J'ai trouvé le niveau de compos bien en deça du précédant. Certes, le son est moins farfelu et plus accessible, mais il y avait un brin de folie du "F&F" que je n'ai pas retrouvé ici.
Tout à fait d'accord avec cette chronique, "Call To Arms" est un BON album de Saxon !
Petite précision sur la prod, elle est beaucoup moins chargée et typée heavy que les précédents opus. Du coup, ce disque n'est pas fatigant pour les oreilles, il sonne très frais. Bref, une BONNE production, pour un BON album !
bon sorti cette bouse quelques mois apres blood of the nations - le pere wolf peut nous preparer le prochain opus d'Accept tranquillement, c'est pas le sieur UDO qui vas lui faire de l'ombre
Haha excellente chronique ! Et moi qui me suis péparée à mourir d'ennui avec ce bout de texte dedié aux veterans.
Saxon ça me parle avec quelques titres écoutés par ci par là. je vais donc suivre la récommendation à l'attention des nouvelles recrues.
Un bon album, mais je ne suis pas aussi convaincu que Skay. Le métissage du black à la Secrets of the Moon avec des éléments plus efficaces, mais aussi plus incongrus (c'est quoi ces mosh parts?), me laisse par moments sceptique. Il y a quelques longueurs et pourtant une impression final que l'album n'est pas très dense. Mouais, en somme.
pas d'accord avec les idioties de Keyzer qui tend à faire obligatoirement rimer blasts avec extreme. Pour moi les deux derniers albums du groupe sont de loin les plus extremes et barrés.
Excellent album. Pour moi, Eric Rutan montre qu'il est capable d'amener de la diversité dans un style extrème.
Une comparaison avec Morbid Angel serait effectivement inopportune et une injure à Hate Eternal...
Sinon, l'artwork est splendide. C'est le format Digipak qui m'énerve. Ca s'abîme très vite (surtout avec un CD à glisser et non à "clipser") et ça ne sert à rien.
Album le plus dispensable du groupe en ce qui me concerne: son de grosses caisses trop en avant d'où ressort que les cymbales, et passer les 5 premiers titres c'est beaucoup moins efficace. :/
Très belle pièce. Après la fureur et les flammes sombres et étouffées, la luminèscence puissante et mélodique de la renaissance du phoenix. On dirait que mr rutan ,à travers son concept, établit un lien avec ce phoenix et l'âme de jared. d'un bout à l'autre il faut souligner le travail effectué sur cet album: rebith (l'intro): riff rampant imageant a merveille cette chose qui se réveille ou resucite ( voir l'artwork avec l'image du feu )the eternal ruler: suprématie de cette force divine recucitée etc..c'est un point de vue. De très belles compos mais également un ensemble très cohérent, à conseiller aux amateurs du genre ( bien qu'a mon avis y a peu de groupe qui proposent ce type d'atmosphère ). Merci HE.
Comme Seb On Fire, cet album est en passe de devenir mon préféré du combo; la musique me semble plus aérée que précédemment et je prend un pied monumental avec les solos.
"HATE ETERNAL ne sait pas à mon sens pondre un titre qui fait date, et que tout le monde retiendra."
Cette phrase ne veut rien dire en elle meme et peut s'appliquer à 90 des groupes.
HE joue du death pas du neo metal dmade in mtv MTV et que tu connais par coeur la zic et les paroles tellement c'est basique :O
Un KOAK, I monarch ou un Bringer of storm si ca c'est pas mémorable...
Au lieu de faire la comparaison avec le dernier MA (qui n'a rien a voir avec du brutal death comme ici) il faudrait plutot voir de grosse similitudes avec le dernier immolation, c'est assez flagrant je trouve.
Sino je préfére Fury & Flames, le groupe avait vraiment un style propre qui le détache des autres groupes pour son coté extreme de chez extreme, alors que la... on se souviendra plus de Illud
Peut-etre pas le meilleur pour moi non plus, ça n'empêche pas que j'ai quand même beaucoup apprécié. C'est vrai qu'au niveau sonore c'est pas l'idéal, à l'image du live (dans une moindre mesure pour le cd) il y a toujours un petit soucis de ce côté là. En tout cas non, ça ne blaste pas TROP :) Surtout pour du HE...
Perso je pense que c'est le meilleur album du groupe, je le trouve plus varié et versatile. Et "Phoenix..." est un titre incroyablement bon malgré la prod un peu moyenne.
ce groupe je n'y arrive pas: trop dense et bourrin, et la prod n'aide pas trop. Le son de batterie made in Rutan est vraiment désagréable, comme sur le dernier Cannibal (que j'aime bien pourtant)
J’ai bien vu la chronique passée en me disant bien que j'ai vu ce nom quelque part. Mais oui - dans un topic des concerts ! Sur une affiche de mélodeath ! Ah ben ok – une énième groupe de melodeath, probablement sans inspiration ou originalité aucunes, vu le peu d’enthousiasme de msieu BozKiller. Et j’ai failli presque me faire avoir sur ce coup là et passer mon chemin si je n’allais pas jeter un bout d’oreille par le hasard pur.
J’ai eu de la chance – j’ai écouté ce nouvel album avant d’avoir écouté le premier qui est encensé par Tonton (à juste titre !) dans les chroniques précédentes. Je peux comprendre la déception par rapport à celui là car le précédent est un vrai chef-d’œuvre de metal inventive et technique qui fait penser à Atheist par l’audace des enchainements.
Je peux le comprendre, mais je ne cautionne toutefois pas cette critique d’un déçu qui ne rend pas justice à cet album. Cet album n’est en aucune mesure une imitation pale de son prédécesseur. Après avoir écouté les deux au longs et au travers, je parlerais d’une véritable évolution vers la matière plus brutale et rentre dedans là ou la première galette faisait parfois dans la dentelle.
Oui j’adore le chant sur le(s) premier(s) CD, ce timbre ronronnant et fluide avec le filling de jazzman. Mais celui là n’est pas déméritant non plus – moins diversifié, il donne plus de violence à l’ensemble qui n’est déjà pas fait de coton.
Oui le premier fait souvent penser à Atheist made in Sweden. Mais celui là puise son inspiration en Pologne en rajoutant des rythmiques coreau-panquisants qui ne sont pas réputés pour la douceur d’approche.
Cette album m’évoque deux noms : Septic Flesh pour sa dimension grandiloquent, appuyée par les nombreux passages simplés, et Begemoth période death par la droiture des riffs ayant pour le seul objectif exploser plus de nuerons possibles à son passage. Typiquement le titre Reverse Engineering réunit la force de frappe de deux combos cités et offre le morceau à l’impact incroyable.
Et tous ça sans oublier la technicité d’exécution. Et sans omettre non plus la mention des structures des compositions qui arrivent à loger de manière cohérente et surprenante toutes sortes de riffs allant les tonalités diluées « post »-machin-chose jusqu’en imitation des violons avec juste à coté quelques nappes boltthroweriennes.
Je précise que tous les noms qu’on peut évoquer, c’est uniquement en titre indicatif, car le groupe possède une personnalité bien prononcée tout de même. Je ne sais pas à quoi c’est du. C’est peut être cette fameuse french touch qui, pour le coup, n’est pas un mythe, appliquée à cette scène dont je suis totalement fan.