Fondé sur les cendres de No Way Out, groupe metal existant depuis fin 1999, Drifting Breed prend sa forme actuelle en 2003 avec l'arrivée de Jonathan à la batterie en mai puis de Jérémie à la basse en octobre (le nom actuel du groupe a été adopté en 2001). C'est à ce moment que le combo parisien (75, 91 et 94 pour être plus précis) affine son orientation musicale et laisse venir à lui le style qui est maintenant le sien et qu'il peaufinait depuis de nombreux mois. Si les principaux éléments constituant la musique de DB sont l'agressivité, la lourdeur et le groove du thrash des années 90 et du hardcore dans son essence la plus new-school et metal (n'en déplaise à certains), on peut également y déceler de nombreux éléments qui tendent à la rendre plus personnelle tels que les blast-beats, la fureur et l'hystérie empruntées au death et au grindcore, une certaine noirceur, un sens de la mélodie et un aspect malsain qui ne sont pas sans rappeler une certaine frange plus atmosphérique du metal. Quoi de plus normal dans la mesure ou les membres du groupe représentent à eux cinq un très large panel d'horizons musicaux et d'influences puisées tant dans le monde du metal et du HxC que dans le rock au sens le plus large du terme.
Voilà pour la forme ici volontairement distinguée du fond dont on peut avoir un aperçu avec le nom du groupe (qui signifie en français 'espèce à la dérive', allusion à l'espèce humaine ?). En effet ce qui prime avant tout pour Drifting, c'est la musique. Celle que nous aimons et qui nous fait vibrer depuis des années, celle qui nous a donné l'envie de nous y mettre à notre tour sans même penser un seul instant, au départ, que nous puissions apporter notre pierre, aussi infime soit-elle, à l'édifice. Ici donc pas de leitmotiv, de grande cause, de cible privilégiée, de revendications démagogiques ou de positivité exacerbée, juste un constat amer basé sur le monde qui nous entoure et nos expériences personnelles. Un constat qui peut paraître cliché mais un constat tellement évident et réaliste tant au niveau du monde en général que de nos vies et de notre quotidien en particulier... En quelque sorte, une relation perverse avec cet environnement qui est à la fois source de frustration et d'inspiration. Drifting Breed comme une catharsis ? Peut-être trop tôt pour le dire mais Drifting Breed comme un exutoire sûrement ! Un point d'ancrage, quoiqu'il arrive, c'est certain...
Le groupe a enregistré son premier titre démo, 'New World', en août 2003 et va entrer en studio en 2004 pour enregistrer son premier MCD. En attendant, les occasions de voir DB sur scène (son univers préféré) vont se multiplier dans les mois à venir. Bien que rares jusqu'à maintenant, les prestations live du groupe ont déjà reçu un accueil très favorable. En tout cas, tout ça n'est qu'un début, et ça n'ira pas en s'améliorant...
Merci de porter intérêt à DB et merci à ceux qui nous soutiennent d'une manière ou d'une autre.
J'avoue que les chroniques de plus d'un paragraphe ça me décourage, surtout quand il s'agit d'albums que je connais (smiley noir de honte quand même)...
complètement d'accord sur la plupart des points abordés : ça n'apporte pas grand-chose de personnel mais c'est très bien fait ; ils ne tombent pas dans la monotonie (défaut difficilement évitable dans le genre pratiqué) et les morceaux gagnent à être écoutés plusieurs fois, chaque écoute révélant un petit "plus"
pour moi ils assurent le cap du second album
Encore une fois décevant pour moi aussi, je préfère un bon "Pain Killer" voir les plus anciens et de loin, là ça sent le réchauffé et ils ont plus rien à dire, désolé, total respect bien sûr mais l'âge poursuit son oeuvre. Dommage quand même.
Effectivement une grosse progression vis-à-vis du EP qui était bien prometteur mais assez capharnaüm dans l'ensemble. Station obligée pour tous les amateurs de hardcore bien mis qui fout la tête au carré en deux riffs chrono!
euh franchement je suis grand fan du Priest. c'est meme le groupe qui m'a fait me mettre serieusement au metal. mais la je dis non... cet album alterne le mauvais (voire tres mauvais) le moyen et le bon (sur 1 ou deux titres).
Ca ne me gene pas du tout que le groupe fasse un patchwork de ce qu'il est supposé faire de mieux, mais pour moi les compos ne sont pas à la hauteur
Le 1er titre (Judas rising) est des plus convenus, pas un seul changement de rythme de tout le morceau.
Deal with the devil est le meilleur titre pour moi de l'album, un titre un peu à la "Riding on the wind"; il s'y passe plein de choses, les soli sont excellents, mélodiques. On pourrait penser que le duo Tipton/Downing est de retour! mais non les soli de ce titre sont bien les seuls sur cet album qui valent le coup.
Les titres plus soft ne sont pas réussis et je ne suis pas d'accord avec la chronique: Priest a deja fait de tres bonnes power balades : a touch of evil en tete.
Que dire finalement de ce Lochness cloturant l'album?! 13 minutes d'ennui ferme. Il se passe vraiment tres (trop?) peu de choses dans ce titre alors qu'on aurait pu s'attendre à un titre alambiqué tel qu'un "one shot at glory" pouvait l'etre.
Honnêtement je viens de voir ce groupe pas plus tard qu'hier à Toulouse en première partie d'ANGRA ... et bien force est de constater que c'est franchement mauvais. C'est mou, ça ne décolle jamais et comble de l'horreur Sabine chante faux.
Hey! Effectivement... C'est très bon! Après seulement l'écoute du titre dispo, je parle. Je n'aime pas trop écouter un titre tt seul... Mais, je v voir si je le trouve de ce pas!
Certes c'est une joie de revoir Halford au micro sur un nouvel album du Priest mais de là à dire que c'est le meilleur album du groupe depuis Defender...
Angel Of Retribution est certes un album classique du Priest mais c'est en tout cas du très bon. Les Primal Fear, Cage et autre Metallium sont à des années lumières derrière.
Dans quel sens ca sonne vieux ? pour moi on retrouve a peux pret les differentes periode du priest de "Deal with the devil" qui fait pensé a des morceaux qu'on peux trouver sur la periode "Screaming / defender", "hellrider" qui me rappel l'album painkiller, "Demonizer qui me fait penser a "Ram it down", "Revolution" qui nous ramene dans les 70s et a des compos comme "Better.." qui figure sur stained class", "Wheels of fire" qui aurait au sa place sur british steel.
Pour ma part, je prefere ca et de loin a l'évolution du priest avec "Jugulator" et encore pire "Demolition".
De toute maniere, quelle aurait été l'interet pour le groupe de sortir un painkiller 2 quinze ans apres (malgré que painkiller reste a mes yeux, the album!!!!!) d'autant plus que tout les albums du priest sont differents les uns des autres.
Cet album est juste parfait pour celebrer le retour du metal god au bercail.
En tout cet album est une merveille et c'est tout.
THE PRIEST IS FUCKIN BACK
19,5 / 20
Dans quel sens ca sonne vieux ? pour moi on retrouve a peux pret les differentes periode du priest de "Deal with the devil" qui fait pensé a des morceaux qu'on peux trouver sur la periode "Screaming / defender", "hellrider" qui me rappel l'album painkiller, "Demonizer qui me fait penser a "Ram it down", "Revolution" qui nous ramene dans les 70s et a des compos comme "Better.." qui figure sur stained class", "Wheels of fire" qui aurait au sa place sur british steel.
Pour ma part, je prefere ca et de loin a l'évolution du priest avec "Jugulator" et encore pire "Demolition".
De toute maniere, quelle aurait été l'interet pour le groupe de sortir un painkiller 2 quinze ans apres (malgré que painkiller reste a mes yeux, the album!!!!!) d'autant plus que tout les albums du priest sont differents les uns des autres.
Cet album est juste parfait pour celebrer le retour du metal god au bercail.
En tout cet album est une merveille et c'est tout.
THE PRIEST IS FUCKIN BACK
19,5 / 20
Effectivement un excellent disque que je trouve plus accessible que son prédécesseur qui m'avait bien moins marqué.
Certainement un des plus gros espoirs français.
bon, certes ce n'est pas un album merdique, mais moi je suis déçu. Ca sonne vieux .....très vieux même ! Perso, j'aurais préféré qu'ils reviennent dans la trempe de Painkiller, qui m'a véritablement collé le cul au sol lors de sa sortie. Cela dit, ca reste globalement "écoutable", sans pour autant être un chef-d'oeuvre. Maintenant les fans de Rob et Cie lors des 80's devraient apprécier à sa juste valeur cet album.
Je ne suis pas du tout d'accord avec tata (qui apparemment porte très bien son nom). Pour moi cet album n'a rien a envier aux groupes de brutal death americains. Je le trouve très bien joué, bien composé et très bien produit en plus.
1 trill c'est une suite "rapide" de plusieurs hammer /pull-off (sorte de tapping sur 2 cases uniquement réalisé avec la main qui se trouve sur le manche)
c'est une technique de gratteux assez old-school...tommi iommi de Black Sabbath en utilise beaucoup et aussi Cannibal
moi j'ai acheté au pif car FireBox propose des artistes mortels....jamais été déçu.
Résultat : une descente aux enfers bien menée par un son monocorde rempli de grognements et ronflements vocaux.
Bref 45 min à écouter au casque les longues nuits d'hiver... ouh..ouhhhh...Aouuuuuhhhh... en reviendrez-vous ??
Le genre d'album à donner une crise cardiaque à la grand-mère !!!
L'alternance des voix claires-gutturales est parfaite (même si elles ressemblent à celles de Nasum et Regurgitate).
Par contre, je trouve que le son de guitare est exactement le même que celui de "Shift" de Nasum. Cela n'est pas un défaut mais cela rajoute 18 pistes à "Shift" :).
Avant l'écoute de ce CD, je me disais "encore un album de metalcore de plus".
Finalement, quelques paramètres en font un album un peu différent de ce que pond Shadows Fall, Killswitch Engage et consort.
Tout d'abord, le chant clair. Il est beaucoup plus aérien que les chants clairs des deux groupes précédemment cités.
Ensuite, la mélancolie est omniprésente dans ce CD. Tout l'album tourne autour de la rupture du chanteur avec sa petite amie (il suffit de lire les paroles pour s'en convaincre ;)).
Un album de metalcore très correct et mélancolique. 14/20.