Amorphis - 14/10/2009 - Paris (La Loco)
Publié : mer. oct. 14, 2009 9:35 pm
J’ai essayé de ne pas arriver trop tard, pour voir au moins la fin de la prestation de Before the Dawn, mais à 20h20, le groupe avait déjà rangé ses affaires. Putain d’horaires tordus de la Loco (la veille, j’étais au pieu à 3 heures du mat après le concert de Deathstars !). Au moins, Amorphis a pu commencer plus tôt, et faire une prestation d’une durée correcte.
La p’tite Loco est bien remplie, d’un public qui commence à vieillir, comme Amorphis d’ailleurs. Déjà 9 albums au compteur, et une tripotée de morceaux cultes pour les amateurs, parmi lesquels il y a de quoi composer une set list de grande qualité.
L’excellent petit dernier, Skyforger, se taille évidemment la part du lion, avec Sampo, Silver Bride, From the Heaven of my Heart, Sky is Mine et Majestic Beast.
On relève quelques titres des récents Eclipse (The Smoke et House of Sleep) et Silent Waters (le titre éponyme, et Towards and against).
Une impasse quasi-totale est faite sur le tryptique Tuonela / Am Universum / Far from the Sun (j’ai juste reconnu Day of your Beliefs).
En ce qui concerne les vieilleries, Amorphis pioche dans Elegy (un medley de différents morceaux, et My Kantele qui clôt le rappel avec un solo inédit), deux extraits de Tales… (The Castaway et Black Winter Day), plus un titre de Karelian Isthmus.
J’en oublie certainement. Quelqu’un a noté la set list ?
Comme d’habitude, le vocaliste Tomi Joutsen est impeccable sur les growls, mais un peu moins juste que son prédécesseur sur les parties claires.
On ne dira jamais assez que les guitaristes d’Amorphis font un travail d’orfèvres. Contrairement à beaucoup de groupes, les deux musiciens jouent des partitions différentes et parfaitement complémentaires. Sans esbroufe, la lead de Esa Holopainen intervient toujours de façon pertinente, avec des mélodies inoubliables et des solos qui emportent l’auditoire.
Je ne me lasse pas des prestations d’Amorphis, qui sont toujours excellentes, et regrette juste leur modeste succès en France. Pas assez extrême pour les amateurs de death / doom ? Pas assez goth pour les fans de Paradise Lost ?
La p’tite Loco est bien remplie, d’un public qui commence à vieillir, comme Amorphis d’ailleurs. Déjà 9 albums au compteur, et une tripotée de morceaux cultes pour les amateurs, parmi lesquels il y a de quoi composer une set list de grande qualité.
L’excellent petit dernier, Skyforger, se taille évidemment la part du lion, avec Sampo, Silver Bride, From the Heaven of my Heart, Sky is Mine et Majestic Beast.
On relève quelques titres des récents Eclipse (The Smoke et House of Sleep) et Silent Waters (le titre éponyme, et Towards and against).
Une impasse quasi-totale est faite sur le tryptique Tuonela / Am Universum / Far from the Sun (j’ai juste reconnu Day of your Beliefs).
En ce qui concerne les vieilleries, Amorphis pioche dans Elegy (un medley de différents morceaux, et My Kantele qui clôt le rappel avec un solo inédit), deux extraits de Tales… (The Castaway et Black Winter Day), plus un titre de Karelian Isthmus.
J’en oublie certainement. Quelqu’un a noté la set list ?
Comme d’habitude, le vocaliste Tomi Joutsen est impeccable sur les growls, mais un peu moins juste que son prédécesseur sur les parties claires.
On ne dira jamais assez que les guitaristes d’Amorphis font un travail d’orfèvres. Contrairement à beaucoup de groupes, les deux musiciens jouent des partitions différentes et parfaitement complémentaires. Sans esbroufe, la lead de Esa Holopainen intervient toujours de façon pertinente, avec des mélodies inoubliables et des solos qui emportent l’auditoire.
Je ne me lasse pas des prestations d’Amorphis, qui sont toujours excellentes, et regrette juste leur modeste succès en France. Pas assez extrême pour les amateurs de death / doom ? Pas assez goth pour les fans de Paradise Lost ?