#HELLFEST

Nous vous parlions récemment de la prochaine diffusion d'un documentaire sur le Hellfest, "L'Enfer des Anges", le samedi 13 juin à 15h20 sur France 3 Pays de la Loire et Bretagne. Mais nous, sur VS, on a pu le voir en avant-première mardi 02 juin et au cinéma qui plus est.

On a fait un petit "report" que vous pouvez retrouver dans le détail de la news, ainsi que la bande annonce du documentaire. » Films du Balibari (Velvet Kevorkian)



Samedi 13 juin sera diffusé, sur France 3 Pays de la Loire et Bretagne, un documentaire consacré au Hellfest, « L'Enfer des Anges ». Mais en tant que citoyen de Clisson, nous avons eu l'honneur de pouvoir assister à son avant-première, projetée au cinéma du Connétable, ce mardi 02 juin. Était forcément présent une partie du staff d'Hellfest Productions, le Maire de Clisson et, bien évidemment, les réalisateurs dudit documentaire, Véronique Escolano et Terence Leroy-Beaulieu.

De nombreux reportages ont déjà été consacrés au Hellfest. Plus souvent en mal qu'en bien d'ailleurs. Un festival metal de l'envergure du Hellfest attire forcement les adeptes du sensationnalisme et bien souvent, c'est avec une image négative que ressortent les constats liés au festival. Mais dans le cas de ce documentaire, on est bien loin du « attention aux hordes de satanistes » dont sont friands certaines chaînes de télévision. « L'Enfer des Anges » se veut comme une réelle immersion dans les quotidiens « hellfestiens » de deux Clissonnais.

Ce documentaire nous plonge dans le quotidien de Stéphane, jeune adolescent ayant fait sa découverte du metal avec le Hellfest, et Christine, riveraine chaleureuse et accueillante auprès d'une bande de festivaliers. Il est forcement intéressant d'avoir la vision de deux protagonistes étant continuellement sur place, d'avoir leurs avis, leurs ressentis avant et pendant le festival. Et puis, malgré tout, les images tournées durant le fest' donnent foutrement envie d'y être. Axé sur Clisson et ses habitants, « L'Enfer des Anges » nous montre le Hellfest d'une autre façon, via la vision de citoyen lambda adepte de cette grande fête du metal et qui vivent quotidiennement avec son ombre le reste de l'année.