L'album avec lequel j'ai découvert les allemands, moi aussi je me suis laissé tenter grâce à "Wind of change", pourtant il n'y a pas que ça il y'a aussi "Send me an angel" ou "Restless nights" vraiment addictifs. Le tout avec une production excellente et qui n'a pas vieillit et on obtient le dernier grand classique des allemands, car la suite des 90's sera marquée par leur léger déclin et des changements de line-up
Je ne connais que les deux derniers que j'apprécie et Jane Doe qu'un pote m'a prêté à l'occasion, mais sans être réellement rentré dans le délire...
Je comprends tout à fait l'adhésion des fans, le groupe possède une rage et une sincérité telle qu'elle le rend vraiment inimitable, même si je préfère les ambiances et les riffs déstructurés d'un Botch* !
Je viens juste d'apprendre que c'était une expression française (marseillaise précisément) qui désignait un dingue, un fada :)...
La production n'a pas pris une ride, les touches indus ou tribales apportent un peu de diversité et ce Final Thought d'anthologie! J'ai du mal à me remettre The End Complete mais celui-là passe toujours bien.
J'étais ultra fan de ce disque à l'époque où il est sorti. Par contre je trouve qu'il a pas très bien vieilli contrairement à d'autres classiques du genre. Peu importe ça reste un monstre. Super kro au passage.
Merci pour la découverte !! Etonné d'entendre Ingram chanter de cette manière. Comme quoi le bonhomme était plus versatile que ses passages dans Bolt Thrower et Benediction laissaient penser
Les références et les anecdotes me rappellent aussi des souvenirs. Par contre, à l'époque je trouvais ce groupe tout moisi, fin de deuxième division, trop de concurrence pitêt. Ce n'est qu'à la sortie de Death---The brutal Way que je m'y suis remis. Et donc je trouve The Rack crado, simpliste, méchant, bête à bouffer du foin, du bon death en somme!
Ça peut effectivement donner cette impression, mais ça n'est pas tout à fait vrai, car:
- à la fin de ma kro d'Alleviation of Pain de Chastisement, il y a le CV détaillé des 2 principaux concernés: Marcus Edvardsson et Nils Fjellström.
- 2 des 3 albums sortis par Souldrainer ont été chroniqués sur VS: Reborn (2007) et Architect (2014). Tu vas donc pouvoir connaitre la suite de l'histoire ^^
C'était très intéressant cette succession de chronique... Par contre, là, on se retrouve comme à la fin d'une saison qui, au lieu d'ouvrir la voie à la suivante, nous laisse dans la frustration... Mais que va-t-il donc arriver aux personnages principaux ? Un bain de sang ou bien de décibels ? Vraiment frustrant... :(
Cet album me ramène à mes début sur le net quand je cherchais du bon son gratuit ce qui m'a permis aussi de découvrir les forums et webzines (VS en tête !). Leur site était très bien fourni en Mp3 et vidéos; je dois d'ailleurs encore avoir un live dans un disque dur externe.
Pour ce qui est de la musique, c'est du tout bon, groovy, puissant et varié avec cette petite touche personnelle à le fois old school et moderne qui est bien agréable.
Excellent album d'ASPHYX qui montrait dès ce premier opus qu'il allait falloir compter avec eux. Même si à titre personnel je lui préfère "Last one on earth" plus abouti et puissant, il y'a suffisamment de bonnes choses sur ce disque pour accrocher totalement !
Excellente chronique gorgée de références qui font écho chez moi aussi ! Notamment celles sur les escapades forestières entre potes et l'association ad vitam eternam entre certains albums et des moments-clés de vie : tiens d'ailleurs, n'appelle-t-on pas cela...la nostalgie ? ;)
Concernant "The rack", c'est celui, aux côtés de "Last one on earth" que je préfère chez ASPHYX. Le cahier des charges y est respecté à la lettre : le son grassouillet, les riffs simples et efficaces au groove imparable et surtout les vocalises au goût unique d'un des meilleurs growleurs de tous les temps, Martin Van Drunen.
La suite des évènements, que ce soit toujours sous la forme d'ASPHYX ou de SOULBURN me laissent de marbre. Tiens, ça tombe bien, c'est bientôt la Toussaint.
Bob Bagchus a quitté Asphyx en mars 2014, officiellement pour s'occuper de sa famille. Mais le fait est que depuis le retour d'Eric Daniels sur le devant de la scène, ils sont inséparables.
Après la création en 2009 d'un alter-ego, Grand Supreme Blood Court, les 2 Néerlandais ont lancé en 2013 un nouveau projet (black/doom): To the Gallows. Après le départ de Rogga Johansson au début de l'année, ils ont changé de patronyme et repris Soulburn (incarnation d'Asphyx de 1996 à 1999).
très très bon album
marrant les souvenirs que certains albums peuvent engendrer... moi ça me fait surtout ça avec les films des années 80 : où, avec qui, etc...
the Rack, un très bon album de Asphyx bien que je prefere "Last One On Earth", il reste un très bon album de Asphyx, je retient principalement The Rack, Vemin, Pages In Blood et Diabolical Existence, une terreur!
Sinon l'identité du groupe est vraiment spécial puisque les principaux leaders ont tous quitté le groupe et certain sont ensuite revenu.
- Martin Van Drunen qui a pourtant était viré après "Last One on Earth" est aujourd'hui le dernier leaders.
- Eric Daniels qui était le seul membres d'origine sur "Asphyx" en 1994, n'a pas prit par a la réformation. -- Bob Bagchus, le créateur et grand meneur du groupe qui vient de le quitter cet année, laissant le groupe continuer sans sont maître.
Sinon Asphyx quel groupe! Death et Doom font bon ménage, un patron du genre.
Le 1er Eyehategod que j'ai acheté. Effectivement à l'époque on ne parlait pas encore de "sludge". Alors en recherche de sensations fortes musicales, j'avais été attiré par une chronique dans Hard'n heavy, où le chroniqueur avait bien du mal à décrire la "chose", mais devait (de vague mémoire) présenter ça comme totalement barré, un album qui portait bien son nom effectivement, mais difficile à apprécier car éprouvant ; ça et puis les t-shirts du groupe qu'Anselmo arborait dans les clips de Pantera (ainsi que ceux de Crowbar).
J'aimais plutôt bien, mais si je ne savais moi non plus pas vraiment quoi en penser (une musique de malade mental, un truc qui met mal à l'aise mais qui te donne quand même envie de rester) et que je ne l'écoutais qu'occasionnellement. Ce n'est que bien plus tard que je me tourna véritablement vers cette "scène" et l'apprécia à sa juste valeur.
@drum777: Merci pour tes coms. Tu as gardé la "Joie de Vivre" longtemps? Sinon l'influence Morbid Angel sur le titre Tsavo est bien là, judicieuse remarque.
Alleviation of Pain est un bon album, mais comme tu le fais remarquer, il est un peu inégal, manque parfois de cohérence (les instrumentaux dénotent et sont placés trop tôt) et sa prod est un poil inférieure à celle de l'EP.
@ TarGhost: Teste But Lost we Are, il est en écoute intégrale sur ma kro. Tu ne seras pas déçu, on est quelques uns à le préférer à Alleviation of Pain.
@ Gabin: 100% d'accord, cet EP est supérieur à l'album, en partie grâce à sa fantastique prod. Quant à Souldrainer, j'en suis resté à leurs Demos. L'effritement du line-up originel leur a coûté cher.
@ bigxtra: C'est cool de partager le même point de vue. Pour le live, j'en parle dans ma kro d'Alleviation of Pain.
Putain oui, merci Daminoux! Pour Dillinger le morceau c'tait The Mullet Burden je crois, soupe de dents là aussi!
A l'époque Rock Sound était un bon magasine (surtout pour le lycéen que j'étais) et ce hors-série était vraiment bien, j'ai aussi du finir par acheter le moitié du sampler!
Pour Coalesce la reprise c'était Black Dog!
Sinon je me suis réécouté ce petit Conberge du coup. Il y a quand même de sacrés morceaux: The Saddest Day bien sûr, Shingles ( très sous-estimé), Dead et Farewell Note to this City (les titres """emo""" de l'album).
Le marketing était très réussit, j'ai bien tripé sur la musique et j'adorai regarder le booklet. C'est marrant car avec le recule on voit les choses différement mais c'est toujours aussi bon. Encore un must have !
Découvert avec ce maxi et le titre epitomize (sur un sampler Overcome ? autre ? je ne sais plus).
Vu en 2002 au Club Dunois à Paris avec Converge pour la tournée Jane Doe.
J'avais 19 ans, j'étais content. Tant de sons nouveaux, au-delà du hardcore.
Depuis, le split, guitare rose envolée (triste histoire de vol de matos il me semble non ?), mais Mumakil est né !