Possédant l'objet depuis quelques temps déjà je ne l'ai malheureusement pas écouté suffisamment pour l'avoir correctement digéré.
Ce qui expliquera que pour l'instant je trouve 'From The Human Forest...' meilleur, mais juste d'un poil de cul.
En tout cas, ce groupe est monstrueux!
je suis en phase avec Pamalach. un bon album qui vaut son 15 mais j'ai quand même pas l'impression d'avoir affaire à du Bloodbath, à quelque chose qui est dans le haut du panier du death suédois certes, mais pas vraiment du Bloodbath. avec Holmes ça change et ça marche, dommage que le chant soit un peu linéaire je trouve. après j'ai du mal avec le début de l'album, les 3 premiers titres sont poussifs, à partir du Vasistas c'est nickel. ça aurait pu être mieux, c'est tout de même un bon album mais moi je reste sur "The Fathomless Mastery".
Tout pareil que mes petits camarades, putain d'album et pas forcément surproduit comme le dit le premier intervenant (les exemples de Hollywood metal ne manquent pas).
Par contre, je joue ma couille gauche que l'explosion vocale finale sur Grand Morbid Funeral n'est pas signée Holmes mais Chris Reifert (rendons à Cesar ce qui lui appartient, quand même)
Je te rejoins Pamalach sur chaque détail de ta kro.
Moins impressionné que d’habitude, je le trouve plus scolaire, moins ambiancé, moins glauque, moins ébouriffant finalement, même si tout reste de grande qualité. Et Holmes est très bon, mais passer après Åkerfeldt est un challenge délicat, son chant est moins marquant.
Bon album mais qui n’a pas l’impact que j’attendais.
p'tet pas le meilleur. surtout que je suis passé à côté de celui avec tatgren. mais excellent album, surement pas le plus efficace mais de loin le plus réussi niveau son et ambiance.
holmes est pas technique mais il a une voix flippante. Il me fait penser au chanteur de deathspell omega.
Pour ma part : sans doute un des meilleurs albums de l'année. Il combine à merveille classicisme suédois old-school et finesse toute Katatonienne des guitares bien cachée sous le déluge de crasse malsaine. Nick Holmes est impérial.
Je trouve la chronique légèrement à côté de la plaque (mais bon les gouts et les couleurs...).
Un bon groupe strasbourgeois. Un très bon mélange de plein de genre en même temps sans que ça se noie dans une bouillie incompréhensible bien au contraire !
En plus pour les avoir rencontrés, sont super sympa et Hachement humble !
Un Bloodbath différent mais un Bloodbath qui tue ! L'apport de Nick Holmes est fantastique, rend la musique bien plus crasse et malsaine. Old school à mort, me fait parfois penser aux vieux Autopsy.
Les goûts et les couleurs... Je n'ai jamais trop aimé Bloodbath à vrai dire. Tout a changé avec cet album, à mon grand plaisir la diva de chez Opeth est remplacé par Sir Old Nick. Ce dernier est un choix audacieux qui m'a poussé à être attentif à cet album. Au final, un des albums de l'année (en ce qui me concerne!) et qui tourne en boucle! Malsain, puissant et Old School.
Je trouve que c'est une groupe qui manque de personnalités. Ils naviguent un peu à vue et les influences sont trop palpables.
Ce nouvel album ne décolle jamais, quelques passages intéressants mais on ne retient pas grand chose et on a pas envie d'y revenir.
Le Metal a aussi son lot de grosses productions "hollywoodiennes" avec des albums dont l'attente a est artificiellement poussée à son paroxysme à grand renfort d'attente savamment entretenue, de casting de luxe et de gros son (particulièrement énorme ici).
Hélas les deux meilleurs titres sont ceux qui ont été révélés en guise d'apéritif et rien ne décolle vraiment sur ce disque de Death Metal laborieux, peu original et poussif. Le son est une débauche de tout ce que la technique peut offrir aujourd'hui pour avoir le son le plus puissant possible, mais il lasse aussi rapidement qu'il impressionne lors des premières minutes.
Grand Morbid Funeral est un produit creux destiné à provoquer l'achat d'impulsion, mais il ne contient pas de musique suffisamment solide pour être réécouté plus d'une demi douzaine de fois.
Un bon point tout de même à Nick Holmes, dont j'aime le timbre très distinct des vocalistes de death actuels et qui est l'unique originalité de ce disque.
merci pour cette putain de belle chronique, et l'enthousiasme de vos commentaires, cela nous donnes vraiment envie d'aller encore plus loin dans le groupe et de vous offrir des concerts bien particulier à chaque fois.
merci pour la chronique qui nous replonge nostalgiquement dans les '90! à l'époque de a town like this j'avais été appaté par le background des musiciens, mais bizarrement jamais trop accroché. je vais me pencher sur cette reformation.
C'est marrant toutes les groupies qui viennent pleurer sur la chronique alors que c'est subjectif.
Il y a des tas de groupes qui se bouffent des notes basses et ca ne les empêches pas de jouer et de tourner. Si les arguments ne vous plaisent pas, parcque c'est vos amis, déjà, à la base, les amis sont peux subjectifs sur des sujets comme la musique.
ZeSnake n'a pas à se justifier sinon on lui demanderais de le faire sur TOUTES ses chroniques.
Passez votre chemin, le groupe ne crèvera pas demain à cause d'une chronique.
Highway To Hell et Back In Black sont très bons mais pour moi le must acdcien reste quand même Let There Be Rock et Powerage...
écouté rapidement ce Rock Or Burst sur une borne d'écoute et je ne suis même pas allé jusqu'à la sixième piste. Le réchauffé, certains groupes le pratiquent avec beaucoup de talent comme Motorhëad qui continuent encore de latter des burnes bien comme il faut, mais là non !
En dépit de toute l'énergie déployée j'ai trouvé ça terriblement creux et insipide, voir assez pénible, du coup je vais me rabattre sur Ballbreaker qui m'avait l'air plutôt bien balancé et avait ce petit je ne sais quoi !...
Sans parler de la période Bon Scott ou du "c'était mieux avant blahblah", je regrette quand même le côté bluesy des Ballbreaker et Stiff Upper Lip, je crois que je resterai sur ces deux derniers, mais respect éternel au dernier groupe de wokenwol.
Kro passionnante à lire, comme toujours avec l'ami Forlorn.
Après l'écoute des deux titres proposés ça donne furieusement envie de plonger la tête la première dans l'album entier.
Z'ont quand même tous piqué un sacré coup de vieux...ça fait chier, nos idoles ne sont pas éternels et le disque s'en ressent. Après, évidement, AC/DC reste intouchable, mais je crains que la qualité de la tournée s'en ressente. Enfin, quand on parle de tournée, on devrait plutôt parler d'une vingtaine de dates dans des stades de 50 à 80 000 personnes étalées sur 6 mois. Je vois déjà le truc, un stade de France 110€ la place (dont le quart refourgué au black à 1000 boules minimum) et basta.
Donc non merci, je vais rester sur Thunderstruck version live 1992 à fond de balle dans la bagnole...
nos papys se font plaisir en sortant un skeud qui sonne comme tous les précédents. Ca fait plaisir et surtout ça préfigure une tournée plus qu'attendue
Deux - trois bons titres, le reste en auto-pilotage. Plus ou moins même constat depuis 'For Those About To Rock'. J'aimerais que ça se lâche un peu plus par moment.
Un bon disque, je dirais même assez inespéré à ce stade de leur carrière. Ils font ce qu'ils savent faire et le font très bien. On ne va quand même pas craché sur des très bon titres comme "Baptism by fire" ou "Rock the house" (oui j'adore ce titre, un des mes préférés du disque).
Un avis assez partagé sur cet opus, la première moitié du disque est excellente et passe tout seul, la seconde en revanche s'essoufle un peu et est plus banale.
Par contre le groupe a rectifié le tir en allant à l'essentil ce qui n'était pas le cas de "Black Ice" qui s'étirait un peu inutilement.
Pas de chichis, c'est court et efficace, et sans devenir un classique ça reste un album dans leur moyenne, ni + ni -, et puis il faut profiter si ça se trouve ça sera leur dernier opus
La seule critique c'est que c'est un peu court. Mis à part ça, une fois l'album terminé, je n'ai aucun mal à le réécouter, encore et encore. Impossible de critiquer AC/DC.
AC/DC, c'est au delà de la musique.
AC/DC, c'est au delà de l'electricité.
AC/Dc, c'est au delà du son.
Donc on ne touche pas à l'au delà !
C'est dit !