SAS - ARGILE par VSGREG - 3200 lectures
Titre de l'album :
L'idée de départ d'Argile a été de lancer la production de 2 albums de Doom d'un seul bloc (même si nous avons mis 8 années à terminer le second album volet). C'est un gros pavé monolithique de plus de 96 minutes que forment « The Monotonous Moment of a Monologue, Monumental Monolith »…c'est même les paroles de la chanson. Ce titre est une définition de la musique contenue dans l'album : nostalgique, ténébreuse, mélancolique, grandiose et massive.
L'idée de départ d'Argile a été de lancer la production de 2 albums de Doom d'un seul bloc (même si nous avons mis 8 années à terminer le second album volet). C'est un gros pavé monolithique de plus de 96 minutes que forment « The Monotonous Moment of a Monologue, Monumental Monolith »…c'est même les paroles de la chanson. Ce titre est une définition de la musique contenue dans l'album : nostalgique, ténébreuse, mélancolique, grandiose et massive.
Les pochettes des deux albums sont très intimes. Ce sont toutes les deux des photos du souterrain dans lequel nous jouions à nous faire peur avec mes grand-frères lors de mon enfance en Picardie. Les photos des Covers des deux albums ont été shootées par mon frère cadet durant la fin des années 80. A l'intérieur on retrouve aussi une partie du visage, la bouche et les yeux de ma grand-mère paternelle photographiée dans les années 30. Les photos du groupe ont été réalisées par la pétillante Khyrian. L'artwork est magnifique, effectivement nous avons travaillé en osmose avec notre graphiste Séverine Foujanet, nous sommes très satisfaits du résultat.
Production / Studio :
Nous voulions un album 100% enregistré Live et tout acoustique (sans aucun synthé, programmation ou simulation). Nous avions entamé cette démarche avec « IrremeDIABLE » de Misanthrope en 2007. Cette fois nous sommes allés plus loin car nous avons eu la chance de pouvoir tout enregistrer aux luxueux Studios Davout de Paris grâce à notre producteur Fernando Pereira Lopes. L'enregistrement s'est effectué sur une console NEVE VR60 FlyingFader. La plupart des albums de Doom Dark sont « raides», sur « Monumental Monolith » vous allez entendre un groove basse-batterie inédit sur du Metal.
C'est Jean-Jacques Moréac qui a supervisé la musique, sa mise en place, ses mélodies et les placements rythmiques sur des compositions communes. J'ai écrit et produit mon chant seul avec notre producteur pour la sélection et l'editing.
Nous avons choisi comme nouveau producteur Fernando Peirera Lopes pour la qualité de son travail, son suivi sur le long terme, depuis fin 2006 nous voyons tous les mois, pour sa gentillesse, sa patience et son enthousiasme constant à travailler non stop dans des conditions difficiles.
L'atmosphère en studio fut formidable, nous avons même fini nos prises 24H avant la date butoir. Nous aimons enregistrer sous pression mais dans la bonne humeur. Pour enregistrer une musique aussi Dark et mélancolique, il faut faire des pauses régulières et rigoler par moment, sinon c'est une balle dans la tête. C'est vraiment fini le home studio pour nos projets commercialisés. Trop de groupes font l'erreur de mixer en interne sur ordinateur qu'avec des plugins… ce n'est vraiment pas terrible en vérité. Vous allez voir, grâce à nos méthodes et aux jeux des musiciens nous avons un son très large et organique résultant de la console SSL 4056 G series qui nous a servi pour le mixage. Mastering chez le meilleur, Bruno Gruel, Elektra Mastering comme toujours.
Nous voulions un album 100% enregistré Live et tout acoustique (sans aucun synthé, programmation ou simulation). Nous avions entamé cette démarche avec « IrremeDIABLE » de Misanthrope en 2007. Cette fois nous sommes allés plus loin car nous avons eu la chance de pouvoir tout enregistrer aux luxueux Studios Davout de Paris grâce à notre producteur Fernando Pereira Lopes. L'enregistrement s'est effectué sur une console NEVE VR60 FlyingFader. La plupart des albums de Doom Dark sont « raides», sur « Monumental Monolith » vous allez entendre un groove basse-batterie inédit sur du Metal.
C'est Jean-Jacques Moréac qui a supervisé la musique, sa mise en place, ses mélodies et les placements rythmiques sur des compositions communes. J'ai écrit et produit mon chant seul avec notre producteur pour la sélection et l'editing.
Nous avons choisi comme nouveau producteur Fernando Peirera Lopes pour la qualité de son travail, son suivi sur le long terme, depuis fin 2006 nous voyons tous les mois, pour sa gentillesse, sa patience et son enthousiasme constant à travailler non stop dans des conditions difficiles.
L'atmosphère en studio fut formidable, nous avons même fini nos prises 24H avant la date butoir. Nous aimons enregistrer sous pression mais dans la bonne humeur. Pour enregistrer une musique aussi Dark et mélancolique, il faut faire des pauses régulières et rigoler par moment, sinon c'est une balle dans la tête. C'est vraiment fini le home studio pour nos projets commercialisés. Trop de groupes font l'erreur de mixer en interne sur ordinateur qu'avec des plugins… ce n'est vraiment pas terrible en vérité. Vous allez voir, grâce à nos méthodes et aux jeux des musiciens nous avons un son très large et organique résultant de la console SSL 4056 G series qui nous a servi pour le mixage. Mastering chez le meilleur, Bruno Gruel, Elektra Mastering comme toujours.
Pas mal de DVDs :
2001, L'Odyssée de l'Espace (Kubrick)
Caligula (Bras)
Le Mépris (Godard)
Angélique, Marquise des Anges (Borderi)
Evil Dead (Raimi)
Le Choc des Titans (Davis)
Le locataire (Polanski)
Conan le Barbare (Milius)
Je suis à Prendre (Leroi)
L'Exorciste (Friedkin)
Histoires Extraordinaires (Vadim-Malle-Fellini)
Pour les livres :
Céline
Lovecraft
Chateaubriand
Milton
Rimbaud
Baudelaire
Barker
La Fontaine
D'Aurevilly
Robert E. Howard
Flaubert
Homère
Houellebecq
Nothomb
Montaigne
La Bible
Dantzig
Apollinaire
Etc…
Pour les jeux nous avons la Wii… mais ma console Atari 2600 d'origine est nettement plus fun et vintage. Nous attendons le Dante's Inferno sur Xbox 360.
Track by Track :
1-REQUIEM ÆTERNITAS 2'08''
L'intro reprend juste à la fin de « The Monotonous Moment of a Monologue », la batterie démarre seule et les chœurs en latin entonnent les prémices de l'album, c'est une mise en bouche avec un passage en espagnol. C'est une forme de Requiem avec du chant déclamatoire.
2-FANGS OF WRATH 4'54''
C'est le titre d'ouverture qui annonce la couleur de l'album avec son riff entre Morbid Angel et Celtic Frost… et c'est parti pour 48 minutes d'Argile. Refrain en chant plaintif, guitares pleurantes et influence Dark Death Metal. Premier solo signé Pascal Vigné (Triple Fx) qui nous a fait l'honneur de faire tous les solos de guitare de l'album. Break acoustique avec un son énorme, passage Doom et mélodies. Un morceau musclé qui tabasse.
3-MONUMENTAL MONOLITH 6'45''
Mon morceau favori de l'album. Il y a tout ce que j'aime, c'est du Doom grandiose, nostalgique, pur et mélancolique avec de sublimes guitares acoustiques, des mélodies et un chant pleuré bourré d'émotion. Nous sommes très fiers du résultat de « Monumental Monolith ». Il n'y a aucune équivalence dans la scène.
4-FALLEN ANGEL 5'16''
Certainement le morceau le plus violent de l'album avec son Thrash Black entre Immortal & Septic Flesh. L'intro met en avant le groove Basse Batterie Moréac/Féret. Le texte est occulte et religieux avec un chant légèrement Black. Il a y un passage Epic en speed picking qui se développe sur plusieurs mesures. Le refrain comporte une basse slappée, c'est un morceau important de l'œuvre.
5-MESMERIZED* 3'34''
Voici enfin notre reprise de Celtic Frost. Je me revois des nuits entières à rêver d'enregistrer ce morceau composé par Martin Eric Ain et Tom Gabriel Fischer édité en 1987 sur le mythique « Into The Pandemonium ». C'est un morceau hyper nostalgique et intimiste. Un véritable bonheur absolu…
6-LUCIFER'SCEPTER 5'53''
Premier morceau de la seconde partie de l'album. Nous l'avons volontairement séparé en deux faces, comme sur les vinyles de notre jeunesse. C'est un super titre Doom Epic avec des guitares lourdes et des mélodies qui restent gravées dans la tête. Le passage acoustique médiéval est rempli de tristesse. Le chant est entre ténèbres et plaintes. Le textes est basé sur la libération de « l'esprit ancien luciférien » dans un royaume passé fantasmé.
7-ILL VENOMOUS ANOREXIA 5'46''
Notre second morceau de Doom pur. Basé sur les dérives et la destruction de notre monde par le venin de l'homme moderne. C'est la vision animale qui est mis en avant. La nature souffre et les oiseaux agonisant chutent des cieux en une dépression totale. Non ce n'est pas une reprise de My Dying Bride ! C'est un morceau qui utilise tous les instruments à l'unisson. Ici c'est le chant qui fait les variations. C'est effrayant et terrible à la fois. Un super titre avec un final désespéré.
8-CHRIST B.J.D 5'38''
C'est le bonus de l'album, il y a de tout dans ce morceau. C'est un titre aux multiples influences. Passant de la Grèce Antique au Doom chic très british. Le texte est poétique et basé sur sa recherche d'identité d'après extraits d'Arthur Rimbaud. Le break du milieu est un clin d'œil à Cathedral. Encore une fois Pacal Vigné illumine le titre de son solo de guitare. Avec un final digne de notre titre « Visionnaire ». Come on, let's go !
9-MISTRESS OF THE NIGHT 6'33''
Le dernier gros pavé de l'album. Un titre de pur Argile mêlant Dark énervé et Doom Death ! C'est le retour de « Mistress of the Night » l'héroïne satanique et perverse de « God's Degenerated Angel ». Le texte est délirant et baroque se situant à la fin du XIXème siècle. C'est le seul que j'ai écrit en français puis traduit. Toutes les autres paroles ont été écrites directement en anglais. La batterie de Gaël Féret défonce tout, les riffs sont puissants et acérés, le refrain est hurlé et le final tragique. Tout un programme.
10-NOSTALGIA TRAGOEDIA SERENATA 1'49''
Quelques notes de musique avant de vous dire adieu et d'enterrer Argile. Dédié à la Mort, cet instrumental clos l'album comme il se doit. Les véritables fans de la scène Death Black Thrash des années 80 reconnaîtront la flagrante inspiration de la structure principale du morceau. Il ne reste plus qu'un souffle avant l'autodestruction. Argile s'est éteint. Bonsoir.
S .A .S de l'Argilière, le 27 février 2010
http://www.myspace.com/argileofficial
1-REQUIEM ÆTERNITAS 2'08''
L'intro reprend juste à la fin de « The Monotonous Moment of a Monologue », la batterie démarre seule et les chœurs en latin entonnent les prémices de l'album, c'est une mise en bouche avec un passage en espagnol. C'est une forme de Requiem avec du chant déclamatoire.
2-FANGS OF WRATH 4'54''
C'est le titre d'ouverture qui annonce la couleur de l'album avec son riff entre Morbid Angel et Celtic Frost… et c'est parti pour 48 minutes d'Argile. Refrain en chant plaintif, guitares pleurantes et influence Dark Death Metal. Premier solo signé Pascal Vigné (Triple Fx) qui nous a fait l'honneur de faire tous les solos de guitare de l'album. Break acoustique avec un son énorme, passage Doom et mélodies. Un morceau musclé qui tabasse.
3-MONUMENTAL MONOLITH 6'45''
Mon morceau favori de l'album. Il y a tout ce que j'aime, c'est du Doom grandiose, nostalgique, pur et mélancolique avec de sublimes guitares acoustiques, des mélodies et un chant pleuré bourré d'émotion. Nous sommes très fiers du résultat de « Monumental Monolith ». Il n'y a aucune équivalence dans la scène.
4-FALLEN ANGEL 5'16''
Certainement le morceau le plus violent de l'album avec son Thrash Black entre Immortal & Septic Flesh. L'intro met en avant le groove Basse Batterie Moréac/Féret. Le texte est occulte et religieux avec un chant légèrement Black. Il a y un passage Epic en speed picking qui se développe sur plusieurs mesures. Le refrain comporte une basse slappée, c'est un morceau important de l'œuvre.
5-MESMERIZED* 3'34''
Voici enfin notre reprise de Celtic Frost. Je me revois des nuits entières à rêver d'enregistrer ce morceau composé par Martin Eric Ain et Tom Gabriel Fischer édité en 1987 sur le mythique « Into The Pandemonium ». C'est un morceau hyper nostalgique et intimiste. Un véritable bonheur absolu…
6-LUCIFER'SCEPTER 5'53''
Premier morceau de la seconde partie de l'album. Nous l'avons volontairement séparé en deux faces, comme sur les vinyles de notre jeunesse. C'est un super titre Doom Epic avec des guitares lourdes et des mélodies qui restent gravées dans la tête. Le passage acoustique médiéval est rempli de tristesse. Le chant est entre ténèbres et plaintes. Le textes est basé sur la libération de « l'esprit ancien luciférien » dans un royaume passé fantasmé.
7-ILL VENOMOUS ANOREXIA 5'46''
Notre second morceau de Doom pur. Basé sur les dérives et la destruction de notre monde par le venin de l'homme moderne. C'est la vision animale qui est mis en avant. La nature souffre et les oiseaux agonisant chutent des cieux en une dépression totale. Non ce n'est pas une reprise de My Dying Bride ! C'est un morceau qui utilise tous les instruments à l'unisson. Ici c'est le chant qui fait les variations. C'est effrayant et terrible à la fois. Un super titre avec un final désespéré.
8-CHRIST B.J.D 5'38''
C'est le bonus de l'album, il y a de tout dans ce morceau. C'est un titre aux multiples influences. Passant de la Grèce Antique au Doom chic très british. Le texte est poétique et basé sur sa recherche d'identité d'après extraits d'Arthur Rimbaud. Le break du milieu est un clin d'œil à Cathedral. Encore une fois Pacal Vigné illumine le titre de son solo de guitare. Avec un final digne de notre titre « Visionnaire ». Come on, let's go !
9-MISTRESS OF THE NIGHT 6'33''
Le dernier gros pavé de l'album. Un titre de pur Argile mêlant Dark énervé et Doom Death ! C'est le retour de « Mistress of the Night » l'héroïne satanique et perverse de « God's Degenerated Angel ». Le texte est délirant et baroque se situant à la fin du XIXème siècle. C'est le seul que j'ai écrit en français puis traduit. Toutes les autres paroles ont été écrites directement en anglais. La batterie de Gaël Féret défonce tout, les riffs sont puissants et acérés, le refrain est hurlé et le final tragique. Tout un programme.
10-NOSTALGIA TRAGOEDIA SERENATA 1'49''
Quelques notes de musique avant de vous dire adieu et d'enterrer Argile. Dédié à la Mort, cet instrumental clos l'album comme il se doit. Les véritables fans de la scène Death Black Thrash des années 80 reconnaîtront la flagrante inspiration de la structure principale du morceau. Il ne reste plus qu'un souffle avant l'autodestruction. Argile s'est éteint. Bonsoir.
S .A .S de l'Argilière, le 27 février 2010
http://www.myspace.com/argileofficial
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