Aaron - NECHOCHWEN par TARGHOST & YOUPIMATIN - 4950 lectures
Aaron Carey, leader engagé de NECHOCHWEN et accessoirement passionné par l'histoire de ses ancêtres amérindiens est un personnage fascinant. Intarissable sur la culture et le mode de vie de ces tribus est-américaines, le bougre est également un redoutable pourvoyeur de riffs hauts en couleurs avec sa six-cordes. Il revient pour VS sur la conception du quatrième et dernier album du groupe, "Heart of Akamon", incarnation musicale des esprits des grands anciens mais aussi sur ce lien qui l'unit à ces différents peuples...


"Heart of Akamon" vient de voir le jour il y a quelques semaines... quelles sont les principales réactions que vous avez reçu à son sujet ? Avez-vous vous pu jouer ces nouveaux titres en live ?
Les réactions sont incroyables, pas seulement sur la musique à proprement parler mais aussi pour les sujets historiques qui y sont associés. Ce qui me surprend le plus d'ailleurs c'est l'origine géographique de ces retours… je suis ravi de constater que notre musique dépasse les frontières des États-Unis ! A vrai dire, beaucoup de personnes découvrent NECHOCHWEN avec ''Heart of Akamon'' alors qu'il s'agit déjà de notre quatrième album. Quant aux fans qui nous suivent depuis quelques temps, la réaction la plus fréquente que nous obtenons est que cet album est à n'en point douter le plus heavy mais aussi le plus abouti : voilà un beau compliment !

Pour ce qui est de défendre ''Heart of Akamon'' en live, d'une manière générale, nous n'avons pas beaucoup d'opportunités de tourner. Et ce n'est pas forcément prévu dans les prochaines semaines. La plupart du temps, nous préférons consacrer notre temps à composer, créer, peut-être est-ce le format duo de NECHOCHWEN qui fait qu'il n'est pas le plus adapté pour retranscrire les morceaux… nous avons cependant déjà joué ''The impending winter'' en avant-première lors d'un concert donné fin 2014 dans le Minnesota.


NECHOCHWEN est assez unique au sein de la scène metal, principalement de par les thèmes qu’il aborde dans sa discographie. A ma connaissance seul le regretté GYIBAAW traitait le sujet des Amérindiens dans ses textes. Quand et comment as-tu eu ce “coup de foudre” pour les tribus des Indiens d’Amérique ?
Je ne connais pas GYIBAAW, en revanche, il existe un groupe de death-metal résidant en Pennsylvanie appelé MI'GAUSS qui évoque les vieilles légendes qui circulent au sujet des Algonquins (communauté d'Indiens vivant au Québec et dans l'Ontario). Si je ne m'abuse, ce sont des membres de ROTTREVORE et FUNERUS qui en sont à l'origine. Je pense aussi à WOCCON, qui aborde également des thèmes similaires dans sa musique, bien que celle-ci penche plus vers le doom/death.

Pour en revenir à cette passion pour les tribus d'Indiens d'Amérique, celle-ci m'a été transmise par certains membres de ma famille. Pour être honnête, je n'y prêtais que bien peu d'attention jusqu'à ce que je fête mes douze ans, et par-là même découvre de nombreux ouvrages sur certaines tribus tels les Shawnee, Miami ou les Seneca. Ces livres m'ont ouvert les yeux sur leurs cultures et leurs histoires, c'est alors que j'ai commencé à poser de nombreuses questions à ma mère et mes grand-parents sur l'héritage culturel de nos ancêtres. Bien entendu, ils n'avaient pas toujours de réponses précises à m'apporter cependant ma grand-mère était peut-être la dernière à respecter certaines traditions ancestrales et mon grand-père était reconnu dans la région comme un chasseur et pêcheur émérite. Voilà qui à mes yeux valait toutes les explications du monde !

Les Indiens d'Amérique ont une histoire chaotique, le gouvernement des États-Unis a forcé à l'exode de nombreuses tribus à l'ouest de la rivière Mississippi dans les années 1830. Ces gens se sont alors assimilés à la culture blanche et leurs langues et modes de vie ont commencé à disparaître lentement, rendant l'exercice des traditions comme un véritable défi. Depuis quelques temps, il y a une véritable résurgence de l'apprentissage et de la transmission de ces traditions, cela est certainement dû au fait que de nombreux citoyens originaires de la Virginie de l'Ouest sont des Shawnee, Cherokee, Seneca ou encore des descendants des Lenape. Quelques festivals ont lieu d'ailleurs chaque année dans la région, à proximité des sites archéologiques où cette culture est explorée et l'environnement préservé.

Cela fait maintenant 25 ans que j'étudie avec le souci du détail l'arbre généalogique de ma famille et des cultures autochtones, c'est une passion dévorante qui fait partie intégrante de mon quotidien.


Justement, dans un pays aussi moderne que les États-Unis, est-il facile de vivre et pratiquer cet héritage au quotidien ?
Cet héritage culturel constitue une partie importante de ma vie. Je n'aime pas le mode de vie que l'on essaie de nous imposer, où il faut faire les choses vite et bien, sans prendre le temps de réfléchir. Cet état d'esprit ne m'intéresse pas, c'est pourquoi j'essaie de trouver des alternatives dans ma façon de faire les choses. Heureusement, l'État dans lequel je vis, la Virginie Occidentale, est vraiment différent des grandes agglomérations du pays. C'est une région très rurale et la connexion que nous développons ici avec la nature et les forêts est une chose fondamentale dans notre manière de vivre. Même dans le nord de l'État, où je réside actuellement (qui se situe à environ 50 kilomètres de Pittsburgh), les traditions sont encore au cœur de nos préoccupations quotidiennes : la chasse, la pêche, l'élevage et le jardinage sont extrêmement populaires. J'apprécie chacune de ces activités et j'essaie de les pratiquer en accord avec les préceptes des tribus Shawnee. Il est intéressant de voir que l'on trouve encore dans la région des zones de gestion des ressources fauniques, des ruisseaux, des rivières. Et par dessus tout un sol très fertile qui permet de comprendre pourquoi cette terre a été si vénérée par nos ancêtres depuis des centaines d'années.

A titre personnel, j'essaie de me rendre autant que possible dans les vastes forêts environnantes, pas uniquement pour m'y ressourcer mais aussi pour y pratiquer des célébrations. J'ai la chance de maîtriser les rudiments du langage algonquien qui me permettent de mener à bien certains rituels comme la cérémonie du feu ou celle des offrandes à la mémoire des anciens, comme le pratiquent encore les tribus Shawnee et Lepape. Écrire de la musique pour NECHOCHWEN n'est au final qu'une façon parmi d'autres pour moi de faire perdurer cet art de vivre.


Revenons à “Heart of Akamon”, qui fait la part belle aux parties folk et acoustiques. Peux-tu nous en dire plus sur les instruments traditionnels que tu as utilisés sur l’album ?
Avec plaisir ! J'ai joué de la flûte amérindienne à six trous accordé en F# sur ''October 6, 1813'' et ''Kišelamakong''. Celle-ci est d'une qualité supérieure à celle de la flûte de cèdre j'avais choisi sur les deux albums précédents, elle propose des sons d'une plus grande précision et surtout, elle demande moins d'efforts à l'usage. Vous pouvez également entendre des ''Lalawas'', qui est le mot utilisé par les tribus Shawnee pour décrire une sorte de hochet. C'est un instrument vraiment à part, extrêmement puissant, qui apporte une dynamique unique au morceau ''The impending winter'' par exemple.


Pouvez-vous nous expliquer comment vous avez réussi à avoir un de vos albums exposé au Musée des Amérindiens du Comté de Brooke (Virginie-Occidentale) ?
Un ami a donné le EP "Oto" à la conservatrice sans m'en avertir. Elle a été impressionnée par la représentation de l'histoire et de la culture, et surtout par le morceau "Haniipi-miisi (Elm Tree)". J'ai composé ce morceau à propos d'un orme du Comté de Brooke qui est le plus grand à l'est du Mississippi. Il a près de 400 ans. La conservatrice, ayant ressenti que le disque faisait partie de l'histoire et de la culture locale, l'a placé dans la section Amérindienne du Musée.


J'ai lu que vous formiez une sorte de collectif désireux d'explorer l'héritage des Indiens des forêts de l'Est de l'Amérique du Nord. Pouvez-vous nous expliquer ce que cela implique pour nous autres Européens ?
En effet, c'est bien vrai. J'ai reçu un contrat discographique venant du label Dark Horizon Records en 2004/2005 pour sortir un album de Classical/Dark Folk. J'ai réfléchi à ça un moment avant d'acheter une guitare folk japonaise qui est depuis devenue la signature sonore de tous nos albums. J'avais des mélodies en tête comme ''Algonkian Mythos'' que j'ai arrangé pour 3 guitares et qui a même été joué à la fac par un groupe d'étudiants. J'ai expérimenté avec de l'orgue et de la guitare slide, des accordages obscurs et un E-Bow (Ndlr : archet électronique utilisé par exemple dans Agalloch sur le titre "Limbs") ; tout ce matériel semblait coller ensemble et représenter ainsi l'atmosphère de la guerre franco-indienne (ou guerre du Haut Midwest) ainsi que l'histoire locale indienne et la généalogie que j'étudiais alors depuis des années. J'ai voulu connecter ça à d'autres personnes qui auraient pu être intéressées pour apprendre ces choses-là avec moi ou partager des choses que je ne savais pas. Je pensais que mon auditoire serait restreint mais je me trompais.

Voici comment et pourquoi a été réalisé "Algonkian Mythos", notre premier album. Ça incluait un bref synopsis de l'album et nous avons continué à le faire pour chacun de nos albums suivants, bien que notre style musical ait évolué durant les années. Il y tellement à écrire à ce sujet que je ne sais pas pourquoi on devrait écrire sur autre chose.


Vos pseudos (Pohonasin et Nechochwen) sont-ils en rapport avec Akamon ou des choses sacrées ?
Je porte ce pseudo (Nechochwen) depuis que j'ai 14 ans et je l'ai utilisé comme mon nom pour le premier groupe dans lequel j'ai joué (DETHRONED) puis plus tard, dans le groupe de Black Metal HARVIST. Les noms d'usage sont comme les autres noms et peuvent être remplacés par des surnoms. Mais quand on vient à parler des choses sacrées, je le considère comme mon nom et non juste un surnom. En d'autres termes, je suis connu sous ce nom également en dehors du cercle musical. Quand Pohonasin est impliqué dans la création musicale ou fait des choses sacrées en dehors de la musique (je ne peux pas parler en son nom à propos de ses croyances personnelles, c'est à lui de le faire), il est connu aussi sous ce nom. Ce sont des noms qui signifient beaucoup pour nous, spécifiques à nos modes de vie connectés aux anciennes traditions.


Revenons sur la pochette de cet album. Quelle est l'origine de cette peinture, quelle histoire raconte-t-elle ?
Cette peinture est connu sous le nom de "La défaite du Général Braddock", elle a été peinte par Edwin Willard Deming. En 1903, la Société Historique du Wisconsin lui a commandé une illustration de la défaite de Braddock (connue également sous le nom la bataille de Monongahela) qui eu lieu près de Pittsburgh le 9 juillet 1755 durant la guerre franco-indienne. Il y a pas mal de d'illustrations sur cette bataille mais celle-ci résume parfaitement le feeling présent sur l'album. Nous avons directement demandé la permission de l'utiliser à la Société Historique du Wisconsin.

Cette bataille a été une victoire décisive remontant ainsi le moral des troupes franco-indiennes contre l'envahisseur anglais. Habituellement, une victoire indienne est historiquement associée au terme "massacre" mais celle-ci fut une exception. Nous aimions beaucoup la perspective de la peinture : ce n'est pas seulement une description générale de la bataille mais cela décrit bien le moment où Braddock, tombant de cheval, donne son nom au tableau. Derrière le cheval, tenant ses rênes, se tient le jeune George Washington, alors major dans l'armée du général Braddock. Il y a une incroyable ironie dans cette image vu que Washington est plus connu pour avoir battu les généraux anglais durant sa carrière militaire, qui le mena à la présidence, que de ne pas les avoir défendus. Il y a également une autre ironie : on voit ici Washington se battre contre des Français alors que plus tard, son plus grand allié sera le Marquis de Lafayette ! Voici peut-être la raison pour laquelle les gens trouvent l'histoire américaine si compliquée ; en 20 ans, les alliances et la dynamique politique des frontières américaines entre la guerre franco-indienne et la Révolution étaient très complexes. On en parle d'ailleurs dans ''Traversing the Shades of Death''.

25 ans plus tard, la guerre de 1812 a mené à de nouvelles alliances qui ont conduit à la bataille de Thames et la mort de Tecumseh, que l'on évoque sur le morceau ''October 6th, 1813''. On ne peut pas faire plus américain que cette peinture !


Finalement, qu'est-ce que le cœur d'Akamon ?
Aka est un mot qui veut dire "précurseur". Akamon, c'est l'endroit originel, la Nature Vierge. Basiquement, ça veut dire "le cœur de la Nature originelle", ça aurait pu être un titre tout aussi cool mais on a préféré utiliser une expression ancestrale pour démontrer que nous faisons de la musique basée sur cette notion.


A propos du morceau final, "Kiselamakong", vous dites qu'il a été inspiré par une journée passée dans la nature, au son d’une escapade forestière, afin de vivre une reconnexion avec le passé. Quelle place occupe ces forêts dans votre quotidien ?
Nos vies sont réglées comme du papier à musique, chaque minute se doit d'être remplie, aucune place n'est accordée pour ralentir le rythme et ainsi tromper nos habitudes. Andrew, par exemple, travaille à temps plein dans un magasin de tatouage, c'est un producteur très actif, il joue de la batterie pour OBSEQUIAE et part en tournée avec BRIMSTONE COVEN. Il est très occupé. Lui comme moi avons malgré tout choisi de prendre du temps pour se ressourcer dans la nature, à camper et rendre grâce à nos ancêtres, octroyer à nos esprits de la bande passante pour, au final, renouer en profondeur avec la nature et nous-mêmes. Je me souviens que lorsque nous avions terminé l'enregistrement de l'album précédent, ''Oto'', nous avons eu l'occasion de passer une journée dans l'Ohio au sommet d'une montagne. Cette journée nous a apporté un bien-être intérieur intense, à vivre un moment unique sans le confort de la vie moderne et ainsi imaginer une nouvelle perspective de nos vies quotidiennes. Vous pouvez d'ailleurs voir une photo de cet endroit sur la bannière de notre page Facebook.

Il est très facile de tomber dans la routine et d'oublier de se ''reconnecter'' avec son existence profonde. ''Kišelamakong'' aurait pu d'ailleurs être le titre de l'album mais celui que nous avons choisi, ''Heart of Akamon'', est un rappel qui nous incite à prendre le temps nécessaire pour se ressourcer, pour que les choses soient en harmonie autour de nous. A titre personnel, je ne peux vivre cette reconnexion que d'une façon : en étant au cœur de ces forêts. Il m'est impossible de ressentir cela à l'intérieur d'une maison moderne ou coincé dans un centre-ville bondé entre deux immeubles sans âme.


Tu évoques souvent la nature et ses bienfaits. Mais peux-tu nous parler aussi du sujet de l'extraction du charbon, tradition très ancrée localement comme c'est le cas dans l'état voisin du Kentucky ?
Ce désastre écologique de l'extraction du charbon est une triste réalité en Virginie Occidentale comme dans d'autres États limitrophes. De nombreuses mines sont encore en activité ici mais c'est surtout l'exploitation de celles situées à flanc de montagne qui est lourde de conséquences. Certaines d'entre elles, dans la vallée de la rivière Ohio, ont été tout simplement rasées pour éviter que les rochers qui les surplombent ne tombent sur les voitures voyageant sur les routes le long de la rivière. Les rejets de l'exploitation du charbon dans les montagnes prennent aussi de nombreuses formes qui impactent notre quotidien. Celles-ci contaminent l'eau, élèvent les taux de cancer, détruisent les habitats de la faune sauvage et dégradent la situation écologique mais aussi économique, avec des conséquences réelles sur l'emploi, dans toute la région des Appalaches.

De nombreux combats sont menés contre cette technique d'extraction minière, mais pour être sincère, je pense que la majorité des gens qui vivent ici ne sont pas conscients des conséquences de celle-ci sur leur vie au quotidien. Et c'est malheureusement normal puisqu'ils comptent sur l'industrie du charbon pour gagner leur vie et subvenir aux besoins de leurs familles. Triste réalité...

Austin Lunn de PANOPTICON parle également de ce sujet avec beaucoup de justesse et de réalisme sur l'album "Kentucky".


Parlons d'un sujet plus positif, tu joues également dans FOREST OF SOUL et ANGELRUST avec Andrew, peux-tu nous en dire plus sur ces formations ?
C'est exact ! mais j'ai avant tout enregistré un album de guitare classique il y a près de dix ans maintenant et je suis en pleine composition d'un second effort qui me permettra de récolter des fonds pour un centre local de traitement du cancer. Quant à FOREST OF THE SOUL, ce projet est le résultat de nos idées acoustiques qui s'accumulent au fil des années. Nous n'avons rien sorti depuis quatre ans, le groupe est en sommeil pour le moment. Quant à ANGELRUST, il s'agit d'un défouloir dans lequel Andrew et moi-même avons joué pendant quelques années il y a bien longtemps, celui-ci a splitté depuis. Nous avons monté récemment deux formations de death metal sur Eihwaz Recordings, INFIRMARY et UNWILLING FLESH, et comme nous n'en avons jamais assez, COLDFELLS est sorti de nos esprits avec la seule volonté de composer un doom très atmosphérique et obscur.
Cerise sur le gâteau, Andrew joue également dans un groupe nommé BRIMSTONE COVEN signé chez Metal Blade et joue de la batterie pour OBSEQUIAE. Et comme on est jamais mieux servi que par soi-même, je fais de la guitare classique dans un projet de black metal appelé HOOF AND HORN avec Andrew et sa petite amie.

Dernière confidence, j'ai posé quelques vocalises sur le premier album d'un groupe de black metal originaire d'Athènes, END. Comme vous pouvez le constater, l'ennui et l'inactivité ne sont pas au programme. Enfin pas encore…


C’est le moins que l’on puisse dire ! Au fait, que sais-tu de la scène métal française?
A vrai dire, je ne connais pas grand-chose de votre patrimoine métallique si ce n'est quelques groupes talentueux comme DEATHSPELL OMEGA, ARKHON INFAUSTUS et ALCEST mais en dehors de cela, je dois t'avouer que c'est à peu près tout. La tendance devrait bientôt s'inverser puisque notre récente signature avec la label Nordvis nous permet de toucher de nombreux pays d'Europe qui nous étaient encore méconnus. Nous profitons donc de cette opportunité pour en savoir un peu plus à chaque fois sur leur histoire et traditions tout comme leurs scènes musicales.


Merci encore pour le temps que tu as pris pour répondre à nos questions, ces derniers mots seront pour toi, Aaron…
Merci beaucoup pour cette interview qui nous permet de mieux faire connaître NECHOCHWEN auprès du public français. Nous vous souhaitons le meilleur pour la suite et si vous souhaitez en savoir plus sur notre actualité, n'hésitez pas à nous rendre une petite visite sur www.nechochwen.com.

Je profite également de cette interview pour vous vous dire que nos cœurs et pensées sont avec tous vos compatriotes suite à la terrible tragédie qui a endeuillé votre pays il y a quelques semaines. Soyez assurés du plus profond soutien et de toute la sympathie du peuple américain.

''Au revoir''


Auteur
Commentaire
Ivan Grozny
Membre enregistré
Posté le: 09/12/2015 à 13h26 - (1824)
Excellent entretien les amis. Quant au dernier album «Heart of Akamon» découvert il y a quelques jours seulement, il est absolument superbe.



Dimechag
IP:95.141.97.226
Invité
Posté le: 09/12/2015 à 14h13 - (1825)
Des passionnés ces gens, je suis pas fan de ce que j'en ai écouté (vite fait), je vais retenter l'aventure.


Moshimosher
Membre enregistré
Posté le: 09/12/2015 à 19h37 - (1826)
Bon, comme je m'y attendais, une interview très intéressante qui nous permet de faire plus ample connaissance avec un musicien très sympathique ! Merci Targhost et Youpimatin ! :)

Et leur dernier album est un vrai bijou ! Vivement que je puisse me procurer le reste de leur discographie ! :)



Humungus
Membre enregistré
Posté le: 09/12/2015 à 20h41 - (1827)
Superbe interview les gars...
Ca change de certaines qui sont d'un convenu comme c'est pas possible de le dire...
Je vais de ce pas m'intéresser à ce groupe car leur passion m'a réellement parlé.

PS : "Intarissable sur la culture et le mode de vie de ces tribus ouest-américaines".
"Est-américaines" plutôt.
Je sais, je chipote, mais du coup, par cette simple erreur, j'ai eu du mal à comprendre tout le début de l'ITW...

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