Trop peu d'écoutes pour l'instant, mais il est indéniable qu'il y a une véritable ambiance.
A priori, je suis probablement d'accord pour la longueur de l'album et puis il faut bien dire que la compétition est assez rude cette année avec un Bliss of Flesh de grande classe!
Je vais le creuser le Borgia.
Cette chronique donne bien de se refaire un trip nostalgique avec les Mets. Dire que j'ai usé les bandes des VHS du Liveshit... Allez hop, achat prévu!
Tiens,je l'attendais avec impatience cette chro! Les titres en écoute m'avaient franchement emballés et je me suis longtemps tortillé les poils de la moustache pour commander l'album ou non.
Et voilà que le Prince me passe l'envie d'y goûter...
Faut dire que la même zique avec des thèmes différents et un visuel plus quelconque ne m'aurait sans doute pas accroché autant.
Acheté samedi, visionné dimanche, excellent DVD retraçant au mieux ce superbe concert... je suis d'accord sur un point : les parties de grosse-caisses, en plus d'être bien mises en avant sont overdubées pour la plupart. Il suffit d'écouter la série septolets à la fin de One pour s'en convaincre, surtout que j'y étais et Lars était... comment dirons-nous ? Dans une (très) petite forme...
bien d'accord avec toi l'asti-kro
ca faisait longtemps que j'avais pas efface un album apres seulement une seule ecoute
comme tu dis, de la branlouze qui sert a rien
je soutiens ce groupe, totalement.
Effectivement, il est interdit à ceux qui veulent une musique jouée avec les burnes coincées dans la gorge, ce n'est de toute façon pas le propos d'Appollonia.
ils approchent le "postcore" avec le son et la composition de fans de rock, et très proprement (selon moi, pas fadement) font ici et là dévier leurs sons vers d'autres choses : pop, hadcore, punk, metal, rock.
ce n'est pa sun groupe dit "radical", ou "punitif", mais il n'est pa non plus mielleux. il cherche à se placer entre les deux, à balancer le son en l'approchant d'un extrême puis de l'autre, le tout est très fluide, ça semble hyper facile.
proprement, en somme.
Appollonia est de ceux que je pense peu à écouter, parce que justement, quand je cherche du dissonant, du lourd, etc, je préfère aller vers plus de saleté, vers du plus brut, mais je continue pourtant à soutenir ce groupe, je les trouve excellents musiciens, et nettement plus inspirés, malgré les apparences, que l'énième clone de Cult Of Luna.
C'est étonnant, de mon côté je ne suis pas loin de penser que c'est leur meilleur album ! Et pourtant j'aime énormément les 2 premiers ! Tout d'abord contrairement à Porcupine qui s'est vautré sur The Incident, Transatlantic sait écrire une chanson de 77 minutes qui tient la route, totalement cohérente tout en étant extrêmement variée. Ensuite, je trouve tout simplement çà beau, même si certainement tout n'est pas original, ce qu'ils ont fait me parle ! J'espère qu'ils feront une tournée qui passera par la France .
Sinon pour chipoter, Live in America retraçait la tournée SMTPe et Live in Europe, celle de Bridge across forever.
The stench, grosse perte pour le death que ce split...
Cet album, comme tous les autres, hume le macabre, la joie de vivre et de tuer...
Le son de la guitare a un grain inimitable et cette voix diffère des growls convenus.
Déçu de voir que ce groupe n'a pas eu le succès escompté et que ses albums se fassent de plus en plus rares et chers.
Au contraire, moi, j'aime bien le chant sur cet album ! À ce niveau, ça change des récentes sorties dans un genre similaire comme le dernier Slayer le dernier Kreator...
encore plus énorme que colors !
album apres album ils affinent lour style pour maintentant arriver à qq chose de vraiment abouti - Le coté brouillon des 2/3 1er albums est désormais gommé.
Pas accroché, j'ai pourtant fait des efforts, il se dégage un je ne sais quoi qui me rebute alors que certains passages mériteraient effectivement une ovation. Déçu par l'écoute, va ptêt falloir que je l'écoute plus mais si on doit se forcer...
Nile me saoule grave et pourtant je suis pas contre les groupes qui récitent la même recette au fur et à mesure des albums. Mais là !!!
(mais faut m'excuser, j'ai jamais trouvé que Nile était un groupe exceptionnel de death, juste un trip sympa egyptien qui change des "burn the fucking christians and then put their limbs, if ever some ain't carbonized, to the zombies cause I'm the ruler of Hell Bwiiih bwihh bwi Roargh satan")
Entièrement d'accord avec la kro, à la reception de Blast! j'ai cru à une bonne surprise (pas suivi les news du Rock the nation). Et le trone de Kreator est pas près d'être vacant...
Le chant est chiant et pis c'est tout.
Hein ? A la rigueur qu'on trouve ITDS moins bon que les deux premiers, je veux bien (pour moi Black Seeds est au moins aussi bon qu'ITDS voir meilleur si la production n'était pas aussi médiocre), mais moins bon qu'Ithyphallic qui comporte 3-4 bons (voir excellents, n'en déplaisent à certains) morceaux et le reste de remplissage, mouais...
Un CD qui bute (oui je suis franchement à la bourre) !
Franchement, Ophidian Wheel... Les compos sont sympa mais la prod est quand même un peu (beaucoup) cheap, et pour moi ça ne pardonne pas ce genre de chose chez des groupes + ou - sympho (sans compter que y'a quand même pas mal de passages de gros bourrins de deatheux limite bas de plafond sur Communion... Et ça c'est bon !).
J'ai du mal à accrocher, je sais pas trop pourquoi... Pourtant la voix n'a jamais été aussi bonne. Y'a des compos vraiment énormes, mais aussi du remplissage, comme à chaque fois avec ce groupe quasiment. Je trouve que l'album aurait gagné avec un son plus brut qui colle mieux à la voix de Nick Holmes.
Vu les extraits sur le myspace, aucune surprise au rendez vous... Et tant mieux j'ai envie de dire. Toujours le gros gros son de basse du Pete et tous les ingrédients de la bestiole. En fait ça a l'air mortel, comme d'hab avec Transatlantic.
Je pense vraiment que je vais l'acheter même si les délires mystiques de Neal Morse me prennent la tête.
C'est la comparaison qui me vient sans cesse à l'esprit. Un excellent album, harmonieux et dérangeant en même temps. Il s'écoute en entier du début à la fin, l'intégrité exceptionnelle de cet opus est remarquable (la musique et l'artwork suivant la même lignée).
Je m'interdit de le réécouter parfois - il y a un sort d'addiction qui s'installe, ça fait flipper...