@ RBD: J'ai pourtant cité Hantaoma le groupe à 2 reprises dans ma chronique, en vous donnant la possibilité de consulter la chronique de Malombra en cliquant sur Hantaoma dans le 1er paragraphe ou en sélectionnant l'album via la fonctionnalité "à classer avec" à droite de l'écran).
1er paragraphe:Par la suite side-projects (Hantaoma, Amazarak) et collaborations extérieures (Skiltron, Valuatir) ont contribué à leur maturation.
5ème paragraphe:Concernant un successeur de Malombra, j'ai cru comprendre que la question avait été étudiée. Qui vivra verra...
Ouais d'accord avec toi gardian. C'est pas le plus marquant de leur disco mais certainement le plus varié. Et il faut quand même plusieurs écoutes pour rentrer dedans.
Au final, et comme le dit très justement Papy, un bon album de hard des familles quoi.
L'idée de ré-enregistrer ne me semble pas forcémment saugrenue. Potentiellement, on peut y trouver une meilleure prod, une certaine expérience des musiciens en eux même voire un état d'esprit différent... tout ceci à conditions que les compos de depart soient vraiment bonnes, sinon effectivement ce serait essayer de donner un second souffle en mettant de la poudre magiques sur un effort minable produit des années avant, bref, le comble de l'harchuma et par conséquent une obligation d'aller s'auto lapider dans un trou de la honte et de disparaitre à tout jamais enseveli sous le mont de la mediocrité.
Un très bon come back, du riff qui tue, une bonne rythmique, Ed Webb assure vraiment.
On reconnait le style Massacre, avec un son plus moderne, puissant et lourd.
L'album d'Hantaoma est l'un des meilleurs albums de folk/métal qui ait vu le jour. Period. Quand à ce Stille volk, pas encore écouté mais ça ne saurait tarder, vraiment hâte d'écouter le successeur de l'excellent Nuiet de Sabbat.
La rétrospective oublie l'album unique de Hantaoma, leur projet parallèle reprenant des chansons traditionnelles d'un peu tout le Midi occitan (et pas seulement des Pyrénées) à la sauce Heavy Black. Il a été chroniqué sur ce site et je le ressors régulièrement.
Voilà un album que je compte bien me procurer ! Cette très bonne chronique m'a mis l'eau à la bouche... même si je l'écouterai avec mes oreilles, bien sûr ! :)
Curieux d'entendre la reprise !
Au sujet de Yan Arexis : il a même touché à l'écriture... J'ai, sous ma patte griffue et mes yeux exorbités, un recueil de nouvelles (Musées des mondes énigmatiques - Denoël/ Présence du futur) au sein duquel figure un texte de sa composition... Un texte fort sympathique si ma mémoire est bonne... Faudrait que je le relise...
Le nom me fait marrer, la musique me fait marrer, la voix me fait super marrer, bref c'est du tout bon.
Ca manque de riffs mémorables, c'est clairement du vu et revu, mais pour moi qui n'ai jamais vraiment beaucoup écouté ce type de death depuis 138, c'est peinard.
Un bon petit album qui reste dans la partie haute de l'ultra-saturé niveau quantité pour le slam-death. Il ne révolutionne en rien mais passe tout seul.
Bin je vais être en contradiction avec tout le monde. J'adore cet album, je trouve pas perso que le son de guitare de Rick Rozz soit le même que sur "From Beyond" (mais alors pas du tout), j'aimais bien la "linéarité" de Bill Andrews qui certes pouvait ennuyer mais c'était ultra-carré et je regrette quand même Kam Lee.
Ce sont des morceaux ultra simples certes mais on comprend ce qui est joué et surtout on le retient.
Rien de transcendant mais ça se laisse très bien écouter.
Bonne chro', j'ai moi aussi tendance a faire des parallèles culinaire lorsqu'il s'agit de Brutal Death :D
L'album est sympa, effectivement ils n'ont pas inventés la poudre mais pour du slam bas-du-front ça passe plutôt bien.
Pas de prob mec ! Bon allez au risque de passer pour un obsédé, achète "Hollow Crown" (pas cher sur le net) et déguste-le pendant ton temps libre, de préférence posé tranquille avec un casque sur les oreilles. Genre deux ou trois fois. Tu verras que l'approche est différente, que les compositions sont bien plus travaillées et qu'elles tapent directement dans le 1000. Même le titre éponyme fait son effet. Tu verras également que la voix était bien plus efficace à l'époque (pas si lointaine). Là où le petit dernier cherche souvent la facilité (c'est de l'immédiat et parfois du racolage, séquelle de l'époque "The Here And Now"), je trouve "H.C." plus complexe, plus agressif et d'une durée de vie incomparable.
Bien entendu, il faut être amateur du style et bon nombre de VSeurs cracheront dessus. Je peux comprendre !
@ElericRequiem: je le reposte moins piquant (même si il doit en rester) ;)
Pour répondre à FabMTS & Medirian: effectivement, je n'ai pas le background nécessaire pour juger l'ensemble de la discographie d'ARCHITECTS. Quand j'ai vu ce nouvel album dispo dans les bacs j'ai voulu m'en occuper, vu que je gardais un bon souvenir de leur presta et que ce que j'avais écouté ci et là m'avait botté.
Alors c'est clair, je n'allai pas m'enfiler tous leurs albums avant de m'atteler à cette kronik. Cependant, j'ai jugé comme il se doit cette dernière mouture qui, même si ce que vous dites est vrai (j'ai écouté Hollow Crown depuis et je vois très bien ce que vous expliquez), et ai donné mon ressenti direct. Pour moi, ils (ARCHITECTS) restent quand même au-dessus du lot, c'est indéniable.
Mais c'est bien de votre part de poser des commentaires bien développés!
Merde, Velvet, ton dernier commentaire pique les yeux ! Je te mets -2 pour le français, et au coin!
Pour moi, très bon album, avec des chansons juste parfaites (Broken Cross, Grave Digger).
L'album, dans son intégralité, n'est pas parfait, en effet. J'aurais mis 16.
Cet album a le syndrome de la vierge : c'est assez difficile de rentrer dedans mais une fois qu'on y est c'est de la pure jouissance. L'approche est différente, notamment dans la première moitié ("The Calling" reste mon titre préféré d'ailleurs) ; la suite raccroche plus avec l'époque Discordia et post-Discordia. Je n'ai pas eu le temps de lire les paroles mais en général même ça c'est travaillé : de l'Anglais soutenu pas facile d'accès pour le lecteur lambda et bon nombre de références historiques, philosophiques et politiques (même si pour le catholique que je suis, les textes sont souvent agaçants. Parenthèse fermée).
Néanmoins une chose me dérange : la production. Elle me rappelle un peu celle de Discordia justement, en toutefois moins dégueulasse. Les parties "basses" de la batterie sont inaudibles lorsque toutes les cordes travaillent de concert, c'est dommage. Par moments j'avais une espèce de bouillie que des écouteurs plus neutres (Klipsch image S4 II) ont un petit peu corrigée.
J'aurais mis 18/20 si nous avions eu droit au son de "Traitors".
Vraiment un bon album je trouve, et surtout à voir sur scène, il passe à merveille le cap du live et je le trouve bien meilleur depuis le concert à Paris !
Pour ceux qui ont le LP, il tourne normalement en 45 tours. 2coutez le en 33 tours et vous allez voir comment ça déménage. La musique se transforme en une espèce de Death Old School bien bien gras.
Excellent chronique! Tout à fait d'accord et ce "The Killing Gods" est certes moins facile d'accès aux premières écoutes mais après c'est une merveille!
...dans Ruins, il y avait des plans typé death technique mélangés à un croisement math/metalcore, et je trouvais ça justement hyper bien construit malgré leur côté "déstructuré" :-). Après le très post-harcore assumé "the here and now" qui sonnait comme du Alexisonfire et la tentative ratée de come-back avec "Daybreaker", je trouve que c'est déjà beaucoup mieux même si il n'y pas cette folie d'antan...on joue parfois la sécurité en picorant parfois du côté du trendy djent avec ce son bien compressé au dépens justement d'un mathcore bien plus déjanté qui s'invitait sur Ruins et Hollow Crown. Mais bon, je l'ai quand même acheté et il n'est pas déplaisant même si ce n'est pas suffisant en regard de leur potentiel. 14/20
Très bon CD. Il n'y a pas de hit comme "I like the revenge..." mais par contre, la qualité est très homogène, et les titres ont chacun leur personnalité. Aucune lassitude du début à la fin!
La référence à Decrepit Birth ne peut effectivement se comprendre que par rapport aux deux derniers albums, avec le virage plus propre et technique.
Toutefois, il y a de grosses traces de Suffocation qui surnagent, dans cette production plus nature, ces ralentissements pour les solos...
Mais ce ne sont que mes nuances par rapport à une chronique que je rejoins. Dysmorphic est ma sensation des derniers temps.
J'étais au concert de Toulouse l'autre soir (seule date française, avec Gorguts), ils ont joué au moins deux nouveaux titres. J'ai encore pris un caramel dans le buffet...
Je ne retrouve pas exactement le même feeling que "from beyond" niveau compos avec ce nouvel album qui me fait plus penser au dernier projet en date qu'avait Rick Rozz avant de reformer MASSACRE : M.INC (pour ceux qui ont entendu ce groupe).
C'est clair que 13 titres ca fait trop d'autant plus que sur la longueur, ca lasse car les titres ont tendance à se ressembler.
La première partie de l'album est la meilleure et le nouveau chanteur assure (même si évidemment, j'aurai préféré Kam Lee), comme le dit la chronique.
Un retour mitigé donc en ce qui me concerne car même si ça me fait plaisir de revoir Rick Rozz actif dans la scène avec ce groupe, ça aurait pu être mieux mais bon ce n'est pas non plus catastrophique, loin de là.
Alors, autant j'adore quasiment toute la discographie de MI sans réserve, autant celui-là me laisse pour l'instant plutôt froid.
A voir sur le long terme mais il me laisse vraiment sur ma faim là... Y'a pas un Conquistadores, un Pulling out the Nails ou bien un Ruling Class Cancelled qui te restent dans la tête pendant des jours.
J'espère changer d'avis après davantage d'écoutes!