Merci de vous reporter à la chronique de Craft pour parler de Craft. Non, Arnahud ce n'est pas Dirge Rep le batteur du dernier Craft. Tout est dans la chronique.
Perso je trouve qu'il y a une grosse influence Cynic période Focus sur cet album!
Toujours aussi monstrueux, un peu moins direct que le 1er mais la prod et les musiciens (qui ont pris une plus grosse place ici, le disque est produit par Navene, et les 3 jouent dessus, alors que le précédent c'était Tosin et Bulb en home studio) défoncent, j'ajoute que je deteste assez le shred, mais chez animals il a une pure vocation émotionnelle, qui me touche, personnellement, et au moins avec eux, j'ai l'impression d'entendre quelque chose d'inédit, de frais.
Encore une fois: QUELLE PROD!
Il me semble concernant Craft qu'il y a eu un problème avec l'enregistrement des pistes de batterie (du genre, enregistrement perdu) et que le groupe manquait de temps pour les refaire.
Perso j'ai surtout découvert No Second Chance et Dirty Fingers. Les autres groupes je les connaissaient pour la plupart mais avec des morceaux inédits ça fait toujours plaisir.
"Souvent caricaturé à un style monotone pour brutes épaisses et violentes, le genre est bien souvent vilipendé gratuitement et à tort. Mais, comme tous les autres styles, le beatdown aimerait bien ne plus être victime de colifichets pour être enfin considéré en tant que tel."
Le summun de la finlandiniaiserie !
Riffs gras faussement thrashisant saupoudré de mélodies empli de mélancolie "à la finlandaise"
Sucré et mielleux avec ses duos "claviers/chants clairs" guimauve à souhait. Alors en plus quand ça part en duo chant masculin/féminin sur fond de piano on touche à la quintessence, le kitshissime du Metal finlandais.
Ecoeurant et pourtant j'aime bien Tuomas Saukkonen avec Before The Dawn ou Dawn Of Solace mais là non ! non ! et re-non !
J'ai eu peur d'être déçu mais finalement c'est album est une fois de plus réussi.
L'édition cd/dvd est très belle, les compos sont inspirées, on retrouve le groove et toute la personnalité musicale du groupe, et une fois de plus le mélange est différent mais toujours de goût.
Reste à regarder le dvd maintenant!
Plutôt d'accord avec cette (tres) bonne chronique.
Cela dit je trouve l'album moins reussi que le premier... peut-être a cause de l'effet de surprise totalement absent. Mais je pense surtout que j'ai du mal avec la quasi-disparition des touches jazz (au profit des influences Djent) qui faisaient toute la richesse du premier album.
excellente kro Pamalach!!!
je suis d'accord sur la deuxième partie du disque qui marque moins que les premiers titres, qui sont juste... waouh!
Ce groupe fait un bien énorme à tout le monde de la guitare, il est vraiment le pont entre le shred 'classique' et les sonorités actuelles. mais sieur Abasi et ses comparses font un travail remarquable, avec vraiment de superbes idées!
Calmos calmos. La remarque de Papy s'adressait à Tonio je pense, mais il se fait vieux, il écoutait du rock quand le rock n'existait pas encore, faut l'excuser ;)
Ca passe, pas bien original par rapport à Before The Dawn ou les autres galettes de Black Sun, mais toujours accrocheur !
Ce Tuomas Saukkonen est quand même superproductif, après on aime ou pas, mais le type a du talent et se repose pas sur ses lauriers...
J'aimerais bien voir un second scud pour son projet solo Dawn Of Solace...
Un album bluffant de maitrise, de technicité et de fluidité, alors que je ne m'étais pas encore remis de l'éponyme voilà que le deuxième déboule déjà. Un peu plus difficile d'accès mais jouissif quand le truc prends enfin. Sa technique de slap adaptée à la guitare est juste...wow. A noter que Navene live une très grande prestation sur ce disque.
Euh papy tu as bien lu mon commentaire? Tu m'as vu dire que Zoltar ne connaissait pas son sujet? Je dis juste que la chronique ne dis rien du contenu il me semble que ça sert à ça non? Savoir si cette sortie est nécessaire ou pas je crois que c'est à celui qui achète le disque de juger. Toutes la chronique est argumentée sur un ton négatif qui fait presque culpabiliser d'aimer le groupe, c'est juste dommage que Zoltar qui a une si grande culture dans le sujet ponde un papier baclé qui encore une fois ne donne pas d'infos. J'aurai bien aimer savoir moi ce que donne les morceaux de l'excellent Wake the Sleeper sur ce live. Et puis franchement ta phrase concernant le CV de Zoltar ne vole pas haut. On est pas là pour un concours, je suis pas un môme de 15 ans qui vient de vendre mes CD de rap pour me mettre au rock... et zoltar LUI-MEME pourrait être surpris du bon temps qu'on pourrait passer à ressasser 40 ans de Hard Rock autour de quelques bières
En tout car ça a du chien que ça soit visuellement ou musicalement. Fait sur mesure pour les évasions ponctuelles comme un bon livre.
Magnifique kro aussi, très précise. Un bel hommage au bel objet.
Bonjour Messieurs, content de voir que ma modeste chronique de ce live déchaîne la passion de quelques personnes, vu que je croyais naïvement que nous n'étions plus que quelques uns à écouter URIAH HEEP... Après, je pense que nous ne sommes pas d'accord sur la sortie même. Pour moi, ce n'est pas le groupe qui est vraiment en cause mais plutôt la démarche, à savoir 'saturer' le marché avec plusieurs lives (bootlegs ou pas) de parfois la même tournée, le tout avec un packaging un peu moyen et sans réelle valeur ajoutée. C'est cela que j'ai voulu plus critiquer que la musique en elle-même... Après, on pourra certes toujours chipoter sur le fait de savoir si oui ou non le groupe n'a jamais fait mieux depuis 'Abominog' voire, pire 'Demons & Wizards' mais là n'est pas le propos non?
Ce bootleg est excellent, avec effectivement un Frost totalement halluciné (l'intro de "Sculptor of flesh" est démentielle de violence !). J'adhère sur le minimalisme de la démarche, avec un produit cru.
Toutefois, l'ambiance live de 1349 n'est pas respectée sur un détail : le son des guitares. En effet, on ne capte pas le mur du son dont savent nous gratifier les norvégiens, sorte d'apocalypse mise en son. Du coup, j'aurais peut-être préféré qu'ils sortent le live à la Loco de 2003, encore plus épuré, et où la violence apparait décuplée par rapport à celui qui vient de sortir.