Childhood's end est une super chanson, j'aime aussi From here to eternity.

Sinon, j'ai découvert maiden avec cet album alors oui c'est culte pour moi et pour ma génération, la chanson fear of the dark est tout simplement inoubliable, un must !!

Fear of the Dark (la chanson, pas l'album) est le classique des classiques de Maiden, quoiqu'on en dise

un album pas terrible faut bien le dire après des albums comme Powerslave, Somewhere et Seventh Son

heureusement que le groupe a redressé la barre avec le retour de Bruce parce que la période sans lui était vraiment nulle

@Floyderz et lolo
Troublantes coïncidences, j'ai également découvert cet album dans le bus qui nous emmenait pour un voyage linguistique mémorable à destination de la verdoyante Bavière.

Wurst, schnaps und Eddie : un trio que je n'oublierai jamais, pour sûr !

Je ne remercierai d'ailleurs jamais assez ce bon vieux Fred, qui m'a pluggé la K7 entre les esgourdes pendant une bonne partie du trajet et par la même m'a permis de me familiariser avec le cultissime magazine Hard Force !

Merci mec.

Mes premiers pas également dans le metal, avec le choc de la découverte sur le walkman d'un pote,dans le bus du lycée, de la chanson-titre, qui fait toujours partie de mon panthéon musical personnel. Un album certes inégal, mais qui recèle malgré tout de très bonne chose, et qui occupera toujours une place particulière dans mon cœur (acheté 3 fois : en K7, en CD 1ère édition et en CD réédition 1998 - ou 99 ?).

Moi aussi je n'ai jamais compris pourquoi Childhood's End, morceau que je trouve extraordinaire (je n'exagère pas, pour moi le sommet du disque avec FOTD, oui oui, même au-dessus de Afraid...).

Merci encore à ce pote (plus précisément le petit frère d'un pote) de m'avoir fait découvrir ce disque, cela a vraiment changé ma vie. Et merci à Iron Maiden pour tout ce qu'il a apporté au Metal en général et à moi en particulier. Il restera à jamais mon groupe ultime !!!

J'ai effectué mes premiers pas dans le monde hostile du heavy métal en compagnie de cet album, passablement décrié par les fans et une partie de la presse lors de sa sortie.

Pourtant "Fear of the dark", au-delà de l’irrésistible nostalgie qu’il continue de
susciter année après année, regorge d’hymnes éternels.
Comment passer à côté de brûlots tels "Be quick or be dead" et ses riffs directs, puissants, aux forts relents thrashesques, qui constituent une introduction sans temps mort dans l’album.

Que dire du sublime "Afraid to shoot strangers", qui démarre sur une mélodie aérienne, poignante, accompagnée d'une caisse claire
méthodique et implacable. Le rythme s’accélère puis ralentit pour repartir sur
une folle envolée que Bruce magnifie de ses vocalises puissantes : le contexte est
planté pour l’explosion finale.

Les solos jaillissent, le duel peut commencer ! Je n’oublie pas pour autant un "Judas be my guide" heavy en diable ou ce "From here
to eternity" presque rock’n’roll, aux forts relents d’AC/DC, qui laisse passer un peu
de lumière aux côtés de morceaux plus sombres tels "Fear is the key" ou "Childhood’s end". Quant à la ballade "Wasting love", elle charrie son lot de larmes au litre ! Et ce final : "Fear of the dark", épique et grandiose épopée de plus de sept minutes qui cloture l’album avec classe.


C'est à mon sens cette variété qui fait le charme de cet album, qui en fait un classique qui résiste plutôt bien à l’usure du temps.

Malheureusement, d’un pur point de vue
historique, il marquera la fin de la collaboration entre Bruce Dickinson et le reste du groupe, l'entraînant dans une chute vertigineuse dont il ne se relèvera que sept ans
plus tard, lors du retour du charismatique frontman sur "Brave new world".

Merci en tout cas forlorn pour avoir réactivé ces souvenirs d'un autre temps...excellente chronique au passage.

Le dernier Offspring que j'ai acheté! un bon album sous estimé! Mota est un de leur meilleur morceau!
Je plussoie, le début de la fin!

@Runforestrun, tu as tout compris! je fais également partie de ces héritiers et chaque fois que je lis une chro de Forlorn, je me dis que j'aurais pu l'écrire! et celle là encore plus que les autres! c'est terrible...
J'avais découvert Maiden via un pote qui m'a filé Piece of Mind et Powerslave en K7. j'étais fasciné par l'imagerie du groupe. la musique a fait le reste...Puis un an ou deux après sortait fear of the dark.
Et là où j'aurais pleuré c'est que j'étais en Angleterre (LE voyage linguistique de la 3ème) la semaine de la sortie de l'album. Je rentre dans un grand magasin de disque et je tombe nez à nez avec un PLV gonflable d'Eddie, avec l'arbre, qui mesurait genre 10 mètres de haut!!
Bref, achat de la K7 et là, le pur plaisir...Je vais pas m'éterniser, je pourrais en parler des heures de cette époque!
Même si l'album a des faiblesses, il garde une saveur toute particulière quand même, ne serait ce que pour ce son que j'ai toujours adoré.
@forlorn: Bien vu le coup du Hard! on était des hardos à l'époque, pas des métalleux!

be quick or be dead!! dead!!!!!dead!!!!!!!!!!!!!!!!! ça c'est un putain de bon titre!!!!!!!!!!!!!

Pour moi Iron Maiden est et restera toujours LE groupe emblématique de tout le genre Metal, sans concurrence possible.
Y a vraiment pas photo. Les compos, la compétence en live, l'imagerie, les thèmes abordés... Putain, mais quel groupe incroyable quand on y pense !

Plus qu'une institution, c'est une légende et un fondateur ; Iron Maiden, c'est la musique de l'imaginaire, l'équivalent musical de la littérature ou du cinéma de genre, bref de la culture proto-geek (avant l'arrivée fracassante de l'informatique dans tous les compartiments de nos vies) dont les types de la génération de Forlorn et moi-même sont "héritiers".

Fear of the Dark est pour moi le moins bon album de la période Dickinson, clair et net. C'est en fait le premier album de la traversée du désert des nineties pour Iron Maiden, dont il se relèveront avec l'excellent Brave New World. Evidemment FotD comporte son lot de titres excellents, qui d'ailleurs ont su pour la plupart se faire une place dans un set-list live à un moment ou un autre.

No Prayer for the Dying est par contre un album à mon avis injustement boudé... Il comporte beaucoup de titres très étonnants pour du Maiden, c'est quasiment un album "expérimental" (toutes proportions gardées). En tous cas je dois être un des rares à l'adorer et l'écouter régulièrement... Ce qui n'est pas le cas de Fear of the Dark :-)

Un truc encore : j'ai était très étonné la première fois où je me suis aperçu du désamour que connaît cet album... J'ai pas compris... Putain, j'avais glissé dans la Twilight Zone... Quel choc !!!

Un peu déçu par la chronique (mais bon, sans rancune :)). J'adore cet album (y compris les morceaux dits mauvais par un certain fantôme), qui est, sans aucun doute, l'un des mes cinq albums préférés de Maiden (dont j'ai tous les albums studio). Quant à la pochette, bien que je l'apprécie, je lui préfére certaines autres pochettes (celle de Killers qui m'a poussé à acheter cet album en premier, à l'époque ou Fear of the Dark était déjà sorti).

Pour ce qui est de No Prayer for the Dying, je ne pense pas que ce soit un mauvais albums (même s'il fait parti du club des cinq moins bons).

De toute façon, Iron Maiden a réussi l'exploit de rester l'un de mes cinq groupes préférés, exploit d'autant plus important que la première fois que j'ai aperçu le clip de Fear of the Dark, la frange de Bruce Dickinson m'avait sacrément rebuté, hé, hé, hé... Mais bon, vu qu'à l'époque je n'écoutais pas vraiment de metal (si ma mémoire ne me fait pas défaut), je crois bien que la musique y était pour quelque chose, elle aussi... :)

Ma conclusion est que, si on écoute bien le noir, il n'est pas si effrayant que cela...

Pour la cool story bro : je me souviens encore encore de ma tête lorsque rentrant dans un tabac-presse, je vis la couverture d'Hard Force Mag qui annonce le départ de Dickinson, presque un monde qui s'écroulait!

Tendresse particulière pour cet album car ça doit un des premiers que j'ai écouté. J'ai usé vraiment usé la cassette à l'époque. Avec le recul, maintenant, cet album redressait la barre après No Prayer, mais reste assez inégal et le chant de Bruce qui en fait parfois trop depuis le précédent. Par contre, j'adore Weekend Warrior!

La découverte avec Maiden passe souvent par le visuel. Eddy et les pochettes de Derek Riggs.

J'ai attaqué Maiden tard avec les deux lives A Real Live One et A Real Dead One. Ce qui m'a beaucoup rebuté chez ce groupe, c'est le côté suranné collant/legging-basketsblanches-décorscènecartonpâte. Allez-y fouettez moi, j'adore ça. (Pour les fans, il y avait encore une magnifique PLV de A Real Dead One chez Monster Melodies, disquaire parisien rue des déchargeurs à Paris, je ne sais pas si elle y est encore...bref...)

Mais les classiques de Heavy Metal passent indubitablement par Maiden et un bon nombre de morceaux présents sur cette galette. L'éponyme "Fear of the dark", "Be quick or be dead"...

Par rapport au metal d'aujourd'hui, ça a du goût, les morceaux sont construits, le son est clair, chaque instrument est audible.
La pochette est l'une des meilleures dans son genre.

@Forlorn "Le Livre dont vous êtes le héros" : Oh le choc cérébral façon "Retour vers le futur" que je me suis pris !!!

Complétement d'accord avec Forl' et sa super chro. Des morceaux d’anthologies couplés à d'autres qui le sont beaucoup moins. En outre, un des artwork de Maiden que je préfère.

Non vraiment pas d'accord avec vous, cet album est magistral!! le meilleur album de maiden!! tous les morceaux sont excellent! et que dire de la pochette! du super boulot! be quick or be dead;from here to eternity;afraid to shoot....;the fugitive; wasting love;fear is the key;et fear of the dark bref tout l'album sont des purs moments de bonheur! et j'adore le son glacial des guitares et de la batterie! vraiment cet album restera grand a mes yeux! up the irons!!!!!

Potable, mais quand même du sous-Dissection. Le prix actuel de cet album en premier pressage est indécent. Faut pas pousser. Et dans le genre, si je veux écouter du bon, perso je mets Dissection.

Mais on ne souffle pas les goûts et les couleurs, comme disait le sage...

Très bonne chro' même si je ne suis pas d'accord sur tous les points, notamment vis à vis de "No Prayer for the Dying".

D'excellents titres côtoient en effet certains moyens, pour ne pas dire mauvais, cet album dégage beaucoup de mélancolie et parfois aussi une certaine 'violence', ainsi qu'effectivement une ambiance sombre (mais c'est peu à côté de "The X Factor").

Du même avis que l'ami Forlorn, on trouve de tout sur cet album, néanmoins bien meilleur que "No Prayer ...".

Un disque bien trop long, et qui aurait pû etre raccourci de 2-3 titres comme dit plus haut, même si pour moi il y'a de trop : "the apparition", "wasting love", "the fugitive"

Après je pense que l'album a sa bonne réputation grâce au morceau-titre fabuleux, sans cet hymne il n'aurait jamais atteint son statut de classique.

Une sensation mitigée pour cet album, on sentait que le groupe aller bientôt amorcer un nouveau virage avec le désastreux "Americana" .

Des bonnes idées mais pas exploitées à fond, même "All i want" s'il envoie bien, semble avoir été un peu baclé.

Bref le début de la fin ...

J'ai exactement le même avis que toi, je range les morceaux dans la même catégorie sauf pour "Fear is the key" que je n'aimes pas du tout et que je rangerais dans les mauvais.

Comme beaucoup, j'ai rejoint les légions de fans de Dimmu à la sortie d'EDT, collectionnant les articles, jouant les morceaux à la gratte... Sans problème l'album de black que j'ai le plus écouté.

EDT c'est l'aboutissement de la 1ère époque du groupe, dominée par les atmosphères mélancoliques. L'enchainement Mourning Palace/Spellbound/In Death's Embrace est fantastique, mais la suite n'a pas grand chose à lui envier: Entrance (sublimé par le solo d'Astennu sur la scène du Dynamo Open Air 98), le sauvage Master of Disharmony et son break heavy metal, ou encore la très gothique conclusion A Succubus in Rapture.

Quant à la 11ème plage non référencée, elle tient la dragée haute au reste de l'album. Il s'agit de Raabjørn Speiler Draugheimens Skodde, un morceau de For All Tid réenregistré. Il devait tenir lieu de bonus à l'édition digipack, mais s'est retrouvé par erreur sur le format CD (ce qui explique son absence des crédits). A noter qu'il figure aussi sur l'EP Godless Savage Garden paru en 1998. Quand j'entends le résultat de ce lifting, je me prends à imaginer For All Tid et Stormblast intégralement réenregistrés avec ce son. * soupir *

Avec EDT les Norvégiens ont accédé à une reconnaissance bien méritée. Les mouvements de line-up et l'expérience acquise par la suite (1997-2000) vont leur permettre de progresser rapidement, notamment sur le plan technique, comme le démontre l'imparable Spiritual Black Dimensions.

EDT et SBD sont des classiques du black symphonique, des incontournables que tout fan de metal se doit de connaitre.

J'ai découvert Dimmu Borgir fin 1995, via une pub dans le Metallian n°1. Sur le moment je n'y ai pas prêté attention. Il aura fallu l'énorme promo de Nuclear Blast et l'apparition de hits d'Enthrone Darkness Triumphant sur des samplers en 1997 pour que je me décide.

J'ai eu mon 1er contact avec Stormblåst la même année en achetant la VHS Live & Plugged Vol. 2. La setlist des Norvégiens privilégiait les morceaux d'EDT mais comprenait les excellents Dødsferd et Alt Lys Er Svunnet Hen (que j'ai rajouté à la fin de la chronique).

Le gros problème de Stormblåst ne vient pas de leurs limites techniques ou de la production, mais de l'imposteur Stian Aarstad. On l'ignorait à l'époque, mais ce claviériste n'a eu aucun scrupule à piocher des thèmes à droite à gauche sans aucun respect du copyright.

SKGV nous parle dans sa chronique de l'instrumental Sorgens kammer intégralement basé sur le thème d'Agony (jeu Amiga paru en 1992), mais ce n'est pas le seul exemple de gros pompage. L'introduction d'Alt Lys Er Svunnet Hen vient de Sacred Hour, un morceau de Magnum (issu de l'album Chase the Dragon paru en 1982). Quant à l'intro de Guds fortapelse - åpenbaring av dommedag, c'est un emprunt au compositeur classique Antonín Dvorák (9ème Symphony en E mineur, Op. 95). Je sais pas vous, mais avoir connaissance de ces éléments me gâche l'écoute.

Dimmu Borgir avait toutes les raisons du monde de vouloir réenregistrer Stormblåst:
- effacer les traces de Stian Aarstad
- faire bénéficier les compos de leur maitrise technique et d'une bonne production
- récupérer les droits (Cacophonous ayant mis la clé sous la porte)
Malheureusement la version 2005 est un foirage intégral, une honte qui dénature complètement l'oeuvre d'origine.

Stormblåst a des qualités mais vieillit mal. C'est dommage.

Agony Intro Theme vs Dimmu Borgir's Sorgens Kammer: www.youtube.com/watch?v=BE6WFQR8Oik

Magnum - Sacred Hour: www.youtube.com/watch?v=TvjiIHtG7Ws

De rien, Hammerbattalion.
Ah ça donne une certaine... "épaisseur" au morceau, c'est sûr. :-(

Le sang froid du gars avant qu'il ne se colle une dragée, c'est effarant.

J'ai découvert cette anecdote l'an dernier, 20 ans après la sortie du disque. On en apprend tous les jours. :-/

Merci pour l'info, du coup je me suis passé le morceau juste après avoir regardé le suicide en direct, çà glace le sang!

EDIT : la version censurée (sans le coup de feu) du suicide de Robert B. Dwyer est le fameux sample qu'on entend au milieu du morceau.

C'était un câlin en tout bien tout horreur. :-)
N'en déplaise à notre hétérosexualité (enfin, je parle pour moi) latente. :-)))

Au fait, "Karmic Wheel" est inspirée par l'homme politique américain Robert Budd Dwyer qui, accusé de corruption, se suicida en 1987 en direct devant un parterre de journalistes et surtout devant des caméras.
La vidéo de ce triste coup d'éclat est dispo sur internet. Ca pique les yeux ! :-(((((((((

Pour la pochette ? pas d'infos, juste qu'elle est assez jolie et c'est déjà pas mal.

@hammerbattalion : le Live at Fillmore est tout simplement référentiel ! Et la version de « Return... » qui y figure est absolument dantesque !

@6trouille : Oh là, doux, doux mon ami ! Oui, les textes de « Feeding time at the zoo » sont vraiment drôles, et l’esprit de ce morceau donne une irrésistible envie de ressortir ce vieux skate qui croupit entre deux cartons moisis à la cave.
Quant à la pochette de « Renewal », je n’ai pas réussi à trouver suffisamment d’infos dessus pour en révéler les dessous, j’ai donc préféré mettre ce sujet de côté…

On n'a pas parlé de la pochette de ce Renewal.
Non ?
Si ?

Superbe peinture !

@ TarGhost : dans mes bras, mon poussin ! :-))))
"Feeding time at the zoo" est une tuerie !
Et les paroles sont extra !

Excellente chronique qui est très détaillée, j'ai adorer le passage avec le plausible désastre dû à la master-tape.

SBS est vraiment une pépite, plus aboutie que EDT qui était un peu le "brouillon", malgré qu'il était, et est toujours solide.

La force de SBS réside vraiment dans la composition, très aérienne, ou l'on surf sur des vagues constantes de synthés, ou chaque titre se renouvelle et sait nous émerveiller, chose bien plus rare désormais.

Seul "hic", le mixage qui de nos jours me parait un peu "brouillon", manquant de définitions et de spatialisation des instruments, mais bon, il faut être clément, le résultat est tout de même très bon.

Et c'était un peu la norme/problème à l'époque, comme tu le soulignes.

Malheureusement je n'ai pas pu voir le live de NPA à sa sortie, merci pour le partage!
Dommage que l'enregistrement de NPA ne rend pas honneur au titre.

Et encore merci de cité l'édition 98 du Dynamo, qui était, à mes yeux, le meilleur fest de l'époque, avec des groupes de BM au top.

Merci pour cette chronique !

Targhost@ après, j'arrête le hs, il y a aussi la version acoustique avec choeurs féminins de Return sur le Live At The Fillmore (grandiose).

Très belle chro remember, bravo!
Pour ma part c'est le début de la fin, j'étais plus qu'impatient de la sortie de cet album après le choc EDT, il a pas mal tourné au début puis je me suis vite dit que bah.. c'était mieux avant! Je préfère toujours les ambiances plus doom et mélancholiques des 3 premiers albums à cette facette plus "rentre dedans". Mais bon album tout de même, avec ce fabuleux "the insight &..."! Bon souvenir de concert également pour la tournée qui suivit, avec Arcane Lifeforce en entrée si je me souviens bien!

LE chef d'oeuvre absolu du groupe ! ETD était déjà monstrueux mais là tout y est meilleur (compos, sons, groove, ambiance ...) l'arrivée de Nick Barker boostera le groupe sur les deux albums suivants avant que celui-ci opère un virage radical

Réecouté hier et j'accroche toujours autant et les solos sont incroyables !

Excellent boulot forlorn :)

Merci pour vos (bons) retours sur cette chronique, ça fait plaisir de voir que cet album n'est pas tombé dans les limbes de l'insconscient collectif !

@hammerbattalion : Moi aussi j'aime beaucoup "Return to serenity" ! Que ce soit sur "The ritual" dans sa version originale ou "Return to apocalyptic city" dans sa version "edit"...

En ce qui concerne EXODUS, oui, I agree, "Good day to die" et son solo héroïque est une vraie merveille, j'ajouterai également l'hilarant "Feeding time at zoo" et son côté SOD/DRI de derrière les fagots ! Mais...le "Architect of Pain" reste à mon sens la pièce centrale de cet album mi-figue mi-raisin...une plongée de plus de douze minutes dans les noirs recoins de l'âme d'un certain Sade.

P.s: j'adore Return to Serenity, et pour le Force Of Habit, tu peux ajouter Good Day To Die. deux morceaux qui auraient pu permettre à Testament et Exodus de cartonner dans les charts. :)

Je l'ai acheté en cassette à sa sortie, je ne voulais pas investir un compact après la lecture de la kro du Pestilence de sinistre mémoire (hard-rock mag). Un choc à la première écoute, puis j'ai apprécié ses ambiances. Du coup, je ne l'ai pas en compact et son prix actuel est vraiment prohibitif, merde! C'est leur période abus de drogue, bout du rouleau avant une petite traversée du désert, bien glauque.
Merci pour ta kro, il me le faut!!!!

Super kro, au moins dix ans que je ne l'ai pas ressorti celui-là, il ne m'avait pas trop marqué à sa sortie! Comme toi, je trouve le livret d'assez mauvais goût, pas trop fan non plus de la production (çà doit pas être évident de marier orchestrations et metal avec un budget limité). Par contre les compos sont ahurissantes de maîtrise, je n'en avais plus aucun souvenir, je suis en train de l'écouter au casque, bonne surprise!!!

Pour moi, ça a été la révélation, l'album parfait de bout en bout, des frissons dès la 1° écoute & du début à la fin de l'album. Acheté à l'Audito au Havre, le digipak m'avait séduit au 1° regard. A l'époque je n'aimais pas du tout EDT, mais ayant entendu "The Insight & The Catharsis" sur un sampler, mon instinct me soufflait de me précipiter pour l'acheter. Grand bien m'en a pris car ça a été immédiatement mon album de chevet, au point de l'user & de devoir le racheter quelque années plus tard dans son édition deluxe avec le magnifique bonus "Masses For The New Messiah". Mon préféré avec PEM & mon album culte & vénéré. Ils n'ont pas su faire mieux depuis.

Un disque fabuleux !!!