[03/11/2010] THERION @ Paris - Elysée Montmartre
Publié : jeu. nov. 04, 2010 10:10 am
Retour à l’Elysée Montmartre quelques mois après le naufrage sonore du Paganfest 2009. C’est donc dire que j’avais quelques craintes en arrivant sur place vers 19h30, dans une salle bien remplie. Le public est assez hétéroclite. Une petite dédicace aux jeunes (et moins jeunes) demoiselles qui ont sorti pour la circonstance les robes de soirée en faux satin de chez Tati (quand vous regardez Kojak vous vous rasez le crâne ?). Par contre [hors sujet on] ma voisine avec son t-shirt "Liebe ist für alle" (c'est pas faux), c'était mieux... [hors sujet off]
Les premières notes de Leprous que j’entends me rassurent, cette fois le son a l’air de tenir la route. Quant à la formation qui évolue qui scène, je ne connais rien d’elle, si ce n’est qu’elle est composée d’ex-Ihsahn (ou projet parallèle dudit groupe ??). Ce n’est pas du tout mon type de came d’habitude, avec ce côté rock progressivo-psychédélique seventies saupoudré d’envolées à la Arcturus. Le tout porté par une puissante voix claire, qui lorsqu’elle se transforme en cris me fait penser à la période faste d’Udo Dirkschneider... C’est finalement pas si mal, voire même sur certains passages plutôt intéressant. Et la maîtrise technique des norvégiens est clairement là.
Détour obligatoire par le stand de marchandising. Là, déception, les t-shirts de Therion arborent de belles couleurs bien kitsch et aucun ne reprend les dates de la tournée. Je passe donc mon tour. Heureusement, le cd « Bells of doom » est là pour compenser, à 10 euros, pas de quoi se priver.
20h30, pile à l’heure, Therion débarque pour deux heures magistrales. J’ai mis ci-dessous la setlist (c’est en fait celle de Londres la veille mais il me semble qu’elle était identique à Paris) : un subtil mélange entre le dernier album Sitra Ahra, dont le titre éponyme joué d’entrée rend très bien en live, et les galettes plus anciennes. Mention extraordinaire pour Voyage of Gurdjeff (j’avais oublié combien ce morceau était magique). Et puis un rappel avec The rise of Sodom and Gomorrah et To Mega Therion, argh quoi.
A noter au poste de bassiste la présence de Waldemar Sorychta que j’ai mis du temps à reconnaître, déguisé en sosie d’Emir Kusturica.
Setlist :
1.Sitra Ahra
2.Wine of Aluqah
3.Typhon
4.The Perennial Sophia
5.Hellequin
6.Nifelheim
7.The Siren of the Woods
8.Voyage of Gurdjieff (The Fourth Way)
9.Ljusalfheim
10.Dies Irae (Wolfgang Amadeus Mozart)
11.Ginnungagap
12.Kali Yuga, Part 3
13.Call of Dagon
14.Clavicula Nox
15.Enter Vril-Ya
16.The Blood of Kingu
17.Lemuria
18.Abraxas
19.Unguentum Sabbati
Encore:
20.The Rise of Sodom and Gomorrah
21.To Mega Therion
Les premières notes de Leprous que j’entends me rassurent, cette fois le son a l’air de tenir la route. Quant à la formation qui évolue qui scène, je ne connais rien d’elle, si ce n’est qu’elle est composée d’ex-Ihsahn (ou projet parallèle dudit groupe ??). Ce n’est pas du tout mon type de came d’habitude, avec ce côté rock progressivo-psychédélique seventies saupoudré d’envolées à la Arcturus. Le tout porté par une puissante voix claire, qui lorsqu’elle se transforme en cris me fait penser à la période faste d’Udo Dirkschneider... C’est finalement pas si mal, voire même sur certains passages plutôt intéressant. Et la maîtrise technique des norvégiens est clairement là.
Détour obligatoire par le stand de marchandising. Là, déception, les t-shirts de Therion arborent de belles couleurs bien kitsch et aucun ne reprend les dates de la tournée. Je passe donc mon tour. Heureusement, le cd « Bells of doom » est là pour compenser, à 10 euros, pas de quoi se priver.
20h30, pile à l’heure, Therion débarque pour deux heures magistrales. J’ai mis ci-dessous la setlist (c’est en fait celle de Londres la veille mais il me semble qu’elle était identique à Paris) : un subtil mélange entre le dernier album Sitra Ahra, dont le titre éponyme joué d’entrée rend très bien en live, et les galettes plus anciennes. Mention extraordinaire pour Voyage of Gurdjeff (j’avais oublié combien ce morceau était magique). Et puis un rappel avec The rise of Sodom and Gomorrah et To Mega Therion, argh quoi.
A noter au poste de bassiste la présence de Waldemar Sorychta que j’ai mis du temps à reconnaître, déguisé en sosie d’Emir Kusturica.
Setlist :
1.Sitra Ahra
2.Wine of Aluqah
3.Typhon
4.The Perennial Sophia
5.Hellequin
6.Nifelheim
7.The Siren of the Woods
8.Voyage of Gurdjieff (The Fourth Way)
9.Ljusalfheim
10.Dies Irae (Wolfgang Amadeus Mozart)
11.Ginnungagap
12.Kali Yuga, Part 3
13.Call of Dagon
14.Clavicula Nox
15.Enter Vril-Ya
16.The Blood of Kingu
17.Lemuria
18.Abraxas
19.Unguentum Sabbati
Encore:
20.The Rise of Sodom and Gomorrah
21.To Mega Therion