TO LIVEAND TO DIE IN CLISSON
Congelé à 3 heures, cramé de derrière le pare-brise à 8 heures, la ZX n'obtiendra pas sa 4ème étoile. Mais bon, on est pas là pour pioncer (ou pour boire - je ne vise personne hein! Quoique...), donc rien de tel que du mosh au p'tit dej' pour se mettre bien tu vois! Ça se sera fait avec les bovins parisiens de PROVIDENCE, venus avec leur crew, qui balancera son si délicat beatdown entre deux lancers de stickers. Rien à rajouter, c'est du beatdown hé! OUTLAWORDER, EYEHATEGOD version punk/hardcore, se sera révélé plus corrosif que sur CD, même que Mike Williams (en version de combat treillis/bandana/casquette de bidasse), dans un instant de lucidité, nous exhortera à aller castagner les groupies de DAGOBA qui s'installaient sur la scène d'à côté. On aurait bien voulu, mais ils sont plus. Passage express devant DAGOBA, c'est carré, gros son mais ça me parle plus tellement tout ça. Grosse maîtrise scénique en tout cas. ALLSHALLPERISH aura réussi à sur-blinder la Terrorizer Tent, si bien qu'il sera impossible de voir un seul manche vigoureusement branlé à l'horizon. Il est ensuite temps pour Seb On Fire et moi d'aller tailler le bout de gras avec Stephen Bessac, de tes meilleurs amis de KICKBACK, interview sincère et ultra-intéressante, à 1000 lieues des clichés que leurs détracteurs (et même fans) peuvent véhiculer. 3/4 d'heure de conversation qui nous feront louper le début d'HEAVENSHALLBURN, le groupe qui décroît d'albums en albums et le public ne s'y sera pas trompé, favorisant les "vieux tubes" que leurs dernières livraisons. Tandis que Max Cavalera et sa monodread s'obstine à vouloir raviver son glorieux passé, Cobra Commander et moi-même profitons de la dégustation Ricard, ça tombe bien, on connaissait pas. A la base motivé pour IMMOLATION, je décide d'aller plutôt me placer correctement pour le set absolument monstrueux de KICKBACK. Les gimmicks destinés à chauffer les glands font toujours leur petit effet, mais Stephen tiendra à clarifier très justement quelques petites choses en passant, juste avant d'avoir vérifié qu'il était toujours champion du lancer de pied de micro. Intro avec la BO d'Irreversible (Rectum Club represent), prestation über-violente, démonstration d'intégrité (et de gratitude, si, si), pit sous speed et tornades de poussières auront achevé votre serviteur. Les 3/4 de "No Surrender" y seront passés, et notre adrénaline aussi. Là ça va être VISION OF DISORDER, pas la peine de vous faire un report derrière, ça va être la MANDALE. (Crown_Me)
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TO LIVE AND TO DIE IN CLISSON
Congelé à 3 heures, cramé de derrière le pare-brise à 8 heures, la ZX n'obtiendra pas sa 4ème étoile. Mais bon, on est pas là pour pioncer (ou pour boire - je ne vise personne hein! Quoique...), donc rien de tel que du mosh au p'tit dej' pour se mettre bien tu vois! Ça se sera fait avec les bovins parisiens de PROVIDENCE, venus avec leur crew, qui balancera son si délicat beatdown entre deux lancers de stickers. Rien à rajouter, c'est du beatdown hé! OUTLAW ORDER, EYEHATEGOD version punk/hardcore, se sera révélé plus corrosif que sur CD, même que Mike Williams (en version de combat treillis/bandana/casquette de bidasse), dans un instant de lucidité, nous exhortera à aller castagner les groupies de DAGOBA qui s'installaient sur la scène d'à côté. On aurait bien voulu, mais ils sont plus. Passage express devant DAGOBA, c'est carré, gros son mais ça me parle plus tellement tout ça. Grosse maîtrise scénique en tout cas. ALL SHALL PERISH aura réussi à sur-blinder la Terrorizer Tent, si bien qu'il sera impossible de voir un seul manche vigoureusement branlé à l'horizon. Il est ensuite temps pour Seb On Fire et moi d'aller tailler le bout de gras avec Stephen Bessac, de tes meilleurs amis de KICKBACK, interview sincère et ultra-intéressante, à 1000 lieues des clichés que leurs détracteurs (et même fans) peuvent véhiculer. 3/4 d'heure de conversation qui nous feront louper le début d'HEAVEN SHALL BURN, le groupe qui décroît d'albums en albums et le public ne s'y sera pas trompé, favorisant les "vieux tubes" que leurs dernières livraisons. Tandis que Max Cavalera et sa monodread s'obstine à vouloir raviver son glorieux passé, Cobra Commander et moi-même profitons de la dégustation Ricard, ça tombe bien, on connaissait pas. A la base motivé pour IMMOLATION, je décide d'aller plutôt me placer correctement pour le set absolument monstrueux de KICKBACK. Les gimmicks destinés à chauffer les glands font toujours leur petit effet, mais Stephen tiendra à clarifier très justement quelques petites choses en passant, juste avant d'avoir vérifié qu'il était toujours champion du lancer de pied de micro. Intro avec la BO d'Irreversible (Rectum Club represent), prestation über-violente, démonstration d'intégrité (et de gratitude, si, si), pit sous speed et tornades de poussières auront achevé votre serviteur. Les 3/4 de "No Surrender" y seront passés, et notre adrénaline aussi. Là ça va être VISION OF DISORDER, pas la peine de vous faire un report derrière, ça va être la MANDALE. (Crown_Me)