Ultra Vomit + Bawdy Festival - 09/10/2009 - Sannois (95)
Publié : dim. oct. 11, 2009 8:33 am
Bawdy Festival
Le groupe définit lui-même son style comme du « clowncore ».
Effectivement, les musiciens sont déguisés en clowns macabres, et pratiquent une musique hybride rap / métal à la Limp Bizkit, en plus agressif, avec des petites mélodies malsaines au synthé, et des textes grivois en français.
Ce genre musical n’est pas vraiment ma tasse de thé, mais c’est bien fait et ça plait au jeune public, qui jumpe à tout va.
Ultra Vomit
C’est la première fois que je vois sur scène les maîtres du « potache métal ».
Pendant qu’ils effectuent leurs tests son, les membres du groupe portent des lunettes de soleil et des sweat shirts « roadie ». Ils balancent d’excellents riffs qui commencent à faire headbanguer le public, alors que le concert n’a même pas commencé !
Peu après, les musiciens reviennent déguisés en moine, sur une scène baignant dans une lumière lugubre, sur fond de musique de film fantastique. Ils s’apprêtent à sacrifier un bébé en plastique, lorsque retentit le générique des « Bronzés », ce qui fait fuir les satanistes penauds.
Ensuite, pendant une heure, c’est une cascade de tubes, principalement extraits de « Objectif : Thunes ». Le public chante à tue-tête sur « boulangerie pâtisserie », « je possède un cousin », « je collectionne des canards », etc…
Les autres classiques du groupe font bien bouger la salle : « I like to vomit », « Judas Prost », « Une souris verte »…
Quelques nouveautés font leur apparition, comme « Calogira », mélange improbable de Gojira et Calogero, et une reprise de l’immense Jean Schultes (« confidence pour confidence »), entonnée par le batteur.
Mes seuls regrets : pas de « Jack Chirac » ni de « Maïté Ravendark ».
Entre deux titres, nos chers Nantais accumulent les vannes débiles, mais qui nous font bien sourire.
Tout ça est bon enfant, et il y a d’ailleurs plein de gamins dans la salle, accompagnés par leurs parents.
Vivement la suite (« on a marché sur la thune » ?)…
Le groupe définit lui-même son style comme du « clowncore ».
Effectivement, les musiciens sont déguisés en clowns macabres, et pratiquent une musique hybride rap / métal à la Limp Bizkit, en plus agressif, avec des petites mélodies malsaines au synthé, et des textes grivois en français.
Ce genre musical n’est pas vraiment ma tasse de thé, mais c’est bien fait et ça plait au jeune public, qui jumpe à tout va.
Ultra Vomit
C’est la première fois que je vois sur scène les maîtres du « potache métal ».
Pendant qu’ils effectuent leurs tests son, les membres du groupe portent des lunettes de soleil et des sweat shirts « roadie ». Ils balancent d’excellents riffs qui commencent à faire headbanguer le public, alors que le concert n’a même pas commencé !
Peu après, les musiciens reviennent déguisés en moine, sur une scène baignant dans une lumière lugubre, sur fond de musique de film fantastique. Ils s’apprêtent à sacrifier un bébé en plastique, lorsque retentit le générique des « Bronzés », ce qui fait fuir les satanistes penauds.
Ensuite, pendant une heure, c’est une cascade de tubes, principalement extraits de « Objectif : Thunes ». Le public chante à tue-tête sur « boulangerie pâtisserie », « je possède un cousin », « je collectionne des canards », etc…
Les autres classiques du groupe font bien bouger la salle : « I like to vomit », « Judas Prost », « Une souris verte »…
Quelques nouveautés font leur apparition, comme « Calogira », mélange improbable de Gojira et Calogero, et une reprise de l’immense Jean Schultes (« confidence pour confidence »), entonnée par le batteur.
Mes seuls regrets : pas de « Jack Chirac » ni de « Maïté Ravendark ».
Entre deux titres, nos chers Nantais accumulent les vannes débiles, mais qui nous font bien sourire.
Tout ça est bon enfant, et il y a d’ailleurs plein de gamins dans la salle, accompagnés par leurs parents.
Vivement la suite (« on a marché sur la thune » ?)…