@un con : merci pour le tuyau j'avais pas vu ce film effectivement il est très bon.
Album majeur dans l'histoire de la musique! J'ai découvert KC et cet album grâce à la reprise de Epitaph par ...in the woods. Donc merci aussi aux enfants des bois...
Bien que défrichant la scène anglaise depuis un certain temps, il me reste encore du pain sur la planche. Van der Graaf Generator fait parti de ces références que je n'ai pas encore abordé, mais ça viendra.
disque acheté en 93 alors que la défunte revue Rage promotionnait énormément cet album et ce type de groupe ( à noter que le succès commercial grand public est venu en France deux ans après dans mes souvenirs).
Ecouté en boucle, prêté de toutes parts et finalement revendu 2 ans après quand j'ai découvert la scène hardcore "non profit" ou même un disque avec un code barre était suspect (je vous rassure j'en suis sorti aussi).
Je reconnais que musicalement il y a vraiment quelquechose (j'ai ré - écouté des titres sur le tube avec nostalgie) mais bon la pseudo attitude rebelle en étant signé sur des majors ça va 5 minutes.
"Hendrix faisait l’amour à sa guitare, Steve Vai la faisait parler, Gary Moore la faisait pleurer, Dimebag la faisait hurler et Mamlsteen la faisait vomir. "
J'adore pour Malmsteen !!!
Sinon un album que j'ai écouté en boucle à l'époque, maintenant j'ai beaucoup plus de mal, et il reste le meilleur du groupe et de loin.
Après c'est vrai que leur discours démago à 2 balles était vite saoûlante, je me souviens dans les déclarations Tom Morello dans Hard Force disant "Si je ne faisais pas cette interview en ce moment et de la musique, je serai surement dans la rue à faire des barricades" ... No Comment !
Un classique, les années Max & Gérard sur Fun! lol
Pas fan du style mais faut avouer que cet album est très costaud.
Par contre en live, RATM fait partie de mon top 3 des pires souvenirs. C'était à Werchter en 93 ou 94 (avec Clawfinger, Therapy, Sepultura et Aerosmith... ça a changé Werchter depuis... :-/).
C'était atroce. Un blanc de 45sec minimum entre chaque chanson, pas UN mot de Zak au public de tout le concert. Un vrai foutage de gueule. Très crédible pour des révolutionnaires de venir prendre leur gros chèque et de se casser sans rien dire.
Bref, des escrocs qui ont fort bien mené leur barque.
Pareil que toi evil. Album que je me repassais en boucle. C'était un an après le Master of Puppets de Metallica, beaucoup des albums thrash de l'époque sont devenus des classiques...
Pour ma part je reconnais que le CD a squatté ma Chaine quelques années mais maintenant c´est l´overdose. Disque trop ré-ré-ré-entendu, Dés que j´en entends une note en Soirée ou dans un bar j´ai envie de me crever les tympans.
Et quand je vois les vieux qui se mettent tous a chanter en Coeur en se rappellant le lycée comme s´ils n´avait rien entendu de mieux depuis 92, là j´ai envie de gerber dans leurs bieres!
C'était exactement comme ça pour moi aussi! Découvert grâce à un sampler de Hard Rock avec "Underneath The Waves", et le mois suivant le fameux "Detox"!!!
Un disque qui restera, je pense, une référence absolue, et ce pour très longtemps! Rien à jeter! Tous les morceaux sont bons! De l'intro Velvet Kevorkian enchaîné au cataclysmique All Hail The New Flesh", à la reprise de Cop Shoot Cop (une merveille d'ambiance urbaine désolée) et à "l'aérien" Spirituality...
L'interprétation de Detox sur le live "The Retinal Circus" est excellente!
Je me rappelle les interviews de l'époque où Devin passait pour quelqu'un de vraiment cinglé.
Un album qui fit sa petite révolution mine de rien mais on était encore loin de s'imaginer ce que le bonhomme allait devenir. Et puis il y a eu Ocean Machine, Infinity et le retour d'un Strapping Young Lad certes moins intense mais tout aussi grandiose et génial ! Culte.
Bien sûr, un classique ! Un disque véritablement révolutionnaire à l'époque non seulement pour son mélange bien foutu de différents genres musicaux que pour cette utilisation surprenante des effets de guitares.
Beaucoup se sont plantés en cherchant à les imiter en tombant tout simplement dans une caricature outrancière. Une association de personnalités aussi atypiques que créatives ne pouvait que donner un tel résultat !
Un album plutôt sympa à l'époque, dont je n'ai jamais fait de folie non plus. Aujourd'hui, il m'est tout à fait impossible de l'écouter, le genre qui m'irrite complètement au bout de deux chansons.
Un classique. Si t'as 35 ans aujourd'hui et que tu traînes ici, t'as du écouter cette galette 1000 ou 2000 fois.
Même que tu l'avais en K7 et que tu l'as racheté en CD :p
"Issu de l’école jazz rock qu’il affectionne" : de quelle école jazz rock le chroniqueur parle-t-il ? On est en 1969, le jazz rock est justement en train de naître notamment avec Miles Davis.
"Je suis persuadé que la vraie créativité naît de situations conflictuelles." Mille Petrozza de Kreator (dans le n°18 d'octobre 1995 de Hard n' Heavy)
C'est ce qui distingue un Get a Grip conçu dans la facilité à une période où tout leur réussissait, d'un Nine Lives qui s'est nourri de tout ce bordel riche en émotions fortes. Ce 12ème album studio (qui porte parfaitement son titre) renoue avec la richesse et le caractère aventureux de Permanent Vacation et Pump, la modernité et l'agressivité (Crash) en sus. Il repose moins sur les guitares et expose un savoir faire hors norme en matière d'arrangements pour un groupe de (hard) rock.
Avant que j'oublie, certains passages de basse de Tom Hamilton font penser à de la fretless mais en fait il utilise un chapman stick (voir livret). Sinon la ligne de basse que je préfère est sans doute celle du break de Falling Off, digne d'un John McVie (Fleetwood Mac). Je pourrais continuer à gloser longtemps mais mieux vaut abréger. Nine Lives comporte 14 morceaux, voici mes 7 préférés:
Falling in Love (Is Hard on the Knees)
Hole in My Soul
Taste of India
Ain't That a Bitch
Kiss Your Past Good-Bye
Falling Off
Fallen Angels
Pour résumer l'affaire Tim Collins, ce manager n'était plus en phase avec le groupe et il a foutu une belle merde avant de se barrer. Il s'est lui même mis sur la touche en refusant toute discussion, obligeant Aerosmith à le virer. Ce n'est qu'après qu'il a commencé à colporter des rumeurs, ressortir de vieux dossiers adaptés au goût du jour, etc...
Quant à Steven Tyler, il s'est tout simplement trop investi. L'accumulation de problèmes et une situation qui s'enlise lui ont fait péter les plombs mais les Bostoniens ont su surmonter ça pour nous livrer un superbe album (Nine Lives étant le dernier album d'Aerosmith que j'ai écouté/acheté).
Le changement de label s'est fait à l'amiable simple formalité. Jusqu'ici tout va bien. Par contre pam' permet moi de te reprendre au sujet de Joey Kramer.
Le batteur d'Aerosmith est tombé en dépression AVANT le début des sessions d'enregistrement. Les Bostoniens ont été contraint de faire appel à un musicien de session (Steve Ferrone). Le retour de Joey Kramer est en partie responsable de la refonte de l'album qui a conduit au changement de studio et de producteur.
"Ça a été une période extrêmement difficile pour moi, des problèmes personnels sont remontés à la surface, des problèmes datant de mon enfance, du décès de mon père, tout un tas de trucs douloureux. Une dépression au sens propre du terme. (...) Ça m'est arrivé avant de rentrer en studio et mes partenaires ne pouvaient pas retarder l'enregistrement. Steve Ferrone m'a remplacé le temps que j'aille mieux. Dès le départ on savait que lorsque je serais guéri je referais ses parties. (...) Un mois et demi plus tard je me suis rendu en Floride et on s'est tous rendus compte que ça ne fonctionnait pas. (...) La maison de disque nous a alors conseillé de monter à New-York et de changer, de laisser tomber Glen Balard au profit de Kevin Shirley." Joey Kramer (dans le n°21 de mars 1997 de Hard Rock mag)
A vrai dire j'ai bien failli chroniquer cet excellent album fin 2012 à la suite de Get a Grip, mais j'ai préféré temporiser. Du coup pamalach a repris le flambeau, avec une belle chronique bien documentée.
Gros fan d'Aerosmith au début des 90s (au point d'acheter presque toute leur disco en quelques mois) j'étais passé à autre chose en 1997 et ça m'a fait un drôle d'effet de renouer avec les Bostoniens. Comme le dit pamalach, artwork/livret sont fantastiques, c'est le must de leur disco.
Concernant la genèse et la conception de Nine Lives, elle a fait couler énormément d'encre, les sources sont abondantes. Voici la chronologie des évènements:
- changement de label (exit Geffen et retour chez Sony/Columbia)
- la dépression du batteur Joey Kramer
- l'embrouille du groupe avec Steven Tyler
- le clash du groupe avec le manager Tim Collins
- changement de lieu et de producteur en cours de route (exit Miami et Glen Balard au profit de New-York et Kevin Shirley).
Ajout du clip de Livin' on the Edge (featuring Edward Furlong de Terminator 2).
@ GabinEastwood: Même si Get a Grip a permis à notre génération de découvrir le groupe, il n'est pas assez bon pour figurer dans le Top 5 spécial Aerosmith que je bricolerais un de ces 4.
Sans hésiter j'y mettrais les 3 premiers [Make It (73), Get your Wings (74) et Toys in the Attic (75)] ainsi que Permanent Vacation (87) et Pump (89). Rocks et Nine Lives loupent le Top de peu.
Chef d’œuvre absolu, j'aime aussi les albums précédents puis jusqu'à V et the Odyssey depuis il faut reconnaître que le groupe a perdu en musicalité à vouloir moderniser son son, les 2 derniers albums sont chiants à l'image des solos de Romeo qui sont bcp moins mélodiques (quelques bons morceaux toutefois ... J'adore le SYX néoclassique, je supporte le SYX Power en souvenir des bons albums passés. J'arrête avant de chialer ;)
Quelle culture aerosmithienne, bravo!
J'adore cet album, il a un je-ne-sais-quoi d'unique. Il représente aussi la fin d'une époque, d'un certain âge d'or musical.
Perso je trippe sur un morceau que personne ne cite, c'est "Kiss Your Past-Goodbye". Aucun mauvais morceau et très varié en plus. C'est accrocheur, ça tue, ce groupe a un goût unique pour la mélodie et quel chanteur!