.
Retour à la maison et achat de "Destiny", album très solide et "Infinity" que j'ai quand même trouvé bien meilleur.
Des albums bien torchés, un tempo solide, une voix extra, un guitariste archi fiable... mais maintenant je les trouve rincés en tant que compositeurs. Je me suis totalement désintéressé d'eux, comme de toute la scène true-metal, mais l'écoute de temps en temps de leur best-of me rappelle combien ils assuraient velu !
@ Morbid Tankard : c'était pas au Dunois ? Me semble que le guitariste (celui qui pose dans la dame sur la pochetet) était tellement saoul qu'il est monté sur scène, a oublié de brancher sa gratte et s'est mis à jouer comme un damné, sauf que bien évidemment il n'y avait aucun son ... Un concert totalement nawak mais on a bien remué les cervicales
J'ai eu à peu près les mêmes sensations mais à la découverte de Prayers. Un pote l'avait dans son balladeur (cassette... toute une époque!) et me le fait écouter. Je lui demande: "c'est quoi ce truc?!!!" mi fasciné, mi effrayé par cette sensation de violence. Ensuite il me prête l'album et je le met dans le lecteur: intro "batman" (private joke...) de "Within the Walls of Babylon" suivi de l'énorme premier riff de gratte, et je me retrouve comme le Seb enflammé cloitré dans ma piaule à écouter l'album en boucle 10 fois de suite!
Je pense que c'est cet album plus qu'un autre qui a été responsable de mon lâchage définitif du néo-metal et de ma conversion au hxc.
Puisqu'on est au rayon anecdotes nostalgiques, une petite dernière: en 1999 après la tempête qui avait fait énormément de dégâts par chez moi, j'étais dans la voiture de mes parents le discman bien vissé sur les oreilles et on roulait sur les petites routes jonchées de branches et débris divers. Une vraie impression d'apocalypse avec la musique d'Arkangel en fond sonore!
Cela me fais plaisir de voir que je ne suis pas le seul à encore aimer ce premier opus de Night In Gales, découvert au hasard par un ami qui m'as chuchoté à l'oreille " Tu vas voir c'est un peu entre In Flames et Dark Tranquility".
Je l'écoute encore, quelques fois, lorsque le CD veut bien se lancer sans sauter à tout va !
Beaucoup de souvenirs en effet, même si je n'ai jamais été fan de Glam'. C'est vrai, il était venu bousculer les institutions du Glam' et du Hard de l'époque, alors que maintenant on voit justement G'n'R' comme l'incarnation de ce style et de l'âge de sa grande gloire.
Moi aussi j'aime bien "Hope You Die By Overdose" (beaucoup moins Is Your Enemy) mais malgré la qualité et la rage encore présente, "le son" d'Arkangel n'est plus le même et c'est du au départ de xNumax le guitariste de Dean Man Walking.
j'ai l'impression que c'est moi qui ai écrit cette chronique, tellement elle est représentative de ce que je pense de ce groupe, ou du moins de cette Album avec un grand A!! J'avais même inscrit "Arkangel" au tipp-ex sur mon sac à dos LOL!! C'est juste la révolution musicale de tous les temps, incontestablement! Et je suis bien fier d'avoir ce disque en original car introuvable maintenant!
"I light a candle on the tomb of the departed, sacrified, crucified, on the cross of ignorance"
Aucun equivalent à ce jour...
Avec son approche un peu plus facile de la facette Prog', une meilleure maîtrise de cette direction et un son limpide, cet album portait déjà quelques indices de l'évolution qui allait suivre. Mais c'est avant tout en lui-même une remarquable réussite, varié, ambitieux, facile à digérer et inusable à la fois, splendidement interprété...
J'ignorais que les frères Schenker avaient une frangine. Si j'en crois Metal Archives, Marco Paganini et elle ont reformé Viva en 2007.
A tester à l'occasion.
Il y a 20 ans je croisais régulièrement le nom de Jello Biafra et de son label Alternative Tentacles dans les colonnes du mag Hard Force. J'ai vite compris qu'il me faudrait tourner mon attention du côté des Dead Kennedys un de ces jours. Je mentirais en disant que c'est ma came, mais pour les fans de punk et qui désire parfaire sa culture musicale (générale?), Dead Kennedys et Jello Biafra en solo sont incontournables. Al Jourgensen, Mike Patton, les mecs de Napalm Death ou encore les Melvins (pour n'en citer que quelques uns) leur sont redevables, ça veut tout dire non?
Très bonne chronique pour un très bon disque. Même si je ne l'ai pas découvert à l'époque, "Dead Man Walking" a vraiment un truc en plus, c'est indéniable. Mais comme gothenburg, j'aime beaucoup "Hope You Die by Overdose" aussi.
Il a de la personnalité, l'inspiration n'est pas absente, ils ont le mérite d'essayer. Mais je suis toujours resté moyennement convaincu par l'aspect tribal qui est en effet bien mieux maîtrisé chez Sepultura. Certains samples sont remarquablement utilisés, néanmoins. Je trouve également que le son a plus vieilli que les albums antérieurs, mais visiblement la majorité trouve le contraire.
Je le réécoute avec plaisir, il me plaît clairement mieux que CERTAINS des albums de la reformation, mais ce doit être celui qui me botte le moins de la première période.
Un groupe que j'ai beaucoup adoré jadis, Mais mon album favoris reste Hope you die by overdose que je trouvais supérieur au premier. Le dernier en date est assez décevant par contre.