Tout pareil que Greg. tres decu de cet album. C est marrant mais la tournee Dark Tranquillity - Kreator qui s annonce comme un des moments forts de l an prochain les verra defendre des albums bons mais vraiment sans surprise.
Acheté sans l'écouter, en faisant confiance à la kro. On ne m'y reprendra pas !! Je n'y ai aucunement retrouvé les influences citées: Ni les couches de grattes plombées de Ministry, ni la haute technicité électro de FLA, encore moins de Skinny malsain ou d'électronique avant-gardiste à la Haujobb. Quant à l'esprit des Swans, Neurosis ou Isis, je les cherche encore...
De plus, y sont cumulés les plus grands travers des débutants en électro-indus: Voix gueulées et distordues à l'extrême pour se cacher, usages abusifs et répétitifs de samples de films (vraiment pénible...) et triturage de sons dans tous les sens pour tester sa nouvelle banque de sons.
Bref, à force de lorgner partout, cet album n'aboutit à rien d'émotif et d'intéressant chez moi, et c'est pas faute d'avoir écouté suffisamment. Finira en fond sonore pendant la vaisselle le pauvre...Je fais sûrement partie de ceux qui "resteront de marbre devant tant de simplicité".
ouais enorme les ion dissonance!!ayant leur album "breathing is irrelevant" , je peux affrmer haut et fort que c'est de la pure tuerie! donc l'interet de cette compile(où les autres groupes comme inside conflict,into the moat,comity,gorgasm...n'en valent pas moins la peine)est doublement interessante.
Ouai y a rien il est excelent, riche ...
Je me demande si leur passé black ressemble au partie k'on entend sur l'avant dernier morceau vous savez kan ya des alternances trop trop bien faite...
Enfin bref rien à jeter
désolé pour l'invasion, mais comme j'aime bien le groupe, j'apporte quelques éléments de contradiction !
tous les goûts sont dans la nature!
Drop-O-Rama - Superlove
Comme les comètes qui ne repassent au même endroit qu'après un voyage de plusieurs milliers d'années, il se pourrait bien que le prochain album d'un groupe français aussi grandiose que ce second opus de DROP-O-RAMA ne soit pas pour demain ! Car oui, même si rien ne le laisse supposer, si ce n'est le nom de ses membres, et aussi surprenant que celà puisse paraître, Drop-O-Rama est bel et bien originaire de notre pauvre pays ! Après un premier album fort remarqué par la critique il y a deux ans, mais dont le spectre musical était sans doute un peu trop large pour réellement combler les amateurs de rock mélodique que nous sommes, les parisiens rectifient clairement le tir et visent bigrement juste avec ce Superlove ! Le style reste éclectique et en celà assez indéfinissable, mais une vraie cohérence émane de l'ensemble. On navigue entre rock mélodique moderne et hard rock'n'roll, et tous les titres permettent d'apprécier à leurs justes valeurs les qualités d'écriture et la classe du chanteur Olivier Campana. Oui, je parle bien de classe, de facultés vocales si peu communes en France qu'on avait fini par ne plus y croire. Un chant terriblement expressif et multi-facettes, rappelant tantôt Nick Workman de KICK (Continude, Enemy Inside), tantôt Spike des QUIREBOYS sur les titres les plus rock'n'roll. En dépit de son jeune âge, Olivier a passé de nombreuses années à se former sur les scènes londoniennes, ce qui explique sa grande aisance à chanter en anglais. Le chant est donc un atout majeur pour ce groupe, mais les compos sont également à mettre en avant. Vous recherchez des titres forts et poignants ? Drop-O-Rama vous les sert sur un plateau d'argent. Qu'ils se nomment Rain, Second Shooting ou Supergod, le frisson est garanti ! Fidèles à leurs sensibilités très larges, nos quatre musiciens s'essaient également à des titres plus rock'n'roll comme sur le très QUIREBOYS-esque There's No Place Like Home ou l'excellent Welcome To The World. On relèvera enfin la superbe reprise du classique de BILLY IDOL Flesh For Fantasy - que certains jugeront sans doute trop fidèle et donc facile, encore faut-il pouvoir s'aligner sur le grand Billy ! - qui prouve l'incontestable bon goût du groupe, ou la plus surprenante mais toute aussi jouissive version de Stronger de...... BRITNEY SPEARS ! Que dire de plus si ce n'est que Drop-O-Rama mérite un soutien massif de notre part. Ne ratez pas l'occasion d'être enfin fiers de votre pays !
DROP O RAMA "Superlove"
(fifteen music - musicast)
Formé il y a trois ans par des amateurs ayant comme seul but de bouleverser les règles établies du rock propret, convenu et gentillet, Drop O Rama fait la nique à tout ces êtres bien-pensant qui pensent obstinément que le rock tel qu'il a pu être, ou tel qu'il est pratiqué par les Anglais, des Beatles à Oasis, est nécessairement la bonne manière de faire du rock. Allez au diable, qui que vous soyez ! Diantre, nous avons également chez nous des artistes à même de mettre une sacrée déculottée à n'importe quel groupe, Anglais ou non, avec ou sans coupe au bol. Le meilleur exemple de ce savoir-faire 100% made in France ? Drop O Rama pardi ! Ici, l'innovation et l'expérimentation sont les clés de voûte d'un style qui refuse le conformisme ambiant et le duplicata de bon aloi, insipide et taillé pour la consommation de masse. Il n'y a qu'à se pencher sur les deux reprises pour s'en convaincre sans peine : deux interprétations personnelles et déjantées du "Stronger" de Britney Spears et de "Flesh for fantasy" de Billy Idol ! Cela ne constituant qu'une infime partie du potentiel créatif de Drop O Rama, plus largement dévoilé sur les douze autres morceaux qui constituent cet album de premier choix (avec une petite préférence personnelle pour l'excellent morceau d'ouverture "Welcome to the world" qui donne irrésistiblement envie de s'époumoner sans retenue). "Superlove" fait la part belle à un style personnel, qui lorgne de temps à autre sur un hard rock débridé mais qui sait toujours se faire juste et bienvenu, sans jamais avoir recours au polissage excessif pour plaire au plus grand nombre ou au remplissage méthodique pour combler un cruel défaut d'imagination. Voilà qui devrait susciter l'admiration, messieurs dames !
Ce n'est pas une surprise de retrouver aujourd'hui Drop O Rama à ce niveau, le premier album était fort bon ("Nothing changes" sorti chez Brennus en 2002), mais le petit nouveau l'est tout aussi et montre un groupe soudé et définitivement talentueux, au sommet de son art ! Cet art, nommé "Superlove" montre comment restituer en quatorze morceaux produits de main de maître, l'énergie et l'intensité d'un rock fougueux et mélodique. Ni plus, ni moins !
Clem Decibels Storm - décembre 2004
Mouais...tout à fait le type d'album dont on se lasse au bout de trois écoutes. Le chant est trop monocorde et manque de personnalité, les riffs sont toujours les mêmes, ça pompe allègrement dans tous les sens (bonjour les clichés Deicidiens sur le premier morceau) et ce disque n'est effectivement sauvé que par sa bone prod'. La pochette est sympa aussi.
je me demandais pourquoi y'avait pas demarduk, enslaved etc... chez osmose ils ont répondu qu'ils ne possedaient pas de matos valable pour mettre sur ce dvd...
Par curiosité, j'ai téléchargé les extraits sur leur site. Et c'est vrai qu'on entend pas grand chose. Les fréquences des guitares ne sortent pas du chaos sonore. Contrairement au dernier Arkhon, il devient difficile de rentrer dans les compos. Dommage, on dirait qu'il y a de bons trucs (l'extrait de "Age of Nothing" est pas mal du tout).
M'enfin, je ne vois pas où est la grande "innovation" critiquée dans tout ça. Ce n'est pas si original (z'ont la gnak les anonymes).
Les mp3 qui étaient sur le site n'étaient pas représentatifs, et ne m'avaient pas trop convaincus; Les chansons n'étant pas complètes. J'ai téléchargé le live qui a donné naissance au groupe. C'était uniquement des impros et il n'y avait pas de chant.
Ils se sont dit que ce serait bien de se faire un album et ont écrit des vrais morceaux, dont certains s'inspirent des impros du live.
Pour Mr_6: je pensais qu'en citant les noms des différents projets de chacun ont pourrait se rendre compte facilement du style pratiqué. J'essaierai de m'améliorer si je refais une kro :) Globalement Les Claypool donne le ton, donc les amateurs de Primus peuvent jeter une bonne oreille dessus. Personnelement c'est l'album majeur de la fin d'année, je l'écoute énormément.
Le morceau "Manannàn" d'ABSU ne vient pas de "TARA" mais du mini "In The Eyes Of Ioldànach". La version qui se trouve sur "TARA" est légèrement différente de part la production et certains enchainements...
Même si certains clips sont assez mauvais ce dvd vaut vraiment le coup, seuls manquent les anciennes pointures d'OSMOSE (Marduk, Enslaved, Swordmaster...)
Le mp3 gracieusement indiqué par Angel-81 est chiant à mourrir. Il s'agit d'un titre live et j'éspère que c'est l'unique raison de la présence des délires inintéressants qui remplissent 80% du morceau.
Pfff...Cette critique ainsi que la côte n'a ni queue ni tete...Moi je l'ai acheté cet album et il tue sa mère...Comme on dit: ceux qui innove sont souvent sujet à la critique...qu'elle soit bonne ou mauvaise...fondée ou infondée... Hailz to Emptiness et Ocean? arrête de faire du sensationnel...
Finalement à part Bernie Worrel (que je ne connais pas), le line up est exactement celui des dernières prestations live de Primus alors?
Alléchant...même si les projets parralèlles de Les Claypool sont assez inégaux. Au vu de la note, je crois que je vais quand même me laisser tenter!
je suis un chnateur de la scéne de toulousaine mais je suis encor en studio d'enregistrement... maniére que je me présente...
Dispho est un énorme groupe sur toulouse. Connaissant un peu tout le monde qui forme cette formation, je pe vous dire ke vous avez les perles de notre belle ville ... en tout cas je susi de tout coeur avec eux et les encourage de tout mon étre pour kil puissent ce levé au dessus du stade de ptit groupe...
L'album est a acheté dessuite les yeux fermé et surtout allé les voir sur scéne... Anne à la basse, Sucks ( sylvain )àla guitares, Nuts au chant, Mika à la deuxiéme guitares et Maël à la batteuse, c de toute magnificiance de métal à la sauce CLAQUE dans ta gueule...
C'est de la grosse merde, de la soupe froide, inscipide et sans saveurs.
Je l'ai vu en concert avec Freak Kitchen, bah me suis bien fait chier.
Impersonnel au possible.
Elle en aura déclenché des réactions cette kro... Sans vouloir être plus méchant, cet album ne le mérite pas.
Et sincèrement, à jeun ou bourré comme un coing, je ne vois absolument pas comment je pourrais apprécier un concert d'Innerfire, mon p'tit gars... C'est mauvais. Point final.
Reapie : merci du complément. Je trouve pas que ça soit spécialement progressif même si je comprends ton point de vue. Par pitié ne me parle pas de In The Woods, noooon ! :D
Ceci dit très intéressante analyse, et on est d'accord sur un truc : ce disque est excellent. Une fois de plus, Relapse ne s'est pas trompé. J'attends de trouver les lyrics pour mieux comprendre cet album.
Scandale ! Pas une seule fois le mot progressif n'est laché dans cette chronique !!! :p
L'essence de "Chronoclast" est pourtant très clairement ancrée dans la mouvance progressive, le groupe jouant de la multiplicité des ambiances et de l'alternance entre instants de recueillement et élancées des plus furieuses, et se refusant à à recourir à toute structure récurrente. Quoi qu'il en soit, "Chronoclast" est un album que j'attendais depuis un petit bout de temps et qui comble assez nettement mes attentes. Originellement conçu comme une unique pièce de 40 minutes (et semble-t-il subdivisé a posteriori), rappelant en ceci le fabuleux "Crimson" d'Edge of Sanity, ou le plus récent "Light of Day, Day of darkness" de Green Carnation, cet enregistrement regorge de longues harmonies aussi enivrantes qu'énergiques, axant leur travail sur les contrepoints mélodiques entre guitares soutenus par une basse relativement indépendante (j'ai tendance à penser à un "Omnio" d'In the Woods surboosté). Ajoutez à celà une batterie distillant ce qu'il faut d'agressivité, évoquant notamment Bran Dailor (Lethargy, Mastodon) dans sa tendance à développer roulement sur roulement, et vous aurez saisi que nous avons ici affaire à quelque chose d'assez peu commun.
Les réalisations de cette trempe sont bien malheureusement trop rares...
18,5/20
bon alors je vais pas vous cacher que je connais pas le groupe, mais je peux vous dire que en tant que personne aimant le metal, ce groupe est vraiment bon... le son est peut etre pas toujours au top mais pour une premiere sortie c'est vraiment bon.
c'est vrai que le chroniqueur aussi devait avoir bu avant d'écrire un truc pareil.
vient à un concert mon pti gars... mais bois que de l'eau avant sinon tu risque de redire des betises et de louper un bon concert.
Je l'ai trouvé plutôt chiant ce disque. Il manque le petit plus qui accroche vraiment l'oreille. J'avais préféré "Extermination revelry" qui semblait un peu plus spontané que celui-ci. D&Q reste clairement un groupe de deuxième division avec les avantages et les inconvénients que ça comporte....