Vrai qu'il y a une belle influence Mastodon sur certains plans mais pas que. Album riche, bien chaleureux et aérien, j'ai vraiment hâte qu'ils soient en tournée pour voir si les ambiances prennent sur scène !
Moi aussi j'avais vu la reference à red dead, mais bon ça reste une référence, et y'a pas que dans red dead que t'as des nones à fusils. Pour une pochette Metal c'est ultra original le fond bleu et le dessin style BD et ça je le vois dire dans pleins de Webzines qui font des chronique de cet album. Pour moi c'est le meilleur album de l'année, le riffing est exellent, les morceaux très efficaces c'est vraiment super. J'espère que HA passera par chez moi, je pense aller les voir pour leur date avec Exodus mais faut que je trouve des potes pour partager le covoit
Bonne chro Velvet, je me demandais si elle allait tomber !
J'ai également découvert le groupe début 2009 et je n'avais jamais pu prendre ces mecs au sérieux (swaggots, manque d'originalité, matraquage publicitaire et compagnie). En gros, c'était direction aux oubliettes.
Et puis cet Under The Painted Sky a suscité une certaine curiosité en dévoilant ses premiers extraits. Je l'ai gagné pour tout te dire, je ne sais pas si je l'aurais acheté... et j'en ai encore écouté une partie hier soir.
Ils nous proposent un sympathique mélange de gros rock groovy, parfois un peu crado et sombre comme le titre d'ouverture, de riffings Shai-Huludesques un poil alambiqués (toute proportions gardées), et de plans que vous nommerez comme vous voudrez en ajoutant "core" comme suffixe (comme tu le décris ci-dessus). En gros je diviserais cet album en trois parties : la première composée de titres audacieux, la seconde inspirée par le travail des autres, et la dernière tirée de l'héritage "core" dans lequel ils baignaient à leurs débuts.
Ils s'essaient à des choses intéressantes servies par un chant en forte progression... et ça marche ! C'est un bel effort. Malgré tout, j'ai l'impression qu'ils sont encore en quête d'identité propre et je ne sais pas si ces mecs ont un avenir... Le 1er titre est, selon moi, le style qui leur convient le mieux.
Attention au terme "putassier" tu vas te faire engueuler ;)
Un de ces groupes quand même !!! Je suis à la moitié du livre et j'adore.
Le prochain qui dit qu'on n'a pas de grand groupe de metal en France, je l’assomme avec ma bite ! ^^
Pareil que Seb on fire découvert au hellfest et avec " Venerable ". Ben grosse claque ce nouvelle album ! J adore ce coté noise plus prononcé que leur ( innombrables ) collègues ! Faut que je me penche sur leur ancienne disco !
alors, pour ma part je possède la box commandée chez amazon MAIS chez dodax donc peut-être un import. rien ne dit que c'est une édition "géographique" spécifique en tout cas. et donc, je n'ai pas de Live sur le second CD, juste les 2 bonus.
sinon, je pensais que cet album arriverait à fédérer les fans de toutes les périodes de DT, mais il semblerait que non... comme il a été dit, il ne faut pas rester sur une seule écoute. j'aimerais bien dire qu'il n'est pas fait pour ceux qui ne sont pas branchés par le DT "soft", mais c'est contraire avec mon cas et celui de Wasted par exemple. donc cet album divise pas mal finalement! je trouve pourtant qu'il est bien plus intéressant que "We Are The Void" et remonte le niveau quoi qu'il en soit.
Pas faux, pas mal de pains et c'est vrai qu'on a l'impression que le groupe est venu encaisser le cachet et est pressé de mettre fin à cette tournée pour rentrer chez soi.
Néanmoins setlist de malade et son impeccable, même s'il n'a pas la puissance dévastatrice des morceaux lives qu'on peut entendre sur les maxi de Ratamahatta et Roots bloody roots
Ce groupe est monstrueux, en terme de personnalisation de différents sons, d'une culture venue à la fois du noise-rock, du hardcore, post ou pas, moderne comme tiré des nineties, d'équilibre entre l'efficacité et l'aspect plus rigoureux, original, de leur musique, c'est à mon sens l'une des 2/3 grosses références actuelles. Que des albums différents, et pourtant tous liés, que des albums terribles.
Ce sera sans moi, définitivement ! Je n'arrive toujours pas à comprendre comment ce groupe a pu arriver à ça... Grosse, très grosse déception et c'était déjà le cas avec le précédent.
Entrench est-il le Saint Graal tant attendu? Est-il meilleur que son non moins excellent prédécesseur?
Avec Entrench, KEN mode nous présente une suite logique à Venerable mais avec quelques nouveaux ingrédients.
Là où je rejoins Seb, c'est en ce qui concerne les petites innovations au niveau composition/son/influence.
Jesse nous livre une très bonne partition vocale, tout en nuances et en variations.
Niveau compo, on ressent indéniablement un gros feeling rock’n’roll ainsi que ce côté catchy (sur Counter Culture Complex/The Promises Of God, c'est flagrant/ultra prononcé). D'ailleurs, j'adhère totalement à ce côté tubesque!
L'atmosphère générale est moins sombre qu'à l'accoutumée mais ce n'est que par intermittence car nos 3 bûcherons aiment envoyer du lourd et le tarif préférentiel, c'est payé comptant en stères de bois en pleine gueule (No, I'm In Control, Your Heartwarming Story Makes Me Sick, The Promises Of God, The Terror Pulse, Your Secret Vasectomy).
Je suis également d'accord sur le schéma de disque décrit par Seb On Fire mais ça ne me dérange pas.
Après, il y a plusieurs points où je suis en désaccord avec la chro. Je n'irai pas jusqu'à dire que leur musique est lumineuse. Moins sombre oui mais l'ambiance est toujours empreinte du sceau de la noirceur/du chaos. Counter Culture Complex a beau avoir ce côté ultra tubesque/catchy/groovy, le fond n'en demeure pas pour autant joyeux! Et il suffit d'écouter le post-rockien Monomyth pour comprendre. Une outro qui aurait pu être parfaite sans ses violons qui viennent un peu gâcher cette ambiance "fin du monde" mais le duo guitare/piano est prenant, mélodieux et empli de désespoir. Oui, le désespoir, c'est beau!
Et puis, il y a ce Romeo Must Never Know en plein milieu d'album qui ne plaira peut-être pas à tout le monde mais qui a le mérite de faire souffler. Une prise de risque réussie car le morceau monte en intensité et concorde avec le déroulement de l'album.
Enfin, le vilain petit canard d'Entrench (avec les violons flingueurs de Monomyth) est le morceau Why Don't You Just Quit?. Pas que morceau soit mauvais en soit mais il n'est pas folichon même si j'ai envie de dire DOMMAGE car le final est foutrement bien réussi.
Bref, KEN mode fait du KEN mode tout en se renouvelant, en se sublimant et s'améliore avec l'âge, comme le bon vin.
Oui, Entrench, c'est un peu leur chef d'oeuvre et pour moi, il mériterait d'être une oeuvre majeure dans ce courant musical.
Pas encore creusé plus que ça (2 écoutes au compteur) mais a priori je trouve cet album plus posé, plus profond que ses 2/3 prédécesseurs, plus lent à se révéler. J'aime beaucoup les deux premiers titres par exemples, assez noirs et étonnamment peu "virevoltants" pour du Dark Tranquillity. A l'inverse, les morceaux plus "classiques" dans le pur style du groupe m'ennuient profondément ; Ils ne sont pas mauvais, mais honnêtement il faut avouer qu'ils sont totalement interchangeables d'un album à l'autre.
Dark Tranquillity = monument.
Je ne peux qu'être d'accord avec cela.
J'ai toujours réussi à accroché avec toute leur discographie.
Mais là, pour le coup, je ne sais pas. L'album est bon certes, mais une fois l'écoute fini, il ne me reste rien en tête. Le sentiment d'un bon disque, mais sans plus.
Une sorte d'impression en roue libre et (période de bac oblige) on sent qu'ils vivent sur leurs acquis (ô combien important).
Ça devait finir par arriver, premier véritable album de DT pour moi sans le moindre intérêt alors que jusqu'à présent j'arrivais toujours à trouver de bons morceaux sur leurs dernières sorties. Toujours est-il que DT a sur cet album définitivement perdu ce petit plus qui leur permettait d'être au dessus du lot. Que c'est chiant, poussif, redondant, bref, DT emprunte la voie de garage. Le chant clair aurait pu être l'élément salvateur tant j'ai érigé "Projector" au rang de chef d'œuvre du dernier millénaire, mais sur ce nouveau skeud Stanne se prend pour une espèce de crooner de pacotille, charmeur de gothopouf en puissance, ce n'est vraiment pas ce que j'avais envie d'entendre sur un album de melodeath et encore moins sur celui d'un de mes groupes de chevet.
Énorme!!!!
Et quel plaisir de retrouver Arno dans cet opus...ça fait penser à du CinC nostalgie quand tu nous tiens.
En espérant qu'il fasse à nouveau équipe avec le groupe pour un prochain opus....
La chronique donne envie en tout cas.
Parce que j'ai lâché le groupe juste à la sortie de "Haven" et seul "Character" m'a plu dans cette deuxième partie de carrière. Je m'en vais donc jeter une oreille par curiosité
ca m'a l'air d'être un peu le foutoir dans les diverses éditions de cet album. En gros il faut acheter la version US si on a déjà vu le groupe 15 fois en live??
Également, les passages avec philippe et severine sont très intéressants, sur l'aventure holy records. À mon sens, il y a matiére à faire un bouquin sur les labels des années 90, osmose, adipocere, holy..som, sur la base de ces entretiens et sur ce qu'on a pu voir dans les dossiers vs sur les acteurs du metal tels que les promoteurs type garmonbozia.
Je pense qu'il y a une histoire passionnante à raconter, et ne serait que holy peut dêjà faire un chapitre conséquent. Il y a aussi le tape trading comme élément structurant, largement êvoqué.
Bref je serai client.