Interview de L. Chuck D. (chant) - CARNAL LUST par DUNGORPAT - 2218 lectures
"It's A long way to the top" qu'y disaient! CARNAL LUST le sait mieux que personne puisque le groupe a dû faire face à deux changements de musiciens et à la fermeture de son label alors même que les choses commençaient à bouger pour lui. A l'heure de la sortie de leur nouvel album "Dawn Of Hatred", une interview s'imposait afin d'en savoir plus sur ces évènements et les ambitions des parisiens.


Salut les gars ! Bon, je sais que ce genre de question donne l’impression qu’on vous voit comme une bande de branleurs, mais peu de nouvelles étant parvenu jusqu’à nous depuis quelques années, que s’est–il dont passé entre le mini « Rebirth In Hate »
et ce nouvel album « Dawn Of The Hatred » ?
L. Chuck D. : Il est légitime que l'on nous perçoive comme tu viens de le signaler. Et pourtant notre emploi du temps a été plus que chargé pendant cette période, et visiblement nous sommes en train de récolter les fruits de notre patience et nous remercions celle de nos fans. Dans un premier temps, il faut se rappeler que Diamond Prod. ne nous avait laissé que deux mois pour lui livrer un mini prouvant que le groupe s'était bel et bien relevé du départ de son chanteur/bassiste, ce qui fût fait avec « Rebirth in Hate ». Par la suite, la demande de promotion du EP a dépassé nos espérances et nous sommes partis sur les routes pour une série de concerts qui a duré plusieurs mois. Puis nous sommes entrés en studio afin de nous atteler à la composition du successeur officiel de « Whore of Violence », mais dès les premières sessions Death'Met nous a fait part de ses velléités de départ. Toutefois, il a été plus que correct avec nous, puisqu'il a tenu son poste dans tous ses aspects jusqu'à ce que nous lui trouvions un remplaçant. Le monde étant petit, c'est par le biais d'une annonce Internet nous avons recruté Jeff, bassiste avec lequel j'avais déjà partagé la scène au sein de Mortal Remains, il y a maintenant près de 14 ans. Le temps pour lui d'assimiler ce que devait être le futur Carnal, nous avons repris les séances d'écriture. Mais Nils, à son tour, nous a appris qu'il cessait toute activité musicale pour des raisons qui lui sont propres et sur lesquelles je ne m'étendrai pas. Je profite de ce moment pour lui dire qu'il est temps pour lui de remettre le pied à l'étrier, autant de talent ne peut être gâché dans le fond de son home-studio.
Ce qui nous semblait être la meilleure des décisions à ce moment précis de la vie du groupe, s'est avérée être par la suite la plus catastrophique de toutes. En effet, nous nous sommes immédiatement mis à la recherche de son remplaçant. Nous avons vu passer au sein de Carnal une tripotée de gratteux tous plus persuadés les uns que les autres de leur talent respectif. Mais aucun n'a tenu la distance !
Dans cet interstice Jérôme de Diamond Prod. nous a appris la fin de ses activités promotionnelles par la vente pure et simple de son label. Nous étions atterrés, surtout à trois mois de notre entrée prévue en studio, mais notre envie de continuer allait au-delà de ce qui nous semblait être une mauvais passe. J'ai alors pris la deuxième guitare, d'un commun accord avec les autres membres, juste le temps de la composition et du remaniement des titres déjà composés. Pendant ce laps de temps la question pécuniaire s'est évidemment posée. Et lorsque nous avons vu de quelle manière tournaient les sessions de compositions, nous avons pris la décision de totalement nous autoproduire. Le temps de récolter les fonds et de réserver le studio, nous étions fin 2006. L'enregistrement, le mixage et le mastering de l'album se sont étalés sur 4 mois, et ce n'est que mi-2007 que nous avons commencé à démarcher les labels. Malgré plusieurs propositions, nous avons porté notre dévolu sur Thundering Records qui nous a semblé être la structure qui nous ressemblait le plus humainement parlant. Seulement son prévisionnel de sorties étant déjà complet, il nous a fallu patienter jusqu'à aujourd'hui pour voir notre album présenté au public dans les meilleures conditions promotionnelles qui soient.
Comme tu peux donc le remarquer nous n'avons eu aucun temps mort !


Les changements de line-up ne sont jamais évidents dans un groupe, mais parfois ils lui permettent de se relancer, de se mettre un bon coup de pied au cul et de repartir plus motivé que jamais. Qu’en a-t-il été pour vous ?
Personnellement je ne supporte plus les groupes qui dénigrent leurs anciens membres alors qu'ils les portaient aux nues quelques mois auparavant. Nous avons perdu deux musiciens exceptionnels suite aux départs de Nils et Death'Met et je veux que cela se sache. Leurs défections respectives n'ont pas été vécues comme un échec au sein du groupe, mais comme une étape à passer. L'arrivée de Jeff nous est apparue comme étant un soulagement. Il possède toutes les caractéristiques pour être LE bassiste de Carnal Lust. Une main droite phénoménale, des prestations scéniques à vous couper le souffle, une capacité à conclure des morceaux qui sort de l'ordinaire et je n'ai pas assez de superlatif pour qualifier ce côté humain qui le caractérise.
Pour Mike les choses ne se sont pas passées comme on a l'habitude de le voir. En effet, pour palier au manque de soliste sur l'album, nous avions décidé de faire appel à des potes. Nous avons donc pris contact avec Georges K.K. Drowning et Mike de Yorblind afin de complètement assumer le fait que nous unissions sur cette galette brutalité et mélodie. Ils ont tous deux acceptés mais Mike nous avait réservé une petite surprise de fin d'enregistrement. Après avoir réécrit une introduction et retranscrit ses lignes sur bande il nous a proposé d'intégrer le groupe à titre définitif. Pour ne rien te cacher nous n'osions lui demander.
C'est à partir de ce moment-là que nous avons pris ce coup de pied dont tu parles, car nous tenions enfin un line-up où tous les membres étaient volontaires pour aller dans le même sens.


Vous avez sorti deux disques sur Diamond Prod (« Whore Of Violence » et « Rebirth in Hate ») ; comment avez-vous pris la fermeture du label ? Avez-vous des nouvelles de Jérôme ?
Il m'est impossible de répondre concrètement à ta question puisque c'est Ludo qui était en relation avec Jérôme, je lui laisse donc la parole.

Ludo : Disons que cette fermeture était latente, puisqu'à l'époque j'étais en contact quasi permanent avec lui. Il voulait démarrer une autre activité, de la VPC online (METALWEAR.fr pour être exact), activité qu'il a toujours d'ailleurs.


Il y a une évolution évidente sur « Dawn Of The Hatred » vers plus de mélodies.
Est-ce pour cette raison que le titre de l'album, tout en conservant la touche de violence qui vous caractérise, met l'accent sur une sorte d' « apaisement » avec cette idée de crépuscule de la violence ?
L. Chuck D. : Le titre de l'album est à l'image de cette évolution. Il n'est en aucun cas l'icône d'un quelconque apaisement, mais le reflet d'une nouvelle ère pour Carnal Lust. Nous ne sommes pas au crépuscule de la violence, mais à l'aube de la haine. Nous nous plaçons à l'aurore d'un nouveau règne, celle qui nous permettra de nous hisser jusqu'à notre Zénith. Nous étions revenus haineux à souhait lors de notre EP, et cette inimitié n'est aujourd'hui que décuplée par notre cohésion. Alors oui nous sommes dans une ascension au reflet de notre LP !


Même si on trouve effectivement plus de mélodies, comme je viens de l’évoquer, notamment un chant clair, l’ambiance générale est tout de même particulièrement guerrière !
Cherchiez-vous à aérer un peu les compos et faire quelque chose de plus accessible tout en conservant une bonne dose de brutalité ?
Chez Carnal Lust rien n'est réfléchi dans le sens où tu l'écris. Nous nous sentons plus exactement au service de notre musique plutôt que dans la réflexion nous permettant d'être plus accessible. Si tel était le cas nous aurions quitté le giron du Death Metal pour partir vers des contrées Metalcore de bon augure pour les ventes d'un disque. Nous sommes extrêmement fiers de notre dernier rejeton, puisque même selon Ludo, il représente mieux aujourd'hui ce qu'il attendait de Carnal Lust lorsqu'il l'a formé. Dès les premières compos lancées sur le tapis nous nous sommes très vite rendus compte que nous étions sur la bonne voie. Le prochain album devrait enfoncer le clou de cette dualité complémentaire entre le brutal et le mélodique. Mais en y réfléchissant bien, je ne suis pas sûr que l'on ait changé autant que l'on veut bien le faire entendre. Je me souviens effectivement de morceaux comme « Crestfallen » sur Prepare your Soul, « Messiah » sur Whore of Violence ou encore « Soulless Man » sur Rebirth in Hate qui n'auraient probablement pas dépareillé sur Dawn of the Hatred.
Comme quoi cet aspect de notre musique a toujours été présent sur nos enregistrements, il a simplement été bonifié sur notre dernière production !


Sur le morceau « Humanitie’s Annihilation », il y a un montage d’un discours de George W. Bush et d’Adolf Hitler… Le rapprochement est un peu caricatural non ?
On peut certes craindre ce dont Bush aurait été capable s'il avait bénéficié des mêmes circonstances favorables dont a bénéficié Hitler mais cette intro me semble cliché au regard de vos paroles et de la réflexion qu'il y a derrière l'album… Le but était-il de véhiculer rapidement et simplement vos sentiments vis-à-vis de ce qui se passe actuellement ?
Tu as entièrement raison de définir ce montage comme étant clichesque. Mais nous savons qu'une frange non négligeable de notre public ne s'intéresse que modérément aux textes que nous pouvons écrire. Comment alors lui faire part du message que nous avons véhiculer dans nos écrits, et l'amener à les lire ?
La réponse est sans fioritures, elle se veut être directe telle une évidence adressée à la face du monde, comme l'est cette intro.
Nous sommes parfaitement conscients du côté caricatural de cet interstice, mais toutefois de réelles questions restent en suspend. A notre connaissance personne n'avait encore osé utiliser un tel collage de discours.
Comment alors expliquer ce côté cliché qui semble transpercer les enceintes lors de la première écoute ?
Ne crois tu pas que c'est par le simple fait que ce montage est clairement naturel ?
La forme est différente, les lieux et les armes sont également différents, mais qu'en est-il du fond ?
Comment alors expliquer cette redondance historique, ce bégaiement chronologique, cette faille temporelle ?
Sommes-nous alors réellement clichesques, ou est-ce l'homme qui est arrivé au paroxysme de l'oubli ?
Et dans tous ces méandres ne serions-nous pas à l'image du reflet laissé dans le miroir de la chronologie ?


La reprise des CURE qui clôt l’album est très surprenante, parce qu’elle s’intègre naturellement aux autres morceaux, en tout cas beaucoup plus naturellement qu’on aurait pu le penser !
Comment vous est venue cette idée ? Y a-t-il des fans de CURE et/ou de new wave parmi vous ?
Oui et définitivement Oui je suis un fan de New Wave et cela ne m'a jamais semblé être incompatible avec le fait d'être un descendant du Death Metal. Alors imagine ma joie et ma surprise lorsque Ludo est arrivé en répétition en nous proposant d'effectuer une cover d'un des groupes phares de ce mouvement. Le choix du morceau s'est porté sur "Fascination Street" mais il aurait pu en être de même avec la quasi intégralité de la discographie de Robert Smith (Siouxie and the Banshies compris). Nos deux mouvements ne sont pas aussi éloignés que pourrait le laisser penser le premier abord. Une simple transposition nous a permis d'arriver au résultat que tu as entendu sur l'album. J'attire même ton attention sur le fait que nous n'avons même pas changé le tempo originel. Nos deux styles sont si proches que je rêverais de voir un jour un groupe de Cold Wave nous rendre la pareille.
Advienne que pourra !


La production de l’album est très propre, presque trop à mon goût : on perd le côté crade de « Whore Of Violence », même si cela met en valeur les influences thrash. Vous désiriez aller dans cette direction ?
L'évolution d'un groupe s'accompagne logiquement d'une professionnalisation de ce dernier. Est-il réellement nécessaire d'être crade pour être légitime dans sa démarche ?
Pour nous ce débat est d'un autre temps !
Nous avons voulu que la production soit à l'image du groupe.
Le côté crasseux de Carnal Lust est resté sur le bas côté de la route avec Nickro.
Nous ne renions en aucun cette période mais elle est désormais révolue et il va falloir s'y faire.
Ainsi que les seules influences dont nous nous sommes laissés pénétrer sont celles des compositeurs qui évoluent dans le groupe. Nous n'avons en aucun cas voulu, de manière volontaire, laisser transparaître des ascendants particuliers. Si les éléments Thrash, Death et Mélodique sont plus évidents sur cette galette c'est que tout ceci fait partie intégrante de notre style depuis bien longtemps.
Et c'est bien la clarté de la production qui les laisse aujourd'hui éclater au grand jour.
Comme quoi le professionnalisme a du bon !


L’artwork est réussi, à la fois esthétique et glauque… mais que représente-t-il ? Une trachée en putréfaction ?
Comment expliquer l'art pour l'art ?
Stéphane de Ess Graphic (http://www.myspace.com/thesecondworld) a véritablement compris ce que nous voulions retrouver en terme d'imagerie. Tout le concept de cet album est basé sur l'effet miroir et la dualité. En y regardant de plus près, tu retrouveras ces deux thèmes réunis sur la pochette, mais en aucun cas nous ne dirons ce qu'elle représente réellement graphiquement. Chacun est en droit d'y voir ce qui le perturbe. Pour toi, il s'agit d'une trachée en putréfaction, si je te disais ce que d'autres peuvent y voir tu serais surpris.


Nous avons brièvement évoqué les textes de l’album tout à l’heure ; pouvez-vous nous éclairer sur les sujets de prédilection de CARNAL LUST ?
Cet enregistrement n'est pas à proprement parlé un concept-album. Mais il est traversé par une pensée forte. Le prophète Amos a écrit sur l'Ancien Testament que si Dieu avait conçu l'homme à son image, il ne pouvait être à l'origine du Diable. Dans le même temps, il explique la dualité caractérielle de chacun d'entre nous par le fait que nous sommes effectivement l'effet miroir de Dieu. Le Tout et son Contraire. La bête et l'anti-bête. Le 666 et le 999. Et il en conclut que le Diable n'est que l'effet miroir de Dieu, son autre Moi. Nous avons donc composé 5 paires de brûlots ce qui explique la présence de dix morceaux. Chaque titre à son reflet sur l'album comme "Psychosis" et "Dawn of the Hatred" ou encore "1139" et "1140".
Le sujet de prédilection de nos écrits est donc assez simple dans son fondement, il s'agit de ce dédoublement de personnalité qui sommeille en chaque être humain.
Certains dans le courant de l'Histoire arrivant à maîtriser leur double et d'autres non !


Je n’ai pas eu les textes avec la version promo de l’album et je me demande à quoi peuvent bien correspondre les nombres 1139 et 1140 qui sont les titres des huitième et neuvième plage ?
Il s'agit en fait de dates. En 1139 la papauté était sous l'égide d'un Pape qui portait à la perfection son patronyme « Innocent II ». Ce dernier étant incapable de prendre la moindre décision, c'est son mentor Latran qui gérait réellement le Vatican. Cette même année ce dernier décida lors d'un concile le célibat des prêtres et des représentants du clergé. Il donna à tous une date butoir au-delà de laquelle il provoquerait, selon ses dires, la séparation.
A la fin de ce pseudo ultimatum, il mit en place le premier génocide entre catholiques. Il décima femmes et enfants des représentants cléricaux par la torture tout en confortant ces mêmes émissaires dans leurs fonctions respectives. Une partie de ces prêtres ont alors fait acte d'allégeance au Prince des Ténèbres. Ils continuaient leurs messes dominicales tout en se glissant dans l'aube noire une fois la nuit tombée. C'est donc bien une décision ecclésiastique qui est à l'origine de la création de toute une frange de l'Eglise Noire.


Est-ce que les voix claires sont chantées par L. Chuck D. ? Si oui, t’as-t-il demandé beaucoup de travail ? Est-ce une voie que vous compter explorer à nouveau ?
Je te confirme que ces voix sont bien de mon ressort. Je ne crois pas que beaucoup de travail soit le juste terme, mais un travail différent, oui, complètement. J'avais déjà chanté comme cela dans un passé finalement pas si lointain que ça, mais je n'avais jamais enregistré ce type de texture. Je me suis en fait retrouvé comme un novice tâtonnant afin de trouver la technique permettant la prise. Bien que tout ceci fût fort intéressant, il est trop tôt pour dire si les prochaines compositions appelleront ce type de voix. Comme je te le disais plus haut nous restons au service de notre création et bien que les textes du prochain rejeton soient complètement finalisés il serait précipité d'affirmer que l'ambiance générale de l'album demandera du chant « clair » !


L’album comprend une plage multimédia sur laquelle on trouve un clip et un petit « Making Of », une bonne idée quand on voit maintenant le nombre de groupes/labels proposant cela sur un DVD bonus pour 3 ou 4 euros de plus que la version « normale »…
Etait-ce une sorte de cadeau à vos fans, qui vous attendaient depuis quatre ans ?
Encore une fois tu as vu juste !
La fidélité de nos fans pendant nos 4 ans d'absence se devait d'être remerciée. Nous avons trouvé ce biais pour leur faire part de notre gratitude. Et pour tout te dire nous espérons faire mieux encore la prochaine fois.


L’expérience de la reprise de CURE vous a-t-elle donné envie d’aller plus loin et de peut-être faire un mini album (ou un album entier) de reprises inattendues ?
Je ne vais pas me dénigrer en quelques lignes en affirmant l'inverse de ce que je t'ai déjà dit.
Oui, cette expérience fut plus qu'agréable, faut-il pour autant lui donner une suite ?
Et même si tel était le cas, faudrait-il le dire lors d'une interview ce qui gâcherait complètement le côté inattendu ?
Je suis, par contre, certain que le prochain album te donnera des éléments de réponse.


Maintenant que l’album est sorti, êtes-vous à la recherche de dates pour tourner un maximum et montrer à tout le monde que vous êtes toujours bien vivants ?
Carnal Lust est vivant et bien vivant. Bien entendu que nous sommes à la recherche de dates partout en France et à l'étranger. Notre signature chez Berkano Management (http://www.myspace.com/berkanomanagement ) devrait nous apporter notre lot de manifestations. De plus, notre contrat de partenariat signé avec une très grande marque d'instruments (http://www.my-music.fr) devrait nous emmener vers une agression sonore supplémentaire lors de nos prestations scéniques.
Tous les organismes de concert et/ou de festival peuvent donc prendre contact avec notre manager afin de créer ensemble un événement.


Merci à vous pour ces réponses ! Bonne continuation, je vous laisse le mot de la fin (pub, coup de gueule, blague vaseuse… ces quelques lignes sont à vous !)
Je finirai par un coup de gueule comme tu m'invites à la faire.
Si vous désirez terminer avec un seul genre cinématographique, un seul type de lecture de la bibliothèque consommable du TGV ou si encore votre désir est de ne plus entendre que le futur 12ième album de Madonna, continuez à télécharger et à tuer votre style de prédilection, vous êtes sur la bonne voie.
Par contre si les mots Metal et consorts résonnent encore en vous, achetez les albums !


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